Moscou, le 16 Sept.
Depuis la bataille de la Moskwa, l’armée française a poursuivi l’ennemi sur les trois routes de Mojaïsk, de Svenigorod et de Ka - longa sur Moscou.
Le roi de Naples était le 9 à Koubinskoë; le vice-roi, à Ronza; et le prince Ponia - towski, à Feminskoë. Le quartier-général est parti de Mojaïsk le 12, et a été porté à Peselina; le 13, il était au chateau de Berws - ka; le 14, à midi, nous sommes entrés à Moscou. L’ennemi avait élevé sur la mon - tagne des Moineaux, à deux werstes de la ville, des redoutes qu’il a abandonnées.
La ville de Moscou est aussi grande que Paris; c’est une ville extrêmement riche, remplie des palais de tous les principaux de l’Empire. Le gouverneur russe, Rostapchin, a voulu ruiner cette belle ville, lorsqu’il a vu que l’armée russe l’abandonnait. Il a armé 2000 malfaiteurs qu’il a fait sortir des cachots; il a appelé également 6000 satellites et leur a fait distribuer des armes de l’ar - senal.
Notre avant-garde, arrivée au milieu de la ville, fut accueillie par une fusîllade partie du Kremlin. Le roi de Naples fit mettre en batterie quelques pieces de canon, dissipa cette canaille, et s’empara du Kremlin. Nous avons trouvé à l’arsenal 60000 fusils neufs et 120 pieces de cauon sur leurs affûts. La plus complette anarchie regnait dans la ville; des forcenés ivres couraient dans les quartiers, et mettaient le feu par-tout. Le gouverneur Rostