PRIMS Full-text transcription (HTML)
[1]
JOURNAL du DÉPARTEMENT des BOUCHES de l’ELBE oder: Staats - und Gelehrte Zeitung des Hamburgiſchen unpartheyiſchen Correſpondenten.
Anno 1812. (Am Mittewochen, den 7 October.)
No. 161.

Armée du Centre en Espagne.

Les détails contenus dans le rapport ci - après font connaitre avec quel ordre S. M. C. a fait exécuter les mouvemens qui ont pré - paré la jonction de l’armée du centre, qui était partculièrement sous ses ordres, avec celle que commande S. Exc. le maréchal duc d’Albufera.

Rapport adressé à S. Exc. M. le maréchal Jourdan, chef d’état-major-général de S. M. C., par M. le général de division Treillard, daté d’Albacète, le 22 Août 1812, transmis par ordre de S. M. C. à S. Exc. M. le duc de Feltre, Ministre de la guerre.

Les marches continuelles qu’a faites ma di - vision depuis l’affaire qu’elle a eue le 11 de ce mois avec l’avant-garde de l’armée anglaise, m’ont empêché d’adresser plus tôt à V. Exc. le rapport que j’ai l’honneur de lui préseuter aujourd’hui.

Le 10, à une heure du matin, je reçus à Naval-Carrero, l’ordre d’aller avec ma divi - sion, occuper les villages de Majalahonda et de Las Rosas, afin de m’assurer par des re - connaissances, si le corps de l’armée anglaise, venant de Ségovie avait passé le Guadarama. La division italienne, commandée par le - néral Palombini, occupait en arrière de moi le village de Boadilla, et le quartier-général de S. M. C. se trouvait à Alcorcon. Le 11 avant le jour, j’ordonnai à la 1re brigade de ma division, composée du 13e et du 18e de dragons, qui occupait Las Rosas, de faire éclairer les routes de Galapagar, Torre la Do - nes et Colmenar, sur lesquelles elle rencontra l’avant-garde de l’armée du Lord Wellington,

Armee des Centrums in Spanien.

Die in folgendem Bericht enthaltenen Details geben zu erkennen, mit welcher Ordnung Se. Ka - thol. Majeſtaͤt die Bewegungen haben ausfuͤhren laſſen, welche die Vereinigung der Armee des Cen - trums, die beſonders unter Jhrem Befehle ſtand, mit der Armee vorbereiteten, welche Se. Exc., der Marſchall, Herzog von Albufera, commandirte.

Bericht an Se. Exc., den Herrn Marſchall Jour - dan, Chef des Generalſtaabs Sr. Katholiſchen Majeſtaͤt, von dem Diviſions-General Treil - lard, datirt zu Albacete den 22ſten Auguſt 1812, uͤberſandt auf Befehl Sr. Katholiſchen Majeſtaͤt an Se. Excell., den Kriegsminiſter, Herzog von Feltre.

Die beſtaͤndigen Maͤrſche, die meine Diviſion ſeit der Affaire gemacht, welche ſie am 11ten dieſes mit der Avantgarde der Engliſchen Armee hatte, haben mich verhindert, an Ew. Excellenz eher den Be - richt zu ſenden, den ich jetzt die Ehre habe, Jhnen zuzuſtellen.

Am 10ten, um ein Uhr des Morgens, erhielt ich zu Noval-Carrero den Befehl, die Doͤrfer Maja - lahonda und de Las Roſas mit einer Diviſion zu beſetzen, um durch Recognoscirungen ſicher zu er - fahren, ob das Corps der Engliſchen Armee, wel - ches von Segovia kam, uͤber die Guadarama ge - zogen ſey. Die Jtalieniſche Diviſion, commandirt von dem General Palombini, hatte hinter mir das Dorf Boadilla beſetzt, und das Hauptquartier Sr. Kathol. Majeſtaͤt befand ſich zu Alcorcon. Am 11ten vor Tages-Anbruch befahl ich der erſten Bri - gade meiner Diviſion, welche aus dem 13ten und 18ten Dragoner-Regiment beſtand und Las Roſas beſetzt hielt, die Straßen nach Galapagar, Torre, la Dones und Colmenar vom Feinde zu ſaͤubern. Auf dieſen Wegen ſtieß ſie auf die Avantgarde der

[2]

composée de trois bataillons d’infanterie, cinq pieces d’artillerie et 1200 chevaux, qui descen - dait les montagnes.

Cette brigade soutint avec fermeté l’attaque de l’avant-garde ennemie; je lui envoyai l’ordre de se reployer sur la seconde brigade, conformément à celui que j’avais reçu de me retirer sur la division Palombini, dans le cas je serais attaqué par des forces supérieu - res. Cet officier-général, que j’avais prévenu de mon mouvement, m’envoya de suite un renfort composé du régiment de dragons Na - poléon, et des lanciers; je fis porter de suite ceux-ci en avant, avec les tirailleurs, tandis que M. le général Schiasetti, commandant ces deux corps, envoya, par mon ordre, une re - connaissance dans la direction de l’Escurial, pour couvrir mon flanc ganche, pendant ma retraite sur Bondilla; cette marche rétrograde, se fit dans le plus grand ordre, sous le feu de 5 pieces d’artillerie, et à la vue de 12 à 14 escadrons et de 3 à 4 bataillons anglais. La division mit quatre heures pour faire une re - traite d’une lieue et demie, depuis Las Rosas à Boadilla, l’ennemi, à qui je fis tirer quel - ques coups de canon, cessa de nous suivre.

A deux heures après-midi, S. M. desirant s’assurer d’une manière positive quelle était la force de l’ennemi de ce côté du Guada - rama, et connaitre le nombre de troupes qui se disposait à suivre cette avant-garde, m’en - voya l’ordre de reprendre ma position du matin, et de pousser vivement l’ennemi pour lui faire des prisonniers. Au reçu de cet or - dre, et sans attendre un renfort d’une brigade d’infanterie et de six pieces de canon, qui devaient marcher avec moi, je partis avec ma division, qui brûlait d’impatience de se mesu - rer avec les Anglais. J’arrivai à Majalahonda, l’ennemi avait pris, à un quart de lieue en avant de village, une position avanta - geuse, soutenue par quatre pieces en batterie; j’ordonnai de suite de l’attaquer. M. le colo - nel Reizet, commandant la première brigade, chargea à la tête du 13e soutenu par le 18e de dragons. Trois pieces furent enlevées en un instant; de nombreux escadrons ennemis chargèrent avec une valeur et une opiniatreté sans égale pour les reprendre; trois fois la bri - gade fut ramenée, et trois fois elle retourna à la charge; accablée par le nombre, elle était forcée de se retirer, lorsque j’ordonnai aux deux premiers escadrons, de la seconde bri - gade de charger; l’ennemi fut culbuté; mais arrivé sur les hauteurs qui dominent Las Ro - sas, ils y trouvèrent plusieurs escadrons réu - nis, qui les obligèrent à une retraite qui nous aurait fait perdre le fruit de cette journée, si je ne les avais fait soutenir par la seconde ligne, composée des 22e et 29e de dragons, et du régiment de dragons Napoléon qui for - mait ma réserve. Cette charge, aussi vigou - reuse que faite à propos, eut un succès com -

Armee des Lord Wellington, welche aus 3 Batail - lons Jnfanterie, 5 Artillerieſtuͤcken und 1200 Pfer - den beſtand, die von den Anhoͤhen herunterkamen.

Dieſe Brigade hielt entſchloſſen den Angriff der feindlichen Avantgarde aus. Jch ſchickte ihr den Befehl zu, ſich auf die zweyte Brigade zuruͤck zu ziehen, und zwar der Ordre gemaͤß, die ich erhal - ten hatte, mich auf die Diviſion Palombini in dem Fall zuruͤck zu ziehen, wo ich von einer uͤber - legenen Macht angegriffen wuͤrde. Dieſer Gene - ral, den ich von meiner Bewegung vorher benach - richtigt hatte, ſchickte mir ſogleich eine Verſtaͤr - kung, die aus dem Dragoner-Regiment Napoleon und dem Regiment Lanciers beſtand. Jch ſandte dieſe mit den Scharfſchuͤtzen ſogleich voraus, waͤh - rend der Herr General Schiaſetti, Commandant dieſer beyden Corps, auf meinen Befehl eine Re - cognoscirung nach der Gegend von Escurial ab - ſandte, um waͤhrend meines Ruͤckzugs nach Boa - dilla meine linke Flanke zu decken. Dieſe ruͤckgaͤn - gige Bewegung geſchah in der groͤßten Ordnung, unter dem Feuer von 5 Artillerieſtuͤcken und im Angeſicht von 12 bis 14 Engliſchen Escadrons und 3 bis 4 Bataillons. Die Diviſion brachte 4 Stun - den auf einem Ruͤckzug von anderthalb Lienes, von Las Roſas nach Boadilla, zu, wo der Feind, ge - gen den ich einige Kanonen abſchießen ließ, uns zu verfolgen aufhoͤrte.

Da Se. Majeſtaͤt wuͤnſchten, auf eine beſtimmte Art zu erfahren, wie groß die Staͤrke des Feindes auf der Seite der Guadarama ſey, und die An - zahl der Truppen zu kennen, welche dieſer Avant - garde folgen moͤchte, ſo ſchickten Allerhoͤchſtdieſel - ben mir um 2 Uhr des Nachmittags den Befehl, meine Stellung vom Morgen wieder einzunehmen und den Feind lebhaft zuruͤck zu treiben, um Ge - fangene von ihm zu machen. Beym Empfange die - ſer Ordre und ohne eine Verſtaͤrkung von einer Brigade Jnfanterie und von 6 Kanonen, die mit mir vorruͤcken ſollten, zu erwarten, brach ich mit meiner Diviſion auf, welche vor Ungeduld brannte, ſich mit den Englaͤndern zu meſſen. Jch kam zu Majalahonda an, wo der Feind eine viertel Stunde vor dem Dorfe eine vortheilhafte Stellung genom - men hatte, die durch 4 Batterieſtuͤcke gedeckt wurde. Sogleich befahl ich, dieſelbe anzugreifen. Der Herr Oberſt Reizet, Commandant der erſten Bri - gade, griff an der Spitze des 13ten Regiments an. welches vom 18ten Dragoner-Regiment unterſtuͤtzt wurde. 3 Kanonen wurden in dem Augenblick ge - nommen. Zahlreiche feindliche Escadrons griffen mit einer Tapferkeit und einer Hartnaͤckigkeit ohne Gleichen an, um ſelbige wieder zu erobern. Drey - mal ward die Brigade zum Ruͤckzug genoͤthigt und dreymal kehrte ſie zum Angriff zuruͤck. Ueberwaͤl - tigt durch die Anzahl, ward ſie zum Retiriren ge - noͤthigt, als ich den zwey erſten Escadrons der zweyten Brigade anzugreifen befahl. Der Feind ward geworfen; wie ſie aber auf den Anhoͤhen, die Roſas beſtreichen, angekommen waren, fanden ſie daſelbſt verſchiedene Escadrons, die ſelbige zu ei - nem Ruͤckzuge noͤthigten, durch welchen wir die Fruͤchte des Tages verlohren haben wuͤrden, haͤtte ich ſie nicht durch die zweyte Linie unterſtuͤtzen laſſen, die aus dem 22ſten und 29ſten Dragoner -

[3]

plet, l’ennemi se retira dans le plus grand désordre.

Outre les trois pièces d’artillerie enievées par la première brigade, et que la seconde empêcha d’être reprises, de nombreux baga - ges et plus de 200 chevaux tombèrent au pouvoir de la division; deux lieutenants-co - lenels blessés, avec une soixantaine de pri - sonniers, furent ramenés au quartier-général. Un officier supérieur, et plus de 150 Anglais et Portugais, restèrent etendus sur le champ de bataille; enfin la perte de l’ennemi peut être évaluée à 7 à 800 hommes tués, prison - niers ou hors de combat. Je ne doute pas que cette belle affaire n’ait puissamment contribué à retarder la marche de l’ennemi et à assurer la tranquillité de la nôtre.

Ce combat de cavalerie est un des plus beaux et des plus extraordinaires qui aient eu lieu, tant par la valeur que par l’achar - nement qu’on y montra des deux côtés. Tous les régimens de ma division, celui des dra - gons Napoléon et les lanciers, ont rivalisé de zèle et d’intrépidité.

Je ne puis trop faire l’éloge de la valeur, du sans-froid et des connaissances militaires, qu’a montrés M. le colonel Reizet, qui, dans la retraite du matin, a soutenu seul à la tête de la première brigade qu’il commande, tous les efforts de l’ennemi. Cet officier, dans la charge du soir, a été blessé de trois coups de sabre. M. le général Schiasetti, et MM. les colonels Rozat, Bart et Maranessi, se sont conduits, pendant toute l’affaire, de la ma - nière la plus brillante etc.

J’ai l’honneur, etc.

Signé: Baron Treillard.

Armée du Nord de l’Espagne.

Le 27 Août dernier, à trois heures du soir, le général comte Caffarelli est entré à Bilbao; l’ennemi n’a pas osé l’y attendre et a fui de toutes parts. Cinq pièces de canon et plu - cieurs embarcations anglaises ont été prises à Purtogalette. Les habitans de Bilbao, que les insurgés avoient forcés d’en sortir, y sont rentrés à la voix du général en chef, qui, après quelques jours de séjour, a quitté cette ville pour continuer ses opérations.

Les bandes de Marquesito, Longa, Mina et Salazar ont été mis entièrement en déroute, ayant souffert les pertes les plus considérables.

De nouveaux détachemens et fractions de bataillons s’embarquent encore pour le Por - tugal.

L’Iphigénie a embarqué à son bord, à Ports - mouth, 100000 liv. sterl. en barres d’or, pour payer l’armée en Espagne.

Le ministre des finances, du commerce et du trésor, vu l’arrêté pris par le préfet du département du Harz, en date du 7 Septem - bre dernier, concernant l’organisation d’nn service de poste de pietons dans ledit dépar - tement, publié par la feuille départementale,

Regiment und aus dem Dragoner-Regiment Na - poleon beſtand, welches die Reſerve ausmachte. Dieſer nachdruͤckliche, zur rechten Zeit geſchehene Angriff, hatte einen vollkommenen Erfolg, und der Feind zog ſich in der groͤßten Unordnung zuruͤck.

Außer den 3 von der erſten Brigade weggenom - menen Artillerieſtuͤcken, deren Wiedereroberung die zweyte Brigade verhinderte, fielen zahlreiche Ba - gagen und uͤber 200 Pferde in die Haͤnde der Di - viſion. Zwey verwundete Oberſt-Lieutenants und 60 Gefangene wurden nach dem Hauptquartier ge - bracht. Ein Ober-Officier und uͤber 150 Englaͤn - der und Portugieſen blieben auf dem Schlachtfelde. Kurz der Verluſt des Feindes kann auf 7 bis 800 Mann an Todten, Gefangenen oder Vermißten gerechnet werden. Jch zweifle nicht, daß dieſe ſchoͤne Affaire ſehr dazu beygetragen hat, den Marſch des Feindes zu verzoͤgern und die Ruhe unſers Marſches zu ſichern.

Dies Cavallerie-Gefecht iſt eines der ſchoͤnſten und außerordentlichſten, die noch ſtatt gefunden haben, ſowol in Ruͤckſicht der Tapferkeit als der Erbitterung, die man von beyden Seiten an den Tag legte. Alle Regimenter meiner Diviſion, das Dragoner-Regiment Napoleon und das Regiment Lanciers, haben an Unerſchrockenheit mit einander gewetteifert.

Jch kann die Tapferkeit, die Kaltbluͤtigkeit und die Militair-Kenntniſſe des Herrn Oberſten Reizet nicht genug ruͤhmen. Bey dem Ruͤckzuge des Mor - gens hielt er an der Spitze der erſten Brigade, die er commandirte, alle Anſtrengungen des Feindes ab. Dieſer Officier ward bey dem Angriffe des Abends durch drey Saͤbelhiebe verwundet; der Herr General Schiaſetti und die Herren Oberſten Rozat, Bart und Maraneßi haben ſich waͤhrend der ganzen Affaire auf die glaͤnzendſte Art betragen ꝛc.

Jch habe die Ehre ꝛc.

Unterz. Baron Treillard.

Armee im noͤrdlichen Spanien.

Am 28ſten Auguſt ruͤckte der General Caffarelli um 8 Uhr des Morgens in Bilbao ein. Der Feind wagte nicht, ihn daſelbſt zu erwarten und floh von allen Seiten. 5 Kanonen und mehrere Engliſche Fahrzeuge wurden zu Porto Galette genommen. Die Einwohner von Bilbao, welche die Jnſurgen - ten gezwungen hatten, ſich von da zu entfernen, kehrten auf die Aufforderung des Generals en Chef dahin zuruͤck, welcher nach einem Aufenthalt von einigen Tagen dieſe Stadt verließ, um ſeine Ope - rationen fortzuſetzen.

Die Banden von Marqueſito, Longa, Mina und Salazar ſind mit dem groͤßten Verluſt gaͤnzlich in die Flucht geſchlagen.

Neue Detaſchements und Abtheilungen von Bataillons werden noch nach Portugall eingeſchifft.

Auf der Fregatte Jphigenia ſind zu Ports - mouth 100000 Pf. St. in Goldbarren eingeſchifft worden, um die Armee in Spanien zu beſolden.

Der Miniſter der Finanzen, des Handels und des Schatzes, nach Anſicht des Beſchluſſes des Praͤfecten des Harz-Departements vom 7ten Sept., in Betreff der im Departementalblatt No. 175 be -

[4]

No. 75; considerant que le service de pié - tous, tel qu’il est établi par ledit arrêté, est contraire à l’esprit et à la teneur du décret royal du 30 Septembre 1810; que le préfet a excédé ses attributions et les instructions qui lui ont été données le 16 Janvier de la pré - sente année; casse et annulle l’arrêté ci-des - sus mentionné.

Signé:Le ministre, baron Malchus.

On a calculé que depuis le 28 Mars jusqu’au ler Septembre 1812, on a logé et nourri dans cette ville 240000 hommes (tant militaires qu’individus attachés au service de la grande armée), et 130000 chevaux. (Journ. de Paris.)

L’Amiral, préfet maritime de l’arrondisse - ment de Hollande, grand-officier de la légion d’honneur, a saisie ce jour d’allégresse publi - que, inspiré par les victoires de l’Empereur et son entrée triomphante à Moscou, pour faire placer sur les chantiers d’Amsterdam les quilles de deux vaisseaux de 74 canons, le Polyphéme et l’Audacieux.

Aux termes de l’article 4 du décret du 9 Mars 1812, l’administration de la loterie im - périale de France doit avoir son établissement organisé dans les sept départemens de la Hol - lande pour le ler d’Octobre prochain. En conséquence, à dater dudit 1er Octobre 1812, les bureaux de recette de la loterie impériale seront ouverts au public, dans les principales villes de la Hollande, tous les jours de la se - maine, même les dimanches et fêtes. Le 1er tirage se fera le lundi 12 Octobre, à midi précis dans le salle du théâtre Allemand, ruë de l’Amstel.

S. A. S. le prince de Waldeck est mort le 23 de ce mois, dans la 68e année de son âge, et après nous avoir fait bénir pendant 47 ans son gouvernement.

Aujourd’hui a été publié le décret par le - quel S. M. l’Empereur convoque les assem - blées cantonales du Département des Bouches de l’Elbe. La session commencera le 16 et finira le 30 Octobre.

kannt gemachten Organiſation eines Dienſtes von Fußbothenpoſt im beſagten Departement, erwaͤ - gend, daß der Dienſt von Fußbothen, ſo wie er durch gedachten Beſchluß eingefuͤhrt iſt, dem Geiſte und Jnhalte des Koͤnigl. Decrets vom 30ſten Sep - tember 1810 widerſpricht; daß der Praͤfect ſeine Befugniſſe und die ihm unterm 16ten Januar ge - genwaͤrtigen Jahrs ertheilten Jnſtructionen uͤber - ſchritten hat; caßi[r] t und annullirt obenerwaͤhnten Beſchluß.

Unterz. Der Miniſter, Baron v. Malchus.

Man hat berechnet, daß vom 28ſten Maͤrz bis zum 1ſten September d. J. 240000 Mann, ſowol Militairs als bey der Armee angeſtellte Perſonen, außer 130000 Pferden, hier einquartiert und verpflegt worden ſind.

Der Admiral, See-Praͤſect des Arrond[iſſ]ements von Holland, Groß-Officier der Ehrenlegion, hat dieſen Tag der oͤffentlichen Freude gewaͤhlt, welche durch die Siege des Kayſers und ſeinen triumphi - renden Einzug in Moscau erregt wurde, um auf den hieſigen Werften den Kiel zu zwey neuen Li - nienſchiffen, der Polypheme und Audacieux, legen zu laſſen.

Zufolge des 4ten Artikels des Decrets vom 9ten Maͤrz 1812, muß die Adminiſtration der Kay - ſerl. Lotterie von Frankreich in den 7 Hollaͤndi - ſchen Departements bis zum 1ſten October einge - richtet ſeyn. Vom 1ſten October an ſind demnach die Einnahme-Bureaux der Kayſerl. Lotterie dem Publico in allen Haupt-Oertern von Holland alle Tage der Woche und ſelbſt an Sonn - und Feſt - tagen eroͤffnet. Die erſte Ziehung geſchieht am Montage, den 12ten October, des Mittags, in dem Saal des Deutſchen Schauſpielhauſes, in der Amſtelſtraße.

Vorgeſtern ſtarb Se. Durchl. der Fuͤrſt von Waldeck im 68ſten Lebensjahre und im 47ſten Jahre ſeiner begluͤckenden Regierung.

Heute iſt das Decret bekannt gemacht worden, wodurch Se. Maj. der Kayſer die Cantonal-Ver - ſammlungen des Departements der Elbmuͤndungen zuſammen beruft. Die Sitzung faͤngt am 16ten an und wird am 30ſten October beendigt.

Dresden.

Nur aus der ſich nie etwas nachſe - henden Strenge gegen ſich ſelbſt, verbunden mit der gewiſſenhafteſten Enthaltſamkeit und weiſeſten Maͤßigung in allen Genuͤſſen, moͤchte das Raͤthſel ſich loͤſen laſſen, wie ein Mann, wie der verewigte Oberhofprediger, Dr. Reinhard, bey einer von Ju - gend auf ſehr zerbrechlichen Conſtitution, bey den haͤrteſten Entbehrungen und Selbſt-Aufopferungen auf der Univerſitaͤt, bey der raſtloſeſten Geſchaͤfts - thaͤtigkeit, bey einem fortdauernden Kampfe gegen koͤrperliche Schwaͤche und Schmerzen, wo er be - ſonders in den letzten acht Jahren ſeines Lebens kaum eine ganz ſchmerzloſe Stunde bey Tage, kaum eine Nacht von ununterbrochenem, ſtaͤrken -den Schlaf zaͤhlte, bis in ſein 60ſtes Jahr nach allen Seiten hin ſo ſegenvoll wirken und eingreifen konnte. Schon waͤhrend ſeines Studierens auf dem Gymnaſium in Regensburg, von 1768 an, war er an einem hitzigen Fieber zweymal todt - krank, und ſeine Goͤnner widerriethen ihm wegen ſeiner Schwaͤchlichkeit die Beſtimmung zum Pre - digtamt. Sein ganzes Univerſitaͤtsleben war ein unausgeſetzer Kampf gegen Armuth; oft genoß er Tage lang keine warme Speiſe. So regelmaͤßig alſo auch uͤbrigens ſeine Lebensart und ſelbſt ſeine Studienweiſe im Ganzen ſeyn mochten, ſo wurde doch unſtreitig durch jene Entbehrungen und An - ſtrengungen ſchon damals der Keim zu dem hart -[5]naͤckigen Blaſen-Uebel gelegt, das er Jahre lang im Stillen ertrug, bis es durch einen hoͤchſt un - gluͤcklichen Beinbruch auf einer Reiſe durchs Erz - gebirge im Jahre 1803, der ihm ein neunwoͤchent - liches Krankenlager in dem dumpfen Erdgeſchoß der Superintendenten-Wohnung in Chemnitz zuzog, immer heftiger und endlich auch die Urſache ſeines Todes wurde. Bey aller Kraͤnklichkeit war er der geiſtreichſte Geſellſchafter, der witzigſte Erzaͤhler, der angenehmſte Scherzredner, doch ſtets in den Schranken ſeiner Wuͤrde und des feinſten Tons. Sein Haus war ein. Tempel aͤchter, nicht prun - kender Gaſtfreundſchaft. Jeden Morgen las er einen Abſchnitt der Bibel in der Grundſprache. Ob er gleich zweymal verheyrathet, nie eigene Kin - der gehabt hatte, ſo liebte er doch, wie alle aus - gezeichnet gute und große Menſchen, den reinen Frohſinn und die Spiele munterer Knaben. Er vertheilte jaͤhrlich bedeutende Summen an armeStudierende, die ſeine Pathen oder ihm ſonſt em - pfohlen waren. Kaum einen geringen Canon ließ er ſich fuͤr ſeine geleſenſten Schriften von den Ver - lagshandlungen zahlen; vieles gab er ganz um - ſonſt oder bedingte ſich eine kleine Beyſteuer fuͤr ſeine Armenkaſſe, worans er in den letzten Jahren oft an 120 Arme unterſtuͤtzte.

Jm Jahr 1571 verwandelten die Tataren Mos - cau, die damalige Reſidenz des Czaars Jwan Waſ - ſiljewitſch II., in einen Aſchenhaufen. Jm Jahre 1610 wurde Moscau von dem Pohlniſchen Feld - herrn Zelkiewsky eingenommen und die Einwoh - ner gezwungen, den Sohn des Koͤnigs Sigismund von Pohlen, Wladislaw, zum Czaar zu waͤhlen; der damalige Czaar Baſilius wurde als Gefange - ner nach Pohlen geſchickt. Moscau litt ſehr da - bey. Jm Jahre 1617 drang der Pohlniſche Prinz Wladislaw bis vor Moscau.

La societé de charité maternelle de Ham - bourg, dont l’institution est de secourir pen - dant leurs couches les pauvres femmes Ham - bourgeoises, mariées, et pourvoir à l’entre - tien de leurs enfans jusqu’à l’âge d’un an re - volu, a reçu avec reconnaissance de Mr. Herz - feld, Directeur du Théàtre allemand au Gänse - markt, la somme de 506 Marks provenant de la recette du 23 Sept. jour des funérailles de Mad. Herzfeld, et des hommages funébres qui lui furent rendus le soir par tous les artistes de ce théàtre. Cette somme a été remise à Mr. von Axen, Maire adjoint, trèsorier de la dite société. Les Dames qui la composent sont d’autant plus touchées de ce don géné - reux qu’il leur facilité les moyens de donner le secours nécessaire à un plus grand nombre de femmes que dailleurs il leur aurait été possible de faire.

Mr. Herzfeld en destinant cette somme au secours des pauvres mères, ne pouvait hono - rer plus dignement la memoire de son épouse, elle qui était une se tendre mère.

Signé: La Présidente Abendroth,née Reck.

Die wohlthaͤtige Geſellſchaft zur Unterſtuͤtzung verheyratheter Hamburgiſcher Woͤchnerinnen waͤh - rend ihres Wochenbettes und ihrer Kinder erſten Lebensjahrs (Societé de la charité maternelle de Hambourg) hat von dem Herrn Director des Theaters auf dem Gaͤnſemarkt, Herrn Herzfeld, von der Einnahme am Tage der Todesfeyer der verſtorbenen Madame Herzfeld am 23ſten Sept. die Summe von fuͤnfhundert ſechs Mark dankbarlich erhalten. Das Geld iſt dem Schatzmeiſter der Ge - ſellſchaft, Herrn Maire Adjoint von Axen, uͤber - geben. Die Geſellſchaft freut ſich, daß durch die - ſes großmuͤthige Geſchenk ſie in den Stand geſetzt iſt, mehrern Muͤttern die Sorge wegen der Koſten des Wochenbetts und die Ernaͤhrung ihrer Kinder erleichtern zu koͤnnen.

Der hinterbliebene Gatte konnte auf keine wuͤr - digere Art das Andenken ſeiner Gattin feyern, die ſelbſt eine ſo gute Mutter war, als daß er dieſes Geld zur Erquickung beduͤrftiger Muͤtter beſtimmte.

Unterz. Die Praͤſidentin Abendroth, geb. Reck.

Theater beym Gaͤnſemarkt.

  • Mittewochen, den 7ten: Graf Benjowsky, Schau - ſpiel in 5 Abtheil.
  • Donnerſtag, den 8ten: Die Trauer, Luſtſpiel in 1 Aufzuge. Hierauf: Die Schweizer-Familie, Singſp. in 3 Abtheil.
  • Freytag, den 9ten: Der Triumph der Unſchuld, Luſtſpiel in 3 Abtheil.
  • Sonnabend, den 10ten; Menſchenhaß und Reue, Schauſpiel in 5 Abtheil.

Am 16ten November und an den darauf folgen - den Tagen ſoll die aus drittehalbtauſend Baͤn - den beſtehende Bibliothek des verſtorbenen Kon - ferenzraths und Vicekanzlers Peterſen zu Schles - wig in oͤffentlicher Auction verkauft werden. Ca - taloge uͤber dieſe bedeutende, groͤßtentheils juriſti -ſche Buͤcherſammlung, welche vorzuͤglich reich an Werken fuͤr das Studium der Schleswig-Holſtein - ſchen Landesrechte iſt, ſind in Altona bey dem Herrn Buchhaͤndler Hammerich, in Kiel in der academiſchen Buchhandlung, zu Schleswig im Hauſe des Verſtorbenen, und in allen bedeutenden Oer - tern der Herzogthuͤmer bey einem der Herren Be - amten zu erhalten.

Friederichs-Ruh.

Jndem ich fuͤr ſchuldig halte, meinen Freunden fuͤr den mir geſchenkten Zuſpruch hoͤflichſt zu dan - ken; ſo ſehe ich mich genoͤthigt, Unannehmlichkeit halber, meine Wirthſchaft von heute an aufzuge - ben. Jch mache ſolches bekannt, damit niemand eine Fehlreiſe thun moͤchte.

Auguſt Otto.
[6]

Wechsel - und Geld-Course.

Hamburg, den 6 October.

    • Amsterdam Bco. 34 $$\frac{5}{16}$$ St.
    • dito Cassa 106½ fl.
    kurze Sicht.
    • dito Bco. 34½ St.
    • dito Cassa 106¾ fl.
    • Bordeaux 26¼ S.
    • Paris 26¼ S.
    • Basel
    2 Monat dato.
    • Genua 83 gr.
    • Livorno 89
    Uso von 3 Monat dato.
  • Breslau in Banco 42⅞ à $$\frac{13}{16}$$ ßl. 6 Wochen dato.

per 100 Rthlr. Bco.

  • Copenh. Cour. Rthlr. kurze Sicht.
  • dito 2 Monat dato.
    • Prager Cour. 215 Rthlr.
    • Wien C. pr. Cassa 215 Rthlr.
    • Augsburg. Cour. 142¾ Rthlr.
    6 Woch. dato.

Geld-Cours.

  • Schlesw. Holst. Spec. beff.
    • Hamburger Cour.
    • Dän. gr. Cour. 20½
    • Schillinge
    • Neue Stücke 24½
    • Preussisch Cour. pCt.
    schlechter als Banco.
  • Louis - u. Frd’or. 11 Mk. 11½ ßl. das St. in Bco.
  • Louis - u. Frd’or. 11 Mk. 2 ßl. das St. in Cour.
  • Neue Stücke 31 ßl. pf. das St. in Cour.

Einberufung von Conſcribirten.

Der ſeit Jahren in der Fremde geweſene Schuſtergeſelle Thies Marquard, aus Campen, wird hiemit von ſeinen bekuͤmmerten Eltern auf - gefordert, ſofort zu Hauſe zu kommen, um der Conſcription Genuͤge zu leiſten.

Mein Sohn Friedr. Wilh. Gempt, welcher im Julii 1810 von Ahlburg aus als Cajuͤtwaͤchter in See gegangen, wird hiedurch aufgefordert, baldigſt zu Hauſe zu kommen, um der Conſcription von 1812 Genuͤge zu leiſten.

F. W. Gempt.

Mein Sohn, Joh. Friedr. Weſſel, wird hiemit zum zweytenmal aufgefordert, zuruͤck zu kehren, um der Conſcription Genuͤge zu leiſten.

Joh. Wilh. Weſſel.

Jch fordere meinen Sohn, Peter Blohm, der ſeit 2 Jahren zur See abweſend iſt, auf, eiligſt zu Hauſe zu kommen, und als Conſcribirter von 1792 ſeiner Pflicht zu genuͤgen.

Geſche Luͤhrs, geb. Butten.

Franz Chriſtoph Meyer, welcher vor Jahren beym Transport zur Marine-Conſcription ſich entfernt hat, wird von ſeiner tief bekuͤmmerten Mutter dringend aufgefordert, ſich unverzuͤglich hier zu ſtellen, um das ihr drohende Ungemach ab - zuwenden.

Margaretha Meyer.

Johann Heinrich Kurz, der ſeit mehrern Jahren als Kuͤper-Geſell ſich im Auslande befindet, wird in Auftrag deſſen Eltern von mir, dem Maire der Commune Drochterſen, aufgefordert, ſofort zuruͤck zu kehren, um der Conſcription Genuͤge zu leiſten.

G. Buͤttner.

Meinen ſeit einigen Monaten abweſenden, zu der Conſcriptions-Claſſe vom Jahre 1812 gehoͤren - den, und von dem Herrn Maire der Commune Neuenkirchen, als ſeines geſetzmaͤßigen Wohnſitzes, von Amts wegen in die Conſcriptions-Liſte einge - tragenen Sohn, Johann Juͤrgen Tiedemann, for - dere ich, da ſein gegenwaͤrtiger Aufenthalt mir un - bekannt iſt, dringend auf, ſofort zuruͤck zu kehren, ſeinen Conſcriptions-Pflichten nachzukommen und dadurch von ſich und ſeinen alten bekuͤmmerten Eltern das ſie unausbleiblich treffende Elend ab - zuwenden.

Johann Tiedemann.

Mit kummervollen Herzen zeigen wir unſern geſchaͤtzten Verwandten und Freunden den Tod unſers geliebten Gatten und Stiefvaters, Herrn Jean Abraham Willink, an. Die Vorſehung erfuͤllte ſeinen Wunſch und ließ ihn ploͤtzlich ſein thaͤtiges liebevolles Leben enden; er ſtarb den 2ten September am Schlagfluß, im 72ſten Jahre ſeines Alters. Uns bleibt der Schmerz, den Verluſt des treueſten Freundes zu beweinen.

Deſſen hinterlaſſene Wittwe, Kinder und Schwiegerkinder.

Dieſen Morgen Uhr gieng mein guter Bru - der Heinrich Wilhelm, im 27ſten Lebensjahre, nach einer zweymonatlichen Auszehrung, zu einer beſſern Welt uͤber; welches ich meinen Freunden hiedurch ergebenſt bekannt mache und mich ihrem fernern geneigten Andenken beſtens empfehle.

Johann Daniel Thiermann.

Heute ward meine Frau, geb. Thode, von ei - nem geſunden Maͤdchen gluͤcklich entbunden.

C. Friedrich Green.

Dieſen Morgen ward meine Frau, geb. Weſſel, von einem geſunden Knaben gluͤcklich entbunden.

Heinrich Detmer.
[7]

Eine ſtille Haushaltung, welche in einer der an - genehmſten Gegenden der Stadt ein Haus allein - bewohnt, wuͤnſcht einem ledigen Herrn ein ſchoͤnes heizbares Zimmer, ohne Mobilien, welches die ſchoͤnſte Ausſicht ins Freye hat, zu vermiethen. Da es keinesweges um der Miethe willen geſchie - het, ſo waͤre der Preis ſehr unbedeutend. Wer dazu Luſt hat, beliebe ſeinen Namen und Woh - nung unter der Addreſſe B. B. an die Expedition dieſer Blaͤtter zu geben.

Die von uns unter der Firma von Johann Chri - ſtoph Albers et Soͤhne, vom 1ſten Januar 1801 an, gefuͤhrte Handlung iſt mit gemeinſchaftlicher Be - willigung am 30ſten Julii 1812 aufgehoben; Jo - hann Chriſtoph Albers uͤbernimmt die Liquidation der etwa noch unbeendigten Geſchaͤfte und wird die Handlung unter der Firma von Johann Chri - ſtoph Albers allein fortſetzen.

Anton Albers. Johann Chriſtoph Albers.

Die verwittwete Frau Canzleyraͤthin Timm, weyl. in Heide, iſt den 21ſten d. M. im nicht voͤllig vollendeten 76ſten Lebensjahre entſchlafen. Dieſes mache ich in untenbezeichneter Eigenſchaft den Verwandten und Freunden derſelben ſchuldigſt bekannt.

P. F. Knoͤlk, als Executor testamenti der Verſtorbenen.

Perſon, welche verlangt wird.

Ein Stellvertreter fuͤr einen Conſcribirten aus dem Weſer-Departement wird geſucht, am Venus - berge No. 20 hieſelbſt.

Vice-Consulat de France à Rostock.

Vente publique d’un Corsaire.

Le 26 Octobre prochain à 10 heures du matin, il sera procédé en la chancellerie du Vicé-Consulat de France, en présence du Vice - Consul et d’un principal préposé des Doua - nes, sur la demande de l’armateur et des in - téressés, à la vente publique, au plus offrant et dernier enchérisseur, à l’extinction des feux, du Corsaire Goëlette la Comête, appar - tenant à Mr. Joseph Castel fils, du port

  • d’environ 54 Tonneaux,
  • 56 Pieds de tête en tête,
  • 48 id. de quille,
  • 16 id. de bau,
  • 7 id. de creux,

muni de ces agrés, appareaux, armes et usten - siles.

Les Acquéreurs seront tenus, de payer tous les droits d’usages quelconques, aux autorités locales.

Les Acquéreurs payeront comptant, ou en lettres de change à deux mois d’échéance au plus tard, acceptées à la satisfaction de l’ar - mateur.

La livraison aura lieu le lendemain de la vente, et dans le cas l’acquéreur ne se présenterait pas dans les trois jours, il sera procédé à la revente sur folle enchère.

Les personnes qui vondront acquérir, pour - ront s’adresser la veille de la vente chez Mr. Charles Burchardt, conseiller de commerce, Wasserstrasse, pour prendre connoissance des agrés et de l’état du navire, le tout men - tionné en l’inventaire déposé dans la chan - cellerie du Vice-Consulat de France à Rostock.

Le Vice-Concul Couteaux.

Kayſerl. Koͤnigl. Franzoͤſiſches Vice-Conſulat in Roſtock.

Oeffentlicher Verkauf eines Kaperſchiffs.

Den 26ſten October dieſes Jahrs, um 10 Uhr des Morgens, ſoll in der Kanzeley des Kayſerl. Koͤnigl. Franzoͤſiſchen Vice-Conſulats zu Roſtock, in Gegenwart des Herrn Vice-Conſuls und eines Douanen-Beamten, auf Anſuchen des Rheeders und der Jntereſſenten, oͤffentlich, beym Verloͤſchen der Lichter, an den Meiſt - und Letztbietenden ver - kauft werden: der, Herrn Joſeph Caſtel Sohn zugehoͤrige, Kaper-Schooner, der Comet, von

  • ungefaͤhr 54 Tonnen Gehalt,
  • 56 Fuß uͤber die Steven,
  • 48 Fuß im Kiel-Laͤnge,
  • 16 Fuß Breite uͤber Deck und
  • 7 Fuß Tiefe,

mit dem gehoͤrigen Takelwerk, Waffen und Ge - raͤthſchaften verſehen.

Die Kaͤufer ſind verbunden, alle uͤblichen Ab - gaben jeder Art an die Obrigkeiten zu entrichten.

Die Kaͤufer werden baar oder in Wechſeln, auf zwey Monat hoͤchſtens, zur Zufriedenheit des Rhee - ders, bezahlen.

Die Ablieferung des Schiffs geſchieht den Tag nach dem Verkaufe, und im Fall der Kaͤufer ſich nicht nach Verlauf von drey Tagen einſtellt, wird zur zweyten Verſteigerung fuͤr ſeine Rechnung und Unkoſten geſchritten werden.

Die Kauf-Liebhaber koͤnnen den Tag vor dem Verkauf bey dem Herrn Commerzienrath Carl Burchard den Zuſtand des Schiffs und des Ta - kelwerks, ſo wie es in dem Jnventario benannt iſt, welches in der Kanzeley des Kayſerl. Koͤnigl. Franzoͤſiſchen Vice-Conſulats niedergelegt iſt, in Augenſchein nehmen.

Der Vice-Conſul Couteaux.

Die fruͤher angezeigte Auction verſchiedener Baͤume, Geſtraͤuche ꝛc. der Flottbecker Baumſchule wird am 26ſten October ihren Anfang nehmen, wo - von die Verzeichniſſe in Hamburg bey Herrn H. Vernunfft, Muͤhlenbruͤcke No. 41, in Altona bey Herrn J. H. Reincke, Seſtermannsſtraße No. 281, und in der Baumſchule ſelbſt zu bekommen ſind.

James Booth.

Daß ich die laufenden Geſchaͤfte meines unterm 9ten des vorigen Monats verſtorbenen Schwieger - ſohns, Herrn Ehrenfried Albrecht Frank, mit aller[8]Activis und Paßivis uͤbernommen habe, zeige ich hiedurch ſeinen hieſigen und auswaͤrtigen Hand - lungsfreunden an, und erſuche alle diejenigen, welche Forderungen an ihn haben, ſich dieſerhalb binnen ſechs Wochen bey mir zu melden.

Anthon Heinrich Meyer.

Jn der Bohnſchen Buchhandlung, große Johan - nisſtraße No. 47, iſt zu haben:

Charte vom noͤrdlichen Kriegstheater, enth. das weſtliche Rußland, ganz Pohlen und Preußen, nebſt Daͤnnemark, Schweden und Deutſchland, zum Theil nach der großen Rey - manuſchen Charte gezeichnet und geſtochen im Jahre 1812, in 4 Blaͤttern. 2 Mk. 8 ßl.

Die kuͤrzlich angekuͤndigte neue Charte vom noͤrdlichen Kriegstheater, in 4 Blaͤttern,

die 40 Meilen uͤber Moscau hinausgeht, und einen Theil von Daͤnnemark, Schweden und Deutſchland enthaͤlt, von Salzenberg in Hannover geſtochen, iſt nun fertig geworden und in allen guten Buch - und Kunſthandlungen fuͤr den geringen Preis von 2 Mk. zu haben.

Die Haupt-Commißion haben die Gebr. Hahn in Hannover.

(Jn Hamburg iſt dieſe Charte zu bekommen in der Hoffmannſchen Buchhandlung, Neueburg No. 22.)

Neue Charte vom noͤrdlichen Kriegsſchauplatze,

enth. Pohlen, Preußen, Weſtrußland, bis hin - ter Moscau. 4 Blatt. Hannover, bey Gebr. Hahn. Jn 1 Blatt zuſammengeſetzt 2 Mk. 4 ßl.

(Zu haben bey Fr. Perthes in Hamburg.)

Hamburgiſche Unterhaltungs-Blaͤtter.

Das September-Heft iſt erſchienen und verſandt worden. Man kann dieſe beliebte Zeitſchrift, welche ſowol poſttaͤglich, als in monatlichen Hef - ten, verſchickt wird, bey allen loͤbl. Poſtaͤmtern und Buchhandlungen beſtellen. Der Preis des Jahrgangs (die Kupferblaͤtter mit eingeſchloſſen) iſt 4 Rthlr. Hamb. Cour. oder 5 Rthlr. Saͤchſiſch. (Jn Hamburg abonnirt man ſich in der Expedi - tion, an der Ecke der Scheelengangsbruͤcke.)

Nachricht an die Liebhaber ſchoͤner Blumenzwiebeln.

Am 22ſten und 29ſten October ſollen auf dem Boͤrſenſaal zwey Auctionen von vorzuͤglich ſchoͤnen Blumenzwiebeln gehalten werden. Selbige ſind von dem ehemaligen Correſpondenten des ſel. Hrn. Hermann Muͤnſter abgeſandt worden. Unter den Hyacinthen befindet ſich eine Anzahl der allererſten und vortreflichſten Sorten. Der Catalogus iſt bey dem Makler C. D. Brandt in der Duͤſternſtraße im Hauſe No. 202, ſo wie auch in der kleinen Reichenſtraße im Hauſe No. 4, gefaͤlligſt abzu - fordern.

Auf angeſuchte Erbſchafts-Verzichtleiſtung von ſaͤmmtlichen Sterbehaus-Theilnehmern des verſtor -benen Buchhalters auf der Runnaby Zuckerfabrik, Peter Emanuel Runbom, hat das Medelſtad Can - tons-Landgericht durch oͤffentliche Citation die ſaͤmmtlichen Glaͤubiger des gedachten Runbom ein - geladen und angezeigt, daß ſie ihre Forderungen am zweyten Gerichtstage des im Jahr 1813 geſetz - maͤßigen Wintergerichts, welches in dem Gerichts - hauſe der gewoͤhnlichen Runnaby Gerichtsſtelle ge - halten wird, anzumelden und zu bewachen, ſich uͤber vorbemeldetes Anſuchen zu erklaͤren, wie auch um ein beſſeres Recht, mit einander zu ſtreiten oder zu proceßiren, auf Weiſe, wie es die Koͤnigl. Concurs-Verordnung vom Jahr 1798 vorſchreibt, welches zum erſtenmal kund gethan wird.

Wann mir angezeigt worden, daß der vor mehreren Jahren verſtorbene Abnahmemann Hans Hinrich Eggers und deſſen neulich verſtorbene Schweſter Elſabe Eggers, verwittwete Claſen, in Meggerdorf, ein unterm 27ſten Julii 1787 errichtetes und unterm 1ſten April 1809 aller - höchſt confirmirtes wechſel[ſ]eitiges Teſtament hinterlaſſen haben, worin ſie nach dem §. 3. ihre nächſten Anverwand - ten nach Lov und Landrecht zu Erben eingeſetzt, obgleich dieſe ſchon bekannt ſind, einige außerhalb der Jurisdiction ſich befinden, auch einer der angezeigten Mit-Erben, ein Bruderſohn, ſeit vielen Jahren abweſend iſt, die erforder - lichen Nachrichten und Nachweiſungen des Abweſenden folgende ſind: er heißt Claus Eggers, gebohren zu Meg - gerdorf den 13ten März 1767, iſt im May 1795 mit einem kleinen Fahrzeuge von Friederichſtadt nach Hamburg und von dort auf einem Holländiſchen Schiffe als Matroſe nach Amſterdam gegangen, ſeit der Zeit er nichts von ſich - ren laſſen, die Erlaſſung eines öffentlichen Proclams ſo - wol überhaupt, als beſonders nach Vorſchrift der Verord - nung vom 9ten November 1798 nothwendig ſey, zugleich um die Erlaſſung deſſelben angeſucht, dieſem Anſuchen auch von mir Statt gegeben worden; als werden alle und jede, welche aus dem obbeſagten, zwiſchen dem vor mehreren Jahren verſtorbenen Abnahmemann Hans Heinrich Eggers und deſſen neulich verſtorbenen Schweſter Elſabe Eggers, verwittweten Claſen, in Meggerdorf, unterm 27ſten Julii 1787 errichteten und unterm 1ſten April 1809 allerhöchſt confirmirten wechſelſeitigen Teſtament, Erb-Anſprüche zu haben glauben, oder die Erben des mehrgedachten verſtor - benen Abnahmemanns Hans Heinrich Eggers, und der ver - ſtorbenen Schweſter deſſelben, Elſabe Eggers, verwittwe - ten Claſen, in Meggerdorf, insbeſondere aber der abwe - ſende obgedachte Claus Eggers, gleich wie alle diejenigen, welche an dieſe Erbmaſſe oder an die Verlaſſenſchaft des mehrbeſagten verſtorbenen Abnahmemannes Hans Heinrich Eggers, und der Schweſter deſſelben, Elſabe Eggers, ver - wittweten Claſen, in Meggerdorf, einige Forderungen zu haben vermeynen, oder derſelben aus irgend einem Grunde ſchuldig ſind, reſpective ſub poena praecluſi et per - petui ſilentii und bey Verluſt ihrer Forderungen, auch bey Straſe doppelter Zahlung, hiedurch aufgefordert und angewieſen, ſich, und zwar die Einheimiſchen innerhalb 6 Wochen, die Auswärtigen aber, bey Beſtellung der gehö - rigen Procuratur, innerhalb 12 Wochen, a dato der er - ſten Bekanntmachung dieſes Proclams an gerechnet, im Königl. Gottorfer Amts-Actuariat, und zwar bey dem Herrn Kanzeleyrath und Actuarius Flor in Schleswig, zu melden und anzugeben, die etwa in Händen habenden, ihre Angaben betreffenden Documente in originali daſelbſt zu produciren und beglaubte Abſchriften davon beym Profeſ - ſions-Protocoll zurück zu laſſen. Wornach ꝛc.

von Ahlefeld. In fidem copiae: C. Flor.
Supplement
[9]
Supplément an No. 161 du Journal du Département des Bouches de l’Elbe, oder: Beylage zum Hamburgiſchen unpartheyiſchen Correſpondenten.
Am Mittewochen, den 7 October 1812.

Litterariſche Anzeigen.

Schloſſer, F. C., Geſchichte der bilderſtuͤrmenden Kayſer des oſtroͤmiſchen Reichs, mit einer Ueberſicht der Geſchichte der fruͤhern Regenten deſſelben. gr. 8. 1812. 3 Thlr. 12 Gr. Saͤchſ. oder 6 Fl. 18 Kr. im 24-Guldenfuß.

Wir glauben, dem Publicum dieſes Buch ſehr empfehlen zu koͤnnen, da es die beyden Eigenſchaf - ten eines hiſtoriſchen Werks allgemeines Jn - tereſſe und einen Vortrag, der auch den mit der Geſchichte unbekannten Leſer ergreift ver - einigt. Jedem Freund der Geſchichte wird dieſe Bearbeitung eines Theils der Byzanti - niſchen Geſchichte ſehr erfreulich ſeyn, da wir, Gib - bon ausgenommen, welcher aber in dem letzten Theile gar zu fluͤchtig verfahren iſt, durchaus keine nur lesbare Geſchichte dieſes Reichs haben. Alle occidentaliſchen und orientaliſchen Quellen hat der Herr Verfaſſer benutzt, ſo daß die Noten mit dem Texte zwar ein harmoniſches Ganze bilden, doch aber beydes als eine fuͤr ſich beſtehende, fuͤr ſich vollſtaͤndige Arbeit kann betrachtet werden. Da derſelbe durch andre hiſtoriſche Arbeiten ſeinen Be - ruf zu einem ſo großen Unternehmen bewaͤhrt; da derſelbe eine faſt unglaubliche Muͤhe und Zeit dar - auf verwendet hat, ſo duͤrfen wir einer guͤnſtigen Aufnahme im voraus gewiß ſeyn.

Varrentrapp et Sohn, Buchhaͤndler in Frankfurt a. M.
(Jn Haͤmburg bey Perthes zu haben.)

Jn der Pauliſchen Buchhandlung zu Berlin iſt erſchienen: D. Joh. Geo. Kruͤnitz’s oͤconomiſch-technologiſche Enciklopaͤdie, 120ſter Theil, welcher die Arti - kel Querdeich bis Ratzenfalle enthaͤlt. 746 S. 8. nebſt 19 Kupfertafeln auf Bogen.

Auch dieſer Theil des bekannten, großen, ge - meinnuͤtzigen Werkes, handelt eine Menge Gegen - ſtaͤnde aus den auf dem Titel genannten Faͤchern ab, und iſt in der alphabetiſchen Folge nun ſchon einen guten Schritt, in den Buchſtaben R. hin - eingeruͤckt. Bedeutend große Artikel hat dieſer Theil nicht; die vorzuͤglichſten duͤrften etwa fol - gende ſeyn: Quetſchung, und das noͤthige Heil - verfahren bey Menſchen und Thieren; Quincaille - riewaaren, Quinenlotterie, Quitte, Beſchreibung, Erziehung und Benutzung der verſchiedenen Quit -tenarten; Quittung, Erforderniſſe und noͤthige Vorſicht dabey; Raapfe, eine Art Fiſche; Rabatt - rechnung, Rabdonantie, die Albernheiten der Wuͤnſchelruthenlehre; Rabe, die verſchiedenen Ar - ten beſchrieben ꝛc. ; Race, Entwickelung des ei - gentlichen Begriffs mit Anwendung auf Thiere und Pflanzen; Rachen - oder Maulſeuche bey dem Vieh und deren Heilung; Rachitis oder Engliſche Krankheit, Rackete, Rad, Radeberger Geſundbrun - nen, Raden eine Pflanze, Raͤderthier, Raͤderwerk, Radieren, Ragout, Rah oder Segelſtange, Rah - men, Rainfarr, Ralle, eine Gattung von Voͤgeln, Rambouillet, die beruͤhmte oͤconomiſche Muſter-An - ſtalt in Frankreich; Ramme, Rammelsberg bey Goslar, wegen des ſtarken Bergwerksbetriebs da - ſelbſt. Rand, Rang, Ranunkel, Rapert oder Schiffslaffette, Rapunzel, Ros de Cesille, eine Zeugart, Raſen in verſchiedener Ruͤckſicht; Ra - ſiren, Rat de marée, eine ſonderbare Wirkung der Fluth an den Muͤndungen großer Stroͤhme; Rathhaus, Ratzenfalle.

Die vielen hunderte von kleineren Artikeln konnten hier keinen Raum finden. Praͤnumera - tions-Preis 3 Thlr. 8 Gr., Laden-Preis 4 Thlr. 15 Gr.; alle 120 Theile ſind noch auf eine kurze Zeit fuͤr 142 Thlr. 9 Gr., anſtatt 403 Thlr. 10 Gr., in obiger Verlags-Handlung gegen baare Zahlung zu haben, auch werden ſichere Terminal - Zahlungen angenommen.

Jn Fr. Maurers Buchhandlung in Berlin ſind in der Leipziger Jubilate-Meſſe 1812 folgende neue Buͤcher erſchienen und um beygeſetzte Preiſe zu haben:

  • Archiv Deutſcher Nationalbildung. Herausgege - ben von R. B. Jachmann und Fr. Paſſow, Di - rectoren des Conradinum zu Jenkan. 1s und 2s Quartalheft fuͤrs Jahr 1812. Alle 4 Quar - talhefte 3 Thlr.
  • Blumenthal, S. Alb., Dissert. de externis ocu - lorum integumentis inprimis de membrana nictitante quorundam animalium, c. tab. aen. 4. maj. 8 Gr.
  • Buchanan, J. L., Reiſen durch die weſtlichen He - briden, waͤhrend der Jahre 1781 90. A. d. Engl. 2te Aufl. mit einem illum. Titelkupf. 8. Geh. 16 Gr.
  • Ehrenberg, Fr., Betrachtungen uͤber die wichtig - ſten Angelegenheiten des religioͤſen Sinnes und[10]Lebens, in Predigten. Ein Erbauungsbuch fuͤr gebildete Chriſten. gr. 8. 1 Thlr. 16 Gr.
  • Graͤvell, L. F. W., Anti-Platoniſcher Staat, oder welches iſt die beſte Staatsverwaltung? Zweyte, mit einem Anhange verm. Aufl. gr. 8. Geh. 1 Thlr. 12 Gr.
  • Hartig, G. L., Anleitung zur Berechnung des Geldwerthes eines, in Betreff ſeines Ratural - Ertrages, ſchon taxirten Forſtes. Ein Nachtrag zur Anweiſung zur Taxation und Beſchreibung der Forſten. gr. 8. Geh. 6 Gr.
  • Heinſius, D. Th., der vollkommene Geſchaͤftsmann, oder Anleitung zur Befoͤrderung einer richtigen Kenntniß der kaufmaͤnnifchen Correſpondenz und Statiſtik des oͤffentlichen Geſchaͤftsganges und des Muͤnz - und Poſtweſens in Deutſchland. Dritte verb. und umgearb. Aufl. 8. 6 Gr.

Auch unter dem Titel:

  • Anhang zu Moritz allgemeinem Deutſchen Brief - ſteller.
  • Kruͤger, F., alphabetiſches Verzeichniß der zum Koͤnigl. Preuß. Churfuͤrſtl. und Marggraͤflich - Hohenzollerſchen Stamme gehoͤrigen Prinzen und Prinzeßinnen. 8. 6 Gr.
  • Manteuffel, A. W., der Deutſche Obſt - und Frucht - gaͤrtner, oder Anweiſung, wie man Obſtbaͤume aus dem Kern erziehen und ſie in der Folge warten ſoll. Mit 3 Kupfert. 8. 18 Gr.
  • Meißner, A. G., der unſichtbare Kundſchafter, nach dem Engl. 1r Thl. 2te verb. Aufl. mit 1 Titelkupf. 8. 1 Thlr. 6 Gr.
  • Meyer, J., D. und Prof., Verſuch einer kritiſchen Geſch. der Entzuͤndungen. 1r Band. gr. 8. 1 Thlr. 20 Gr.
  • Müller, J., Altrussische Geschichte nach Nestor, mit Rücksicht auf Schlözers Russische An - nalen, die hier berichtigt, ergänzt und verm. werden. 8. Auf Schreibp. 18 Gr.
  • Muͤller, Ch. H., ein neues leichtes Erwerbsmittel, oder Anweiſung, wie der rohe Salpeter als Ne - benproduct von jedem Grund - und Hausbeſitzer und vielen Gewerbleuten mit wenigen Koſten und großem Vortheile erzielet und fabricirt wer - den kann. 8. 6 Gr.
  • Nikolai, K. H., Wegweiſer durch den Sternen - himmel. 8. Mit einer illum. Karte. 16 Gr.
  • Umſicht im Sternenhimmel, als 2r Thl. des Wegweiſers durch ihn. Mit erlaͤuternden Figu - ren, in Holz geſchnitten. 8. 14 Gr.
  • Nuͤrnberger, J., Theorie des Jnfiniteſimal-Cal - cuͤls. 4. 12 Gr.
  • Rudolphi, Dr. C. A., Spicilegium observatio - num de Hyaena. Cum tab. aen. 4. maj. 16 Gr.
  • Sack, D. F. S. G., (Koͤnigl. Pr. Hofpred. und Ober-Conſiſt. Rath) uͤber die Vereinigung der beyden proteſtantiſchen Kirchen-Partheyen in der Preuß. Monarchie. Nebſt einem Gutachten uͤber die Befoͤrderung der Religioſitaͤt. 8. 16 Gr.
  • Wilke, F., Leitfaden zum practiſchen Geſang-Unter - richt fuͤr Elementarſchulen, beſonders auf dem Lande. Mit einer Kupfert. 4. 12 Gr.

So eben iſt die zweyte ſehr verbeſſerte und ver - mehrte Auflage von: Dr. C. G. Schmalz Verſuch einer mediciniſch -chirurgiſchen Diagnoſtik in Tabellen, oder Erkenntniß und Unterſcheidung der innern und aͤußern Krankheiten, mittelſt Nebeneinanderſtel - lung der aͤhnlichen Formen, Folio, erſchienen.

Ueber die erſte Auflage dieſer Diagnoſtik ſteht in Hufelands Bibliothek der practiſchen Heilkunde, im 5ten Stuͤck vom Jahre 1811, folgendes Urtheil:

Dies Werk iſt in Abſicht ſowol der Jdeen als der Ausfuͤhrung als eines der verdienſtlichſten und muͤhevollſten zu betrachten, die wir ſeit lan - gem erhalten haben und dem Verfaſſer gebuͤhrt da - fuͤr der beſte Dank. Es befaßt ſich mit einem Ge - genſtande, der, ſo zu ſagen, die Seele der Praxis iſt, der hier als ein großes Ganze erſcheint, deſſen einzelne Theile durch die tabellariſche Darſtellung leicht uͤberſchbar gemacht worden ſind ꝛc. Die - ſes in ſeiner Art einzige Werk enthaͤlt einen un - geheuern Reichthum von lauter, dem Heilkuͤnſtler unentbehrlichen und wiſſenswuͤrdigen Dingen, ſo daß es Rec. in der Bibliothek eines jeden practi - ſchen Arztes aufgeſtellt wuͤnſchen muß. Deutſcher Fleiß und Deutſche Gelehrſamkeit zeigen ſich auch hier im ſchoͤnſten Glanze, da keine Nation eine aͤhnliche, ſo weit gediehene Arbeit dieſer Art auf - weiſen kann.

Wer ſich mit baarer Zahlung an uns ſelbſt, oder an Fr. Bruder in Leipzig wendet, erhaͤlt das Exemplat bis Michaeli fuͤr 3 Rthlr. 6 Ggr. im Praͤn. Pr. Der Ladenpreis iſt 4 Rthlr.

Arnoldiſche Buchhandlung.

Wann der Eigenthuͤmer Arnold Friedrich Kracht auf Guſtow ſein Vermoͤgen ſeinen Creditoren ab - getreten hat, und von dieſen auf die Eroͤffnung des foͤrmlichen Concurſes angetragen, ſolcher auch hieſelbſt erkannt iſt; ſo ſind alle diejenigen, die an denſelben und das ihm zugehoͤrige Gut Guſtow Forderungen und Anſprache zu haben vermeynen, durch die unterm heutigen Dato erlafſenen Proclama aufgefordert, ad liquidandum et deducendum jura auf den 28ſten October, oder 2ten December dieſes Jahrs, oder am 16ten Januar kuͤnftigen Jahrs, hieſelbſt zu erſcheinen, und iſt zugleich zur Publication des Praͤcluſiv-Abſchiedes Termin auf den 6ten Februar kuͤnftigen Jahrs angeſetzt. Auch ſind alle, die etwa als Agenten und Lehnfolger ihre Rechte an das Gut Guſtow geltend machen wollen, zur Wahrnehmung ihrer Zuſtaͤndniſſe auf den 28ſten October d. J. vorgeladen, da ſie ſonſt damit als - dann werden praͤcludirt werden.

Koͤnigl. Hofgericht hieſelbſt.

Oeſſentlicher Verkauf eines Platzes mit darauf ſtehendem Gebaͤude. Vorlaͤufiger Zuſchlag.

Durch Me. Patow, Kayſerlichen Notar, reſi - dirend zu Hamburg, ſoll am Ne[u]nten October die - ſes Jahres, Nachmittags um fuͤnf ein halb Uhr, all - hier in Hamburg in dem an der Zollenbruͤcke bele - gene Caſſeehauſe des Herrn Muͤller oͤffentlich an den Meiſtbietenden verkauft und proviſoriſch zuge - ſchlagen werden:

Ein in Hamburg im Bleichergang zwiſchen Leonhard Joachim Schuldt und Herrn Matthias Paulſen, Doctoris, Erben, belegener, zu dem Nach -[11]laſſe des verſtorbenen Wilhelm Friederich Rolffſen gehoͤriger Platz mit darauf ſtehendem Gebaͤude, in zwey Haͤuſern und zwey Speichern beſtehend.

Dieſer Platz mit darauf ſtehendem Gebaͤude ſoll zu der Summe von 10000 Mark Species eingeſetzt werden.

Die Verkaufs-Bedingungen daruͤber ſind bey dem benannten Notar Patow, Filterſtraße No. 48, einzuſehen; und ſaͤmmtliche Notarien der Stadt Hamburg, der Avoné Patow und die Makler Kruͤ - ger, Thormoͤhlen ſenior und junior, De la Camp ſenior und junior, von der Breling, Luſt, Ramcke, Vornhorſt, Baumhauer, Paland, Luͤhrs und von der Meden ertheilen daruͤber naͤhere Nachricht.

Oeffentlicher Verkauf eines Hauſes. Vorlaͤufiger Zuſchlag.

Durch Me. Patow, Kayſerlichen Notar, reſi - dirend zu Hamburg, ſoll am Neunten October die - ſes Jahres, Nachmittags um fuͤnf Uhr, allhier in Hamburg in dem an der Zollenbruͤcke belegenen Caffeehauſe des Herrn Muͤller oͤffentlich an den Meiſtbietenden verkauft und proviſoriſch zugeſchla - gen werden:

Ein in Hamburg im Cremon ſub No. 63 zwi - ſchen Johann Diedrich Stoppel und Albert Wul - haſen Teſtament-Erben belegenes, zu dem Nachlaß des verſtorbenen Wilhelm Friederich Rolffſen ge - hoͤriges Brau-Erbe, beſtehend aus einem Wohn - hauſe und einem Wohnkeller.

Dieſes Erbe ſoll zu dem Preiſe von 15000 Mark Species eingeſetzt werden. Die Verkaufs-Bedin - gungen daruͤber ſind bey dem benannten Notar Patow, Filterſtraße No. 48, einzuſehen; und ſaͤmmtliche Notarien der Stadt Hamburg, der Avoné Patow und die Makler Kruͤger, Thormoͤh - len ſenior und junior, De la Camp ſenior und junior, von der Breling, Luſt, Ramcke, Bornhorſt, Baumhauer, Paland, Luͤhrs und von der Meden ertheilen daruͤber naͤhere Nachricht.

Frederik der Sechste, von Gottes Gnaden - nig zu Dännemark, Norwegen, der Wenden und Gothen, Herzog zu Schleswig, Holſtein, Stormarn und der Dithmarſchen, wie auch zu Oldenburg ꝛc.

Es haben der Herr Geheime-Conferenzrath und Ver - bitter des adelichen Kloſters zu Jtzehoe, Joſtas von Qua - ten, Großkreuz ꝛc., und der Kammerherr und Probſt des adlichen Kloſters zu Preetz, Cai Wilhelm von Ahlefeldt, als verordnete Executoren des von dem verſtorbenen Land - ſaſſen Hinrich Rumohr auf Bothkamp hinterlaſſenen Te - ſtaments, allerunterthänigſt angezeigt, daß in dem von dem Deſuncto ſ. d. Bothkamp den 3ten October 1799 er - richteten Teſtament, in Anſehung des adlichen Guts Both - kamp, mit den dazu gehörigen Meyerhöfen und übrigen Pertinentien, eine fideicommiſſariſche Diſpoſition, benebſt der Succeßions-Ordnung, in dieſem Gute verordnet wor - den, und des Endes Nachſtehendes verfügt ſey:

§. 1.

Zu meinem alleinigen und Univerſal-Erben ſetze und ernenne ich hiemit meiner Schweſter, der verwittweten Frau Kammerherrin Chriſtina Friedericka von Bülow, ge - bohrnen Rumohr, zweyten Sohn, Detlev Hinrich von Bülow.

§. 2.

Sollte mein inſtituirter Univerſal-Erbe vor mir mit Tode abgehen, ſo ſubſtituire ich demſelben in dieſer Eigen - ſchaft ſeinen zunächſt auf ihn folgenden Bruder Cai So - phus von Bülow; ſollte dieſen ein gleiches Schickſal tref - fen, ſo ernenne ich an deſſen Stelle ſeinen jüngſten Bruder Friederich von Bülow als ſubſtituirten Univerſal-Erben;und dieſem ſubſtituire ich endlich, wenn er ebenfalls vor mir verſtorben ſeyn möchte, ſeinen älteſten Bruder Johann Rudolph von Bülow. Sollten, wider alles Verhoffen, dieſe eben genannten Vier Gebrüder von Bülow vor mir Todes verfahren, ſo wird denenſelben der jetzt lebende ein - zige Sohn meiner älteſten Schweſter Dorothea Jda Jo - hanna, verwittweten Frau Kammerherrin von Meurer, gebohrnen Rumohr, Carl von Meurer, hiedurch in dieſer Qualität fubſtituiret.

§. 3.

Mein adeliches Gut Bothkamp, zuſammt den dazu gehörigen Meyerhöfen Schoenhagen, Bockhorſt und Alten - rade, und allen übrigen dazu gehörigen Pertinentien, be - lege ich mit einem perpetuo fideicommiſſo familiae, ſolchergeſtalt, daß mein vorhin genannter und inſtituirter Univerſal-Erbe, oder deſſen Subſtitutus und ſeine eheliche Nachkommenſchaft, dieſe Grundſtücke, nach der ſofort wei - ter feſtzuſetzenden näheren Vorſchrift, in Anſehung des Genuſſes derſelben und demnächſt vorzuſchreibender Suc - ceßions-Ordnung, als ein Fideicommiß beſitzen, nutzen und gebrauchen ſoll.

§. 4.

Ein jeder der ſo eben benannten erſten Beſitzer dieſes Fideicommiſſi, und die folgenden, wenn die Ordnung der Erbfolge einen jeden dazu rufet, ſoll die zu dieſem Gute Bothkamp gehörigen Grundſtücke weder zu verkaufen, noch zu verpfänden, oder ſonſten ganz oder zum Theil zu ver - äußern und ſelbige mit einigen Schulden weiter zu be - ſchweren, als ich ſolches im Verlauf dieſes zu beſtimmen für gut finden werde, ermächtiget ſeyn. Er iſt ferner nicht befugt, von dem vorhandenen Holze, der Regel nach, mehr als zum Gebrauch und zur Unterhaltung der Ge - bäude und anderer Gutsbedürfniſſe erforderlich iſt, auf dem Gute fällen zu laſſen, Glashütten darauf anzulegen, Ziegeleyen weiter als zur Nothdurft des Gutes zu halten, die bey meinem Leben und zur Zeit meines Ablebens ge - ſchloſſenen Waldungen und ſonſtigen Zuſchläge mit keiner Art des Viehes beweiden und die Befriedigungen und Einhegungen verfallen, vielmehr ſelbſt in beſtmöglichſtem Stande unterhalten zu laſſen, noch weniger überhaupt zum Nachtheil des Fideicommiſſi etwas vorzunehmen er - mächtiget, ſondern, da ich dieſes alles ausdrücklich unter - ſage und hiedurch verbiete, ſich bloß mit der haushälteri - ſchen Abnutzung und den Einkünften der fideicommiſſari - ſchen Stücke zu begnügen ſchuldig. Eben dieſes uſufruc - tuariſchen Beſitzes des Gutes Bothkamp wegen, iſt es dem jedesmaligen Beſitzer deſſelben erlaubt, die dazu gehörigen Höfe ganz oder zum Theil auf Zeitpacht zu verhäuren, wenn er ſie nicht ſelbſt adminiſtriren laſſen will, der von ihm darüber zu errichtende Pacht-Contract aber muß, ſo wie die zur Verhäurung zu entwerfenden Conditionen, mit Zuſtimmung der Herren Executoren errichtet werden, und dieſe werden dabey vorzüglich zu ſehen erſuchet, daß dieſe Zeitpachten ſo eingerichtet werden, daß die Subſtanz der Güter dabey nicht eine Deteriorirung erleide. Sollte in - deſſen ein Fideicommiß-Beſitzer dieſen Vorſchriften in ei - nem oder andern Stücke vorſetzlich entgegen handeln, ſo ſoll er dadurch, eo ipſo, für ſeine Perſon des Rechts und des Genuſſes an und in dem Fideicommiſſo verluſtig ſeyn, daſſelbe ſeinem Nachfolger Jnhalts der weiter un - ten zu beſtimmenden Erbfolge anheim fallen, und er gleich - wol gehalten bleiben, den dem Fideicommiß durch ſeinen perverſen Gebrauch erweislich zugefügten Schaden zu erſetzen.

So ſtehet es anbey einem jeden Beſitzer des Fidei - commiß-Gutes Bothkamp frey, ſeiner Gemahlin und künf - tigen Wittwe ſtatt der ſonſt gebräuchlichen Wiederfalls - Gelder bis auf Funfzehnhundert Rthlr. jährlichen Witt - wen-Gehalts aus dem Gute zu verſichern. Jnzwiſchen geht dieſes Wittwen-Gehalt nur auf eine Wittwe; träfe ſich daher der Fall, daß zwey Wittwen da wären, ſo muß die jüngere den Abgang der ältern, es ſey durch Tod oder Wiederverheyrathung, erwarten; überhaupt aber höret aller Wittwen-Gehalt aus dem Fideicommiſſo bey der Wie - derverheyrathung auf.

Keiner derjenigen, der zum Beſitz und Genuß dieſes Fideicommiſſes gelanget, es ſey der erſt ernannte inſtituirte Univerſal-Erbe oder die künftigen Jnhaber nach ihm,[12]ſoll zu irgend einiger Caution und Edirung eines Jnven - tarii ſchuldig ſeyn, ſondern ein jeder derſelben das auf ihn kommende Fideicommiß von allem dieſen frey antre - ten. Dahingegen aber habe ich zu den verordneten Herren Executoribus das Zutrauen, ſie werden, vermöge ihres Amtes, ſich angelegen ſeyn laſſen, dahin vor allen Dingen mit zu ſehen, daß nach dieſer von mir in dieſem Teſta - ment gegebenen Vorſchrift die Güter von dem jedesma - ligen herede fiduciario beſeſſen und genutzet, und die Subſtanz derſelben darnach conſerviret und erhalten werde. Zu dieſem Ende bitte und erſuche ich dieſelben, daß ſie die Güte haben, ſich zu Zeiten, und wenn ſie es nöthig finden, wenigſtens ein Jahr ums andere, zu einer ihnen bequemen Zeit in Perſon nach den Fideicommiß-Gütern zu begeben, als zu welchen Reiſen ihnen auf ihr Verlan - gen ſogleich die erforderlichen Vorſpannpferde von den Höfen, wohin ſie ſolche verlangen, geſandt werden ſollen, daſelbſt, allenfalls in Gegenwart und mit Zuziehung der Gutsbedienten, als welche ihnen von allem Nachricht zu geben haben, die Haushaltung auf den Feldern, beſonders die hauswirthſchaſtliche Benutzung und Conſervation der Hölzung, meiner Vorſchrift gemäß, ſo wie in Hinſicht der Unterhaltung der Gebäude auf den Höfen, in den Dör - fern und den Feldern alles nachſehen, in wie ferne ſich ſolches alles im haushälteriſchen Stande befindet, und wenn ſie Mängel in dieſem oder jenem Stücke nach ihrer Einſicht bemerken, ſolche dem jedesmaligen Beſitzer des Fideicommiſſes zur Abſtellung und Verbeſſerung anzeigen; in wie ferne ſich dann dieſe Mängel bey der nächſtfolgen - den Beſichtigung nicht hergeſtellet finden möchten, haben ſie darüber höheren Orts Anzeige zu thun, damit durch richterliche Hülfe dieſen Mängeln abgeholfen werde und ſelbigen für die Zukunft Einhalt geſchehe, auch nach be - fundenen Umſtänden die oben beſchriebene poena priva -[s]oria gegen den Beſitzer eintreten könne.

§. 5.

Jndem ich in dem Anfang des vorhergehenden §. die Art und Weiſe, wie der Regel nach der Beſitz und Genuß des von mir conſtituirten Fideicommiſſi, mit welchem ich das Gut Bothkamy und die dazu gehörigen Höfe und ſonſtigen Stücke beleget habe, von dem jedesmaligen he - rede fiduciario eingerichtet und geführet werden ſoll, feſtgeſetzet habe; ſo finde ich mich doch bewogen, dar - über in gewiſſen Fällen eine Ausnahme von dieſer Regel eintreten zu laſſen, und zu dieſem Behuf Nachſtehendes feſtzuſetzen. So viel demnach

1) den unterſagten Verkauf und die Veräußerung der zu dem adelichen Gute Bothkamp gehörigen Stücke betrifft, bleibt es mein unveränderter Wille, daß die größeren Stücke deſſelben, nämlich der Haupthof Bothkamp und die dabey von jeher gelegt geweſenen Höfe: Schoenhagen, Bockhorſt und Altenrade, auch, wenn ich mich entſchließen ſollte, außer dieſen annoch einen oder mehrere neue Meyer - höfe anzulegen, ſo lange es immer möglich, in ihrem Gan - zen und unzerſtückelt erhalten und conſerviret bleiben, auch überall nichts davon als eigenthümlich veräußert werde, mithin von dem jedesmaligen Fideicommiß-Beſitzer vorbe - ſchriebenermaßen durch Zeitverpachtungen genutzet werden, wenn auch eine ſolche Nutznießung mit einem mäßigen Ab - gang in den Revenuen verbunden ſeyn mögte. Sollten ſich indeſſen bey der allgemeinen Verfaſſung der Güter hier in Holſtein ſolche Umſtände ereignen, wo nach dem Wunſche des Beſitzers und mit Gutbefinden der Herren Executoren die Parcelirung eines oder mehrerer dieſer mit dem Fidei - commiß belegten Güter und Höfe unumgänglich nothwen - dig oder auffallend und augenſcheinlich nützlich würde; ſo autoriſire ich die Herren Executoren hiedurch zu einer ſolchen Einrichtung; nur bitte ich, in dieſem Falle belie - bigſt dafür zu ſorgen, daß eine ſolche Veränderung nicht zum etwanigen bloßen Vortheil des Fiduciarii durchgeſetzet, verfolglich, wenn es ſeyn kann, nichts an Kaufgeld ſogleich baar ausgezahlet, dagegen aber der jährliche Canon er - höhet werde, damit überhaupt bey ſolcher Gelegenheit die Subſtanz der Güter nicht leide; in allem aber bey dieſem Geſchäfte dahin Sorge zu tragen und es zu veranſtalten, daß der jedesmalige Fideicommiß-Beſitzer ſich mit der haus - hälteriſchen Abnutzung begnügen laſſe. Auf gleiche Weiſe ſoll es auch mit der Ueberlaſſung der Hufen in den Dör -fern, oder der kleinen Häuerſtellen im Gute gehalten wer - den, bey welchen auch nur die Ausnahme des ſichtbaren Nutzens, die Veräußerung zum Eigenthum auf Erbpacht anrathen läßt, ſonſt aber die Zeitpacht als das Gewöhn - liche eintritt; da dann in dem Falle der eigenthümlichen Ueberlaſſung die Herren Executoren dahin zu ſehen ange - wendet ſeyn werden, daß entweder gar kein Kaufgeld und deſto höherer Canon, oder im Fall Kaufgeld bezahlet wird, dieſes gleich, wie es bey Parcelirungen der größeren Höfe ebenfalls geſchehen ſoll, wenn es bey deren Zerſtückelung ſtipuliret und bezahlet wird, mit zum Abtrag der Schul - den, die auf die Subſtanz des Gutes haften, ſie mögen annoch von mir herrühren, oder nach der ſogleich folgen - genden Beſtimmung von dem Beſitzer des Fideicommiſſes contrahiret ſeyn, verwendet werden.

2) Auf gleiche Weiſe will ich, da ich die Erhaltung und Erſparung des Holzes als das größte Kleinod für die Er - haltung des Guthes Bothkamp anſehe, und darauf beſon - ders Rückſicht zu nehmen verordne, den der Regel nach, unterſagt bleibenden Holz-Verkauf in demſelben cum per - tinentiis dahin modificiren, daß auf den Fall, da der zeitige Beſitzer des Gutes durch unvorhergeſehene und durch ſeine Schuld nicht erwachſene Unglücksfälle, ſie be - ſtehen ſonſt worin ſie wollen, einen ſolchen Abgang in den Revenuen erlitten, daß er bis gegen die Hälfte der ſonſt in guten Jahren gewöhnlichen Einnahme eingebüßt, oder der Beſitzer in die Nothwendigkeit verſetzet werden möchte, bey außerordentlichen Vorfällen, nach der ſofort weiter zu beſtimmenden Vorſchrift. Gelder aufzunehmen, es erlaubt ſeyn ſolle, einiges Holz zu ſchlagen und zu ver - kaufen, um dadurch dem Beſitzer ſeinen Schaden in etwas zu erſetzen, oder die aufgenommenen Schulden zu tilgen. Zu dieſem Holz-Verkauf ſoll aber nur dasjenige genommen werden, was auf den Guts - und Dorfsfeldern als Sprang - holz ſtehet, damit dieſe zugleich von dem Holze gereiniget werden. Zur Zeit und in einem Jahre muß aber nicht mehr als für etwa Zwey Tauſend Rthlr. gefället und ver - kauft werden. Doch erweitere ich dieſe Erlaubniß für mei - nen erſten inſtituirten Univerſal-Erben Detlev Hinrich von Bülow dahin, daß es ihm, in ſo ferne von dem Sprang - Holze hinreichender Vorrath vorhanden, mit Guthefinden der Herren Executoren freyſtehe, von dieſem Holze jährlich bis zur Summe von Fünf Tauſend Rthlrn. zu ſchlagen, und er dieſes Geld nicht zu Abtragung von Schulden, ſon - dern zu ſeinem und ſeiner Kinder und Familien Beſten anzuwenden freye Macht haben könne. Wobey ich denn zugleich wünſche, daß, in ſo ferne bey der von mir derma - len vorzunehmenden Einrichtung in dem Gute, der Plan, ſo wie ich ſelbigen auch in Anſehung der Aufräumung des Sprangholzes angefangen, bey meinem Ableben noch nicht vollführt ſeyn möge, darin, ſo viel möglich, nach der An - lage, die ich darüber gemacht, mit verfahren werde. Die geſchloſſenen Waldungen und Zufchläge bleiben aber von der Fällung zum Verkauf ganz ausgeſchloſſen, als welche forſtmäßig cultiviret, mit guter Einfriedigung verſehen bleiben, und nur daraus das abgängige und auf Schaden ſtehende Holz herausgenommen und zu den Bedürfniſſen des Gutes verwendet wird. Das Weichholz wird gehö - rig ausgehauen, und der Abfall zum Nutzen des Gutes verwendet, auch die Cultur und Anpflanzung deſſelben auf alle Weiſe befördert. Alles dieſes bleibet der Direction der Herren Executoren, mit welchen der Beſitzer darüber zuſammen treten muß, untergeordnet, die nach ihren be - ſten Einſichten und Ermeſſen darüber das Nähere, in Ein - richtung der Art des Verkaufs und der Stellen, wo ſelbi - ges weggenommen werden ſoll, mit dem Beſitzer des Gutes auszumitteln belieben werden. Sollten indeſſen die Ein - richtungen des Guts eine Holzfällung außer den vorange - zeigten Fällen nöthig machen, ſo kann ſelbige auch vorge - genommen werden, das daraus gelöſete Geld aber muß entweder zur Abführung von Schulden angewendet, oder wenn dieſe nicht da ſind, zur ſichern Belegung ausgeſetzet werden. Jn dieſem Falle genießt der Beſitzer des Gutes die Zinſen davon ſo lange, bis der Hauptſtuhl bey ſich er - eignenden Vorfällen zur verſchriebenen Beſtimmung ver - wendet werden kann.

3) Auch die Beſchwerung der Subſtanz des Guts Both - kamp mit darauf zu contrahirenden Schulden bleibt dem[13]jedesmaligen Beſitzer, der Regel nach, in alle Wege unter - ſaget. Zu mehrerer Erleichterung deſſen aber will ich in - deſſen dieſes als eine Ausnahme von der Regel verfügt haben, daß es dem Fideicommiß-Beſitzer freyſtehen ſolle, unter gewiſſe Umſtänden darauf Schulden zu contrahiren, und die Subſtanz bis auf eine Summe von Einhundert und Funfzig Tauſend Rthlr., aber nicht weiter, damit zu beſchweren. Zu den dazu qualificirten Fällen rechne ich theils den in Numero praecedenti angezeigten Fall, wenn der Beſitzer durch unvorhergeſehene, durch ſeine Schuld nicht erwachſene Unglücksfälle, in den gewöhnlichen Er - trag der Revenuen des Guts geſchmälert worden, und dazu die vorgeſchriebene Summe aus dem Holz-Verkauf nicht zureichend erfunden werden ſollte, theils auch den Umſtand, wenn außerordentlich bevorſtehende Ausgaben, als der nothwendige Bau eines anſehnlichen Haupt-Ge - bäudes auf den Höfen, oder die Unkoſten zu einer nach Zeit und Umſtänden erforderlichen neuen Einrichtung dieſes oder jenen größern Stücks des Guts, die Ausſchreibung einer außerordentlichen ad tempus daurenden Auflage und dergleichen außerordentliche beträchtliche Ausgaben, die nicht durch die Schuld oder eine unordentlich geführte Wirthſchaft des Fiduciarii entſtanden ſind, eintreten. Bey dieſen ſich ereignenden Fällen ſind die Herren Execu - tores mit dem zeitigen Beſitzer ermächtiget, die Subſtanz des Guts mit einer zu contrahirenden Schuldenlaſt bis zu dem vorgeſchriebenen Quanto zu bebürden. Sie negociiren alsdann die erforderlichen Summen, ſtellen darüber ge - meinſam die Verſchreibung unter Verpfändung der Güter aus, und die Herren Executores werden die Güte haben, über die auf das Gut haftenden Schulden ein beſonderes Verzeichniß zu führen, damit ſie ſicher ſind, wie weit die aufgenommenen Gelder ſich erſtrecken, und daß ſie den Creditoribus zeigen können, daß die Gelder bis zu dem angemerkten Quanto der Einhundert und Funfzigtauſend Reichsthaler mit Sicherheit angeliehen werden können. Die Wiederbezahlung dieſer Gelder kann nach und nach aus dem etwa zu verkaufenden Holze, oder wenn bey Par - celirungen Kaufgelder bezahlet werden, aus dieſen Geldern, ſo wie aus demjenigen, was ich weiter im Verfolg dazu anweiſen werde, geſchehen, und wenn der Beſitzer einige gute Jahre gehabt hat, ſo kann er auch von ſeinem uſu - fructu nach und nach etwas, nach Befinden der Herren Executoren, zu Abtragung der Schulden, wenigſtens Ein bis Zweytauſend Rthlr. mit hergeben, und hiezu erſuche ich die Herren Executoren, den zweyten Beſitzer anzuhal - ten, ſo lange wenigſtens, bis das Quantum der Schulden - laſt bis zu Einhundert Tauſend Rthlrn. heruntergeſetzt worden. Zu dieſem Behuf und damit gleich bey dem erſten Beſitzer des Guts Bothkamp der ganze Paßiv - Zuſtand meiner Verlaſſenſchaft ins Gewiſſe geſetzt werde, extrahiren die Herren Executoren ein landübliches Pro - clama; die dabey profitirten Schulden werden von meinem inſtituirten Erben mit den von mir nachzulaſſenden Acti - vis und ausſtehenden Capitalien, ſo weit ſelbige dazu zureichen, getilgt, die übrig bleibenden aber auf die vor - angezeigte Weiſe, ſo viel thunlich, nach und nach berich - tiget.

§. 6.

Die Succeßions-Ordnung in dieſem mit einem Fidei - commiſſo perpetuo belegten Gute Bothkamp, in An - ſehung welcher ich, ſo wie bey dem erſten Beſitzer, alſo auch bey Veränderung der nachherigen Poſſeſſorum, den Abzug der Quartae Trebellianicae oder Falcidiae, un - ter welchem Vorwand dieſelbe auch ganz oder zum Theil verlangt werden möchte, ſchlechterdings und gänzlich hie - durch unterſage, ſoll dieſe ſeyn: Daß nach dem erfolgten tödtlichen Hintritt meines inſtituirten Univerſal-Erben Detlev Hinrich von Bülow, oder wenn dieſer vor Abtre - tung meiner Erbſchaft vor mir verſtorben ſeyn möchte, derjenige von den ihm im §. 3. ſubſtituirten Erben, wel - cher nach der daſelbſt feſtgeſetzten Ordnung vi ſubſtitu - tionis dazu gerufen ſeyn möchte, ſolches Fideicommiß ſeinem älteſten Sohne und ſeiner ferneren Nachkommen - ſchaft zufalle, alſo und dergeſtalt, daß beydes, das männ - liche und weibliche Geſchlecht, darin ſuccedire, jedoch nur einer von jeden derſelben zur Zeit zur Perception komme, inzwiſchen das männliche Geſchlecht in derſelben Liniedem weiblichen und der Erſtgebohrne und deſſen Nachkom - men dem jüngern und deſſen Descendenz immer vorgehe, ſo daß keine Perſon weiblichen Geſchlechts zur Succeßion in dieſem Fideicommiß gelangen kann, ſo lange noch eine Per - ſon männlichen Geſchlechts in derſelben Linie vorhanden iſt. Sollte nun aber dieſer mein inſtituirter Erbe ohne eheliche Poſteritel dieſes Zeitliche verlaſſen, ſo fällt dieſes Fidei - commiß an ſeinen Bruder, der zunächſt auf ihn folget, Cai Sophus von Bülow und deſſen eheliche Descendenz, nach der vorgeſchriebenen Ordnung. Stürbe auch dieſe aus, ſo fällt es an den jüngſten, Friedrich von Bülow und deſſen eheliche Nachkommenſchaft; nach deren Ausgang aber an den älteſten der Gebrüder von Bülow, Johann Rudolph von Bülow und deſſen eheliche Poſteritel. Würde dieſe ganze Bülowſche Branche ausgehen, ſo fällt es auf den jetzt lebenden einzigen Sohn meiner älteſten Schweſter, Carl von Meurer und deſſen eheliche Descendenz. Stirbt die Nachkommenſchaft dieſer meiner Schweſter-Söhne aus, ſo trifft alsdann die Reihe der Erbfolge in dem Gute Bothkamp die Descendenz der Töchter meiner Schweſter, der Frau Kammerherrin von Bülow, und zwar zuerſt der älteſten, Jda Margaretha, und nach deren Erlöſchung die der jüngern, Sophia von Bülow, und endlich nach deren Abſterben die Descendenz der Tochter meiner Schweſter, der Frau Kammerherrin von Meurer, Namens Jda, und wird allemal die Art der Succeßion in jeder Branche nach obiger Vorſchrift beurtheilet und reguliret. Uebrigens ſollen die jedesmaligen Fideicommiß-Beſitzer des Gutes Bothkamp, aus rechtmäßiger Ehe gebohren, hinfolglich ſind die Legitimati, es ſey per ſubſequens matrimo - nium, oder per reſcriptum principis auf jeden Fall ausgeſchloſſen und dabey ſchuldig ſeyn, ihre Töchter in einem der drey adelichen Klöſter des Herzogthums Hol - ſtein, deren Wahl denſelben vorbehalten bleibet, einſchrei - ben zu laſſen, und ſoll dieſes gleich in dem erſten Geburts - Jahre der Tochter geſchehen, und werden die Herren Exe - cutoren, daß ſolches ja nicht verabſäumet werde, mit zu ſehen, belieben.

Wann nun zugleich, dem ausdrücklichen Willen des De - functi zufolge, darum angeſuchet worden, daß zur Beob - achtung und Erfüllung dieſer fideicommiſſariſchen Diſpoſi - tion ſelbige zur öffentlichen Publication gebracht werde, und dieſer Bitte Statt gegeben iſt; als wird dieſe fidei - commiſſariſche Diſpoſition über verbenanntes Gut cum pertinentiis, ſo wie die darin enthaltene Succeßions - Ordnung, hiedurch zu jedermanns Wiſſenſchaft gebracht, damit ſelbige in allen Puncten und Klauſeln erfüllet werde. Wornach ein jeder, den es angeht, ſich zu achten.

Urkundlich unterm vorgedruckten Königl. Jnſiegel.

  • L. S.
  • R.
M. Feldmann. Levſen. Pro vera copia: Rachel. Börm.

Frederik der Sechste, von Gottes Gnaden König zu Dännemark, Norwegen, der Wenden und Go - then, Herzog zu Schleswig, Holſtein, Stormarn und der Dithmarſchen, wie auch zu Oldenburg ꝛc.

Es haben die Teſtaments-Executoren des verſtorbenen Landſaſſen Hinrich von Rumohr auf Bothkamp allerun - terthänigſt angezeigt, wie ſie zur völligen Conſtituirung und Regulirung dieſer Erbſchaftsmaſſe die Extrahirung eines öffentlichen Proclams über den Nachlaß des Defuncti er - forderlich fänden, mit der hinzugefügten Bitte, gedachtes Proclam zu erlaſſen.

Wann nun dieſem Geſuche Statt gegeben worden, ſo werden hiedurch von Gerichts und Rechts wegen alle und jede, welche an den Nachlaß des verſtorbenen Landſaſſen Hinrich von Rumohr auf Bothkamp, ex capite heredi - tatis, fideicommiſſi, crediti, mandati, depoſiti, vel ex alio quocunque capite vel cauſa, irgend einige Rechts begründete Anſprüche oder Forderungen, mit allei - niger Ausnahme der teſtamentariſchen, ſo wie ſolche durch die letzte Willens-Meynung des Defuncti d. d. Bothkamp[14]den 3ten October 1799 begründet ſind, haben oder zu ha - ben vermeynen, hiedurch aufgefordert und befehligt, ſich, und zwar die Einheimiſchen binnen 6, die Auswärtigen aber durch die von ihnen hieſelbſt zu beſtellenden Procu - ratores ad acta binnen 12 Wochen, nach geſchehener öf - fentlichen Verkündigung dieſes Proclams, ſub poena praecluſi et perpetui ſilentii bey dem Juſtizrath und Landgerichts-Notario Rachel hieſelbſt gehörig anzugeben, ihre in Händen habenden Documente in origine zu pro - duciren, auch beglaubte Abſchriften davon beym Protocoll zurück zu laſſen. Mit der ausdrücklichen Warnung, daß alle, welche ihre Angabe binnen den obgedachten Friſten zu beſchaffen verabſäumen, nach Ablauf derſelben damit nicht weiter werden gehört werden, vielmehr gänzlich mit ſelbi - gen präcludirt ſeyn ſollen. Wonach alle, die es angeht, ſich zu achten und vor Schaden zu hüten haben.

Urkundlich unterm vorgedruckten Königl. Jnſiegel.

  • L. S.
  • R.
M. Feldmann. Levſen. Pro vera copia: Rachel. Börm.

Frederik der Sechste, von Gottes Gnaden König zu Dännemark, Norwegen, der Wenden und Gothen, Herzog zu Schleswig, Holſtein, Stormarn und der Dithmarſchen, wie auch zu Oldenburg ꝛc.

Es hat der Landſaſſe Ludwig Matthias Scheel auf Teſtorf um Bewilligung eines Folii für deſſen Gut Teſtorf c. p. im landgerichtlichen Schuld - und Pfandprotocolle und Erlaſſung des desfälligen Proclams allerunterthänigſt angeſucht. Wann nun dieſem Anſuchen Statt gegeben worden, ſo werden alle und jede, welche an das adeliche Gut Teſtorf mit Zubehörungen irgend einige, daſſelbe realiter afficirende protocollationsfähige Anſprüche, ſie haben Namen, wie ſie immer wollen, machen zu können vermeynen möchten, hiedurch aufgefordert und befehligt, ſich als Einheimiſche binnen 6, als Auswärtige aber bin - nen 12 Wochen, ſub poena praecluſi durch von ihnen zu beſtellende Procuratores ad acta bey dem Juſtizrath und Landgerichts-Notarius Rachel anzugeben, die ihre Forderungen begründenden Documente in origine und unter Beyfügung beglaubter Abſchriften derſelben zu pro - duciren und demnächſt weitere Verfügungen zu gewär - tigen, mit der ausdrücklichen Warnung, daß alle diejeni - gen, welche ſich in dieſen Friſten verabſäumen, eo ipſo in die angedrohte Strafe verfallen ſeyn ſollen. Nach ge - ſchloſſenem Profeßions-Protocolle wird das bewilligte Folium im Schuld - und Pfand-Procolle eingerichtet wer - den, und haben die Profitenten zu gewärtigen, daß ihren procurato ribus ad acta die producirten Documente nach geſchehener Protocollation derſelben werden retradirt werden.

Urkundlich unterm vorgedruckten Königl. Jnſiegel.

  • L. S.
  • R.
v. Brockdorff. Moritz. Pro vera copia: Rachel. Rötger.

Frederik der Sechste, von Gottes Gnaden König zu Dännemark, Norwegen, der Wenden und Gothen, Herzog zu Schleswig, Holſtein, Stormarn und der Dithmarſchen, wie auch zu Oldenburg ꝛc.

Es haben der Fürſtlich Lübeckſche Kanzleyrath Corne - lius Chriſtoph Martens, und der Doctor der Rechte, auch Obergerichts-Advocat, Daniel Friederich Martens in Eutin, als Beſitzer des adelichen Guts Birkenmoor, für ſich und ihre Mitbeſitzer gedachten Guts, nämlich den Päch - ter Martens auf Rathmannsdorf, die Wittwe Geertz in Eutin und Joachim Hinrich Micelſen, hieſelbſt vorgeſtellt, daß, da die auswärtigen wie die einheimiſchen Gelderlei - her, veranlaßt durch die Zeitumſtände, gegen alle dieje -nigen Gutsbeſitzer, welche ihnen kein Protocoll anzubie - ten hätten, mißtrauiſch wären und auch bey der augen - ſcheinlichſten Sicherheit ſich mit ihnen entweder überall nicht, oder doch nicht anders, als gegen unmäßige Zinſen einließen, die Supplicanten es für ihr Jntereſſe vortheil - haft finden müßten, in dem für die adelichen Güter er - öffneten Schuld - und Pfand-Protocolle ein Folium für ihr Gut Birkenmoor zu erhalten.

Um der dieſerwegen hinzugefügten Bitte zu willfahren, wird hiemit allen und jeden, welche an das adeliche Gut Birkenmoor und deſſen Zubehörungen aus irgend einem Grunde einige, daſſelbe realiter afficirende, mithin pro - tocollationsfähige Anſprüche und Forderungen zu haben glauben, hiemit der Befehl ertheilt, ſich mit denſelben als Einheimiſche binnen 6, als Auswärtige aber innerhalb 12 Wochen a dato publicationis hujus proclamatis, im hieſigen Landgerichts-Notariat bey dem Kanzley - und Ober - gerichts-Secretair Geiſter in Schleswig anzugeben, die Do - cumente, worauf ihre Angaben ſich gründen, daſelbſt in origine und mit Zurücklaſſung allda für die Gebühr zu vidimirender Abſchriften zu produciren, auch, in ſo fern ſie nicht am Orte ſind, procuraturam ad acta zu beſtel - len. Mit der ausdrücklichen Verwarnung, daß alle, welche ſolchergeſtalt ſich anzugeben unterlaſſen, mit ihren etwa - nigen Anſprüchen vorgedachter Art bey Einrichtung des erbetenen Folii überall nicht mehr berückſichtigt, vielmehr in dieſer Hinſicht völlig präcludirt ſeyn ſollen. Und ſo wie übrigens nach abgelaufenem Proclam und geſchloſſe - nem Angabe-Protocolle das Folium für das adeliche Gut Birkenmoor in dem Landgerichtl. Schuld - und Pfand-Pro - tocolle behörig einzurichten und die Protocollation der an - gegebenen dazu geeigneten Pöſte in rechtlicher Ordnung vorzunehmen iſt, ſo müſſen auch die darauf lautenden Ori - ginal-Documente bis zur geſchehenen Protocollation im Landgerichts-Notariat verbleiben, oder, durch die vidi - mirten Abſchriften einſtweilen erſetzt, demnächſt zur Be - zeichnung mit dem Atteſtat wieder eingeliefert werden. Wornach ein jeder, den es angeht, ſich zu richten hat.

Urkundlich unterm vorgedruckten Königl. Jnſiegel.

(L. S.) F. C. Krück. Fr. Eggers. Pro vera copia: Geiſter. H. C. Otte.

Frederik der Sechste, von Gottes Gnaden - nig zu Dännemark, Norwegen, der Wenden und Gothen, Herzog zu Schleswig, Holſtein, Stormarn und der Dithmarſchen, wie auch zu Oldenburg ꝛc.

Es haben der Fürſtlich Lübeckſche Canzeley-Rath Cor - nelius Chriſtoph Martens und der Doctor der Rechte, auch Obergerichts-Advocat, Daniel Friederich Martens, in Eutin, als Beſitzer des adel. Guts Borghorſter-Hütten, für ſich und ihre Mitbeſitzer gedachten Guts, nämlich den Pächter Martens auf Rathmansdorf, die Wittwe Geertz in Eutin und Joachim Hinrich Michelſen, hieſelbſt vorge - ſtellt, daß, da die auswärtigen wie die einheimiſchen Geld - verleiher, veranlaßt durch die Zeitumſtände, gegen alle diejenigen Gutsbeſitzer, welche ihnen kein Protocoll anzu - bieten hätten, mißtrauiſch wären und bey der augenſchein - lichſten Sicherheit ſich mit ihnen überall nicht, oder doch nicht anders als gegen unmäßige Zinſen einließen, die Supplicanten es für ihr Jntereſſe vortheilhaft finden müßten, in dem für die adelichen Güter eröffneten Schuld - und Pfandprotocolle ein Folium für ihr Gut Vorghorſter - Hütten zu erhalten.

Um der dieſerwegen hinzugefügten Bitte zu willfahren, wird hiemit allen und jeden, welche an das adliche Gut Borgh[o]rſter-Hütten und deſſen Zubehörungen aus irgend einem Grunde einige, daſſelbe realiter afficirende, mithin protocollationsfähige Anſprüche und Forderungen zu ha - ben glauben, hiemit der Befehl ertheilt, ſich mit ſelbigen als Einheimiſche binnen 6, als Auswärtige aber inner - halb 12 Wochen, a dato publicationis hujus procla - matis, im hieſigen Landgerichts-Notariat, bey dem Can - zeley - und Obergerichts-Secretair Geiſter in Schleswig[15]anzugeben, die Documente, worauf ihre Angaben ſich gründen, daſelbſt in origine und mit Zurücklaſſung allda für die Gebühr zu ſidimirender Abſchriften zu produciren, auch, in ſo fern ſie nicht am Orte ſind, Procuraturam ad acta zu beſtellen. Mit der ausdrücklichen Verwarnung, daß alle, welche ſolchergeſtalt ſich anzugeben unterlaſſen, mit ihren etwanigen Anſprüchen vorbemeldeter Art bey Einrichtung des erbetenen Folii überall nicht mehr berück - ſichtigt, vielmehr in dieſer Hinſicht völlig präcludirt ſeyn ſollen. Und ſo wie übrigens nach abgelaufenem Proclam und geſchloſſenem Angabe-Protocolle das Folium für das adeliche Gut Borghorſter-Hütten in dem Landgerichtlichen Schuld - und Pfand-Protocolle behörig einzurichten und die Protocollation der angegebenen dazu geeigneten Pöſte in rechtlicher Ordnung vorzunehmen iſt, ſo müſſen auch die dergleichen Pöſte betreffenden Original-Documente bis zur geſchehenen Protocollation in dem Landgerichts-No - tariat verbleiben, oder durch die fidimirten Abſchriften einſtweilen erſetzt, demnächſt zur Bezeichnung mit dem Atteſtat wieder eingeliefert werden. Wornach ein jeder, den es angeht, ſich zu achten hat.

Urkundlich unterm vorgedruckten Königl. Jnſiegel.

(L. S.) J. C. Krück. v. Eggers. Pro vera copia: Geiſter. H. C. Otte.

Die Wittwe des hierſelbſt im Jahr 1812 verſtorbenen Stuhlmachers Ludolph Chriſtian Burchard, gebohrne Hanſen, hat vorgeſtellt, daß gedachter ihr Ehemann keine Leibeserben hinterlaſſen habe, und ihr von ſeinen ſonſti - gen Jnteſtat-Erben nicht das mindeſte bekannt ſey, und daher zur Ausfindigmachung derſelben um die Erlaſſung eines Proclams gebeten.

Solchemnach werden von Bürgermeiſter und Rath die - fer Stadt alle und jede, welche an den Nachlaß des wey - land hieſigen Stuhlmachers Ludolph Chriſtian Burchard als Jnteſtat-Erben deſſelben Anſprüche zu haben vermey - nen, bey Strafe der Präcluſion hiemit ein - für allemal, mithin peremtoriſch, geladen, daß ſie, die Einheimiſchen, am 6ten November, die Auswärtigen aber, unter Beſtel - lung eines procuratoris ad acta, am 15ten December d. J. hierſelbſt auf dem Rathhauſe ſich gehörig angeben, die zur Begründung ihrer Anſprüche dienenden Documente im Original produciren, und davon beglaubte Abſchriften bey den Acten zurücklaſſen, mit der Verwarnung, daß ge - gen diejenigen, welche ſolches verabſäumen, die Strafe reſpective der Präcluſion, des ewigen Stillſchweigens und ſonſt den Rechten gemäß werde erkannt werden.

Wornach ſich zu achten.

Bürgermeiſter und Rath der Stadt Kiel.

Von Gerichts wegen gebiete Jch Chriſtian Matthias Jacob Johannſen, beſtallter Conferenzrath und Landvogt in Norderdithmarſchen, wie auch Ritter vom Dannebrog, euch ſämmtlichen Gläubigern, Schuldnern, Rech - nungsverwandten und etwanigen Pfandinhabern des unlängſt verſtorbenen Samuel Matthias Hart - nack in Reinsbüttel, wie auch allen, welche ſonſt noch aus irgend einem Grunde an die Verlaſſen - ſchaft des gedachten Defuncti Anſprüche zu haben vermeynen möchten, bey nachſtehender Commination:

Daß ihr ad inſtantiam der Antje Kälers in Reins - büttel cum cur. als teſtamentariſcher Univerſal-Erbin des obgenannten Defuncti während ſie in ſolcher Eigen - ſchaft die auf ſie verabfällete Verlaſſenfchaft nur ſub beneficio legis et inventarii anzutreten geſonnen iſt nunmehr ſolches alles, und zwar ihr, die Einheimiſchen in - nerhalb 6, ihr, die Auswärtigen aber unter Beſtellungeines Procurators zu den Acten in dieſem Gerichtszwange, innerhalb 12 Wochen, von Zeit der erſten Bekanntmachung dieſes angerechnet, und zwar bey Strafe comparate der Ausſchließung, doppelter Zahlung, imgleichen bey Verluſt des Pfand - und Compenſations-Rechts und wie es ſonſt den Rechten gemäß in der Kirchſpielſchreiberey zu Weſſel - buhren geſetzmäßig angebet und verzeichnen laſſet.

Wornach ihr euch zu achten.

(L. S.)

Wann der Hausmann Claus Mohr aus Brockdorf in der Wilſtermarſch ſich inſolvent erklärt und um die Rechtswohlthat der Güter-Abtretung angeſucht hat, ſolche ihm auch, mit Vorbehalt der Gläubiger Einreden bewil - ligt worden: Als werden hiedurch alle und jede, welche an die Concurs-Maſſe des Boniscedenten aus irgend einem Grunde Anſprüche und Forderungen zu haben vermeynen, derſelben mit Schulden verhaftet ſind, oder Pfandgüter und ſonſtige Sachen, die zu ſelbiger gehören, beſitzen, bey Strafe der Ausſchließung und des immerwährenden Still - ſchweigens, der doppelten Zahlung und des Verluſts ihrer Rechte, citiret und befehliget, ſich, die Einheimiſchen in - nerhalb 6, die Auswärtigen aber unter Beſtellung gehöri - ger Procuratur zu den Acten, innerhalb 12 Wochen, von der Bekanntmachung dieſes Proclams angerechnet, bey dem in der Königl. Landſchreiberey zu Wilſter abzuhalten - den Angabe-Protocoll rechtsbehörig zu melden, die Docu - mente, worauf ſie ihre Angaben gründen, urſchriftlich vorzuzeigen, davon beglaubte Abſchriften beym Protocoll zurückzulaſſen und demnächſt weitere rechtliche Verfügung zu gewärtigen.

Wornach, die es angeht, ſich zu achten und vor Scha - den zu hüten haben.

Ahlefeldt Dehn.

Die hieſigen Kaufleute Stoppel et von Dadelszen haben dem hieſigen Obergerichte angezeiget, daß im De - cember 1808 an Bord des Schiffs Anna Metta Catharina, geführt von dem Schiffer Anthonis Jörgenſen von Soe - derſoe, welches größtentheils für ihre Rechnung mit Thran beladen geweſen, auch vier Kiſten Jndigo, gemerkt mit einem Drec[[i]]eck, mit einer Null durchzogen und unten Strich, No. 38 à 41, wiegend brutto 715 Pfund, von dem Agenten Wollert D. Krohn in Bergen, an die Kaufleute Schmidt et Pleſſing in Lübeck, von Bergen nach Fanoe beſtimmt, abgeladen worden; daß dieſes Schiff[] eine ſehr große Havarie gemacht habe, deren Belauf auf ſie, die Jmploranten Stoppel et von Dadelszen, als Haupt-Ladungs-Jntereſſenten, traſſiret und von ihnen berichtiget ſey, von welcher Havarie, nach hieſelbſt auf - gemachter Diſpache, auf erwähnte vier Kiſten Jndi - go in allem 2174 Mk. 3 ßl. Bco. gefallen wären, welche Jmploranten mit den Zinſen zu fordern hätten, ſo wie auch außerdem noch von ihnen für dieſe zu Fa - noe angekommenen vier Kiſten Jndigo, ſowol der Tarif bezahlt worden, als auch alle bisherige Koſten berichtiget werden müßten; daß hierauf die Kauf - leute Schmidt et Pleßing in Lübeck, als nach dem Con - noſſement und den am Bord des Schiffs befindlich gewe - ſenen Certiſicaten, Eigner und Empfänger dieſer Waare, ſelbige zu empfangen verweigert hätten, auch durchaus niemand als Eigner derſelben auftreten wolle, und ſie, die Jmploranten, daher, um wenigſtens ſo weit möglich zu ihrem Gelde zu kommen, und dieſerwegen die ſreye Diſpo - ſition über die vier Kiſten Jndigo zu erhalten, ein gericht - liches Proclam zu impetriren genöthiget wären. Da nun Jmploranter zugleich um Erlaſſung dieſes Proclams gezie - mend angeſucht haben, und dieſer Bitte Statt gegeben worden iſt; ſo werden alle und jede, welche an vorer - wähnte vier Kiſten Jndigo irgend ein Recht oder eine An - ſprache, es ſey aus welchem Grunde es wolle, zu haben[16]vermeynen, hiedurch ein - für allemal und mithin perem - torie aufgefordert und angewieſen, ſich damit am 14ten December dieſes Jahrs bey dem hieſigen Obergerichte an - zugeben, auch ihre Angaben demnächſt gehörig zu juſtifici - ren, unter der hinzugefügten Verwarnung, wie ſie widri - genfalls mit ihren vermeintlichen Anſprüchen an ſolche vier Kiſten Jndigo werden präcludiret, Jmploranten den hie - ſigen Kaufleuten Stoppel et von Dadelszen die freye Dis - poſition über ſelbige, um ſich daraus, ſo weit zureichend, für ihre Vorſchüſſe nebſt Zinſen und Koſten bezahlt zu machen, werde zugeſtanden, auch ihnen, in ſo fern ſie aus dieſem Jndigo ihre Befriedigung nicht erhalten ſoll - ten, ihre Gerechtſame contra quem - et quocunque werden reſerviret werden. Wornach ſich zu achten.

Ex decreto Senatus.

Friederich Franz, von Gottes Gnaden ſouve - rainer Herzog zu Mecklenburg ꝛc. ꝛc.

Wir eröffnen hiemit, daß in Gemäßheit einer zwiſchen dem Geheimen Rath und Miniſter, Baron von Hammer - ſtein auf Greven und Lindenbeck, und deſſen Creditoren getroffenen Vereinbarung, von Uns zum gerichtlichen Ver - kauf der eben genannten, im ritterſchaftlichen Amte Lübz belegenen, in der nachfolgenden Beylage näher beſchrie - benen Lehngüter Greven und Lindenbeck, die Conſtitutions - mäßigen drey Terminen erkannt ſind, welche reſpective auf den 20ſten October d. J. auf den 15ten December d. J. und auf den 9ten Februar k. J. anberahmet worden. Wir laden deshalb Kaufliebhaber hiedurch gnädigſt, ſich alsdann Morgens zu gewöhnlicher Zeit auf hieſiger Unſerer Juſtiz-Canzley einfinden, und nach geſchehenem Bot und Ueberbot zu gewärtigen, daß im dritten Termino, mit Vorbehalt des Landes-Lehnsherr - licher Conſenſes ſowol, als des creditoriſchen Gleichge - bots-Rechts, für den annehmlich Meiſtbietenden, unter den zum Grunde liegenden Bedingungen, der Zuſchlag er - ſolgen werde.

Es ſind die Verkaufs-Bedingungen nicht nur in Unſrer Canzley-Regiſtratur, ſondern auch bey dem von Hammerſteinſchen Gevollmächtigten, Hofrath Maſius hieſelbſt, zu inſpiciren; und Kaufliebhaber, welche die Güter in Augenſchein nehmen wollen, haben ſich deshalb auf dem Hofe zu Greven zu melden.

(L. S.) Ad Mandatum Sereniſſimi proprium. Herzoglich Mecklenb. zur Juſtiz-Canzley ver - ordnete Director, Vice-Director und Räthe. v. Bülow. J. G. Drümmer.

Beſchreibung der Güter Greven und Lindenbeck.

Die im Ritterſchaftlichen Amte Lübz belegenen Lehn - Güter Greven und Lindenbeck ſind 1 Meile von Parchim und Goldberg, 4 Meilen von Schwerin und Güſtrow, 6 Meilen von Hagenow und Wismar, 8 Meilen von Roſtock und 10 Meilen von Boitzenburg entfernet und alſo zum Abſatz der Producte ſehr belegen.

Sie ſteuern von 7 Hufen 16 dreyßig zwey und funfzig - ſtel Scheffel und haben einen Superficial-Jnhalt von 432027 [] R.

Das Gut Greven hat ungefähr Hufen und einen Flächen-Jnhalt von 284943 [] R.

Der cultivirte Acker, welcher aus Waizen, Roggen und Gerſten-Boden beſtehet und in guter Cultur iſt, hält 201226 [] R.

Die Wieſen ſind ſehr bedeutend, durchgehends zwey - ſcheurig und halten 40778 [] R., welche mit Jnbegriff ei - niger Brüche, die ebenfalls zweymal gemähet werden, 300 vierſpännige Fuder Heu geben.

Die geſchloſſene Hölzung, welche aus Eichen, Büchen und Weichholz, nebſt einigen Zuſchlägen beſtehet, hat ei - nen Jnhalt von 30358 [] R., welche neben dem hinläng - lich vorhandenen Torſmoor mehr als den nöthigen Be - darf gewähret.

Die Holländerey beſtehet jetzt aus 150 Pacht-Kühen, kann aber noch erhöhet werden.

Außerdem befindet ſich in dem Gute eine Pacht-Schä - ferey von 300 Schaafen, ein Krug und Schmiede.

Der Ertrag der Jagd und Fiſcherey iſt zum Bedarf des Guts hinreichend.

Die ſämmtlichen Hof - und Dorf-Gebäude ſind in brauchbarem Stande, doch bedarf das herrſchaftl. Wohnhaus einiger Reparatur.

Die Lage des Hofes iſt beſonders angenehm, da er mit einem Engliſchen Garten umgeben iſt.

Das Gut Lindenbeck hat ungefähr Hufen und einige Scheffel und einen Flächen-Jnhalt von 147048 [] R.

Der cultivirte Acker, welcher dem des Guts Greven an Güte gleich iſt, hält 124613 [] R.

Die Wieſen halten 9056 [] R. und gewähren mit Bey - hülfe des zu bauenden Klee-Heues die nöthige Winter - futterung.

Die geſchloſſene Hölzung, welche aus Eichen und - chen beſtehet, hält 7207 [] R. Torf iſt hinlänglich vor - handen.

Die Holländerey beſtehet in dieſem Jahre aus 80 Pacht-Kühen; ſie kann aber bis zu 100 erhöhet werden.

Die Hoſ - und Dorf-Gebäude ſind in gutem Stande, und Wohn - und Vieh-Haus erſt vor 8 Jahren gebauet.

Uebrigens ſind die Güter mit keinen andern, als den gewöhnlichen Laſten beſchweret.

Ad inſtantiam der Vormundſchaft der von dem am 4ten huj. verſtorbenen Schiffsbaumeiſter und Altermann der Schiffszimmerleute Johann Cornelius hinterlaſſenen minderjährigen Kinder werden hiedurch alle, welche aus irgend einem Rechts-Grunde an die Verlaſſenſchaft des Verſtorbenen Anſprüche und Forderungen zu haben ver - meynen möchten, vorgeladen, ſolche in terminis am 4ten, oder 25ſten September, oder 16ten October d. J., Nach - mittags um 3 Uhr, auf hieſiger Weinkammer gehörig an - zumelden und zu verificiren; widrigenfalls ſie durch die am 26ſten October d. J. in öffentlicher Diät zu publici - rende Präcluſiv-Erkenntniß auf immer damit werden abge - wieſen werden.

Verordnete zum Waiſen-Gericht hieſelbſt.

Avertissement.

Vor dem Königl. Ober-Landes-Gericht von der Neu - mark wird der im Jahre 1763 gebohrne Handlungsdiener Daniel Gottlob Straube, welcher im Jahre 1795 von Hamburg aus nach America gegangen iſt, und ſeit einem aus New-York datirten Schreiben vom 27ſten May 1799 von ſeinem Leben und Aufenthalt niemals irgend eine Nachricht gegeben hat, desgleichen die von ihm etwa zu - rückgelaſſenen unbekannten Erben und Erbnehmer, hiedurch öffentlich vorgeladen, ſich binnen 9 Monaten, und ſpäte - ſtens in dem auf den 13ten Januar 1813 vor dem Ober-Landes-Gerichts-Referendarius Holtzthiem, als Deputirten, anberaumten Termin auf dem hieſigen Königl. Ober-Landes-Gericht ſchriftlich oder perſönlich zu melden und weitere Anweiſung zu erwarten.

Jm entgegengeſetzten Fall wird auf die Todes-Erklä - rung des Daniel Gottlob Straube erkannt, und deſſen im hieſigen Depoſitorio befindliches, an 130 Rthlr. betra - gendes Vermögen, den ſich meldenden Erben, nach vor - gängiger Legitimation, ausgeantwortet werden.

Königl. Preuß. Ober-Landes-Gericht von der Neumark. Reck.

About this transcription

TextAm Mittewochen, den 7. Oktober
Author[unknown]
Extent16 images; 13725 tokens; 4619 types; 100203 characters
Responsibility Alexander Geyken, ed.; Susanne Haaf, ed.; Bryan Jurish, ed.; Matthias Boenig, ed.; Christian Thomas, ed.; Frank Wiegand, ed.

Britt-Marie SchusterManuel WilleArnika LutzNote: Bereitstellung der Texttranskription.Note: Bitte beachten Sie, dass die aktuelle Transkription (und Textauszeichnung) mittlerweile nicht mehr dem Stand zum Zeitpunkt der Übernahme des Werkes in das DTA entsprechen muss.2014-07-28T09:50:12Z CLARIN-DNote: Langfristige Bereitstellung der DTA-Ausgabe

EditionVollständige digitalisierte Ausgabe.

About the source text

Bibliographic informationAm Mittewochen, den 7. Oktober . Hamburg1812. Journal du Département des Bouches de l'Elbe oder: Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten

Identification

Staats- und Universitätsbibliothek Hamburg Carl von Ossietzky SUB-Hamburg, X/7569https://kataloge.uni-hamburg.de/DB=1/XMLPRS=N/PPN?PPN=130729078

Physical description

Fraktur

LanguageGerman
ClassificationZeitung; ready; correspondent

Editorial statement

Editorial principles

Bogensignaturen: keine Angabe; Druckfehler: keine Angabe; fremdsprachliches Material: gekennzeichnet; Geminations-/Abkürzungsstriche: wie Vorlage; Hervorhebungen (Antiqua, Sperrschrift, Kursive etc.): wie Vorlage; i/j in Fraktur: wie Vorlage; I/J in Fraktur: wie Vorlage; Kolumnentitel: keine Angabe; Kustoden: keine Angabe; langes s (ſ): wie Vorlage; Normalisierungen: dokumentiert; rundes r (ꝛ): wie Vorlage; Seitenumbrüche markiert: ja; Silbentrennung: wie Vorlage; u/v bzw. U/V: wie Vorlage; Vokale mit übergest. e: wie Vorlage; Vollständigkeit: vollständig erfasst; Zeichensetzung: wie Vorlage; Zeilenumbrüche markiert: ja; Die Ausgabe enthält französischsprachige Artikel.

Publication information

Publisher
  • dta@bbaw.de
  • Deutsches Textarchiv
  • Berlin-Brandenburg Academy of Sciences and Humanities (BBAW)
  • Berlin-Brandenburgische Akademie der Wissenschaften (BBAW)
  • Jägerstr. 22/23, 10117 BerlinGermany
ImprintBerlin 2019-12-10T11:36:23Z
Identifiers
Availability

Distributed under the Creative Commons Attribution-NonCommercial 3.0 Unported (German) License.

Holding LibraryStaats- und Universitätsbibliothek Hamburg Carl von Ossietzky
ShelfmarkSUB-Hamburg, X/7569
Bibliographic Record Catalogue link
Terms of use Images served by Deutsches Textarchiv. Access to digitized documents is granted strictly for non-commercial, educational, research, and private purposes only. Please contact the holding library for reproduction requests and other copy-specific information.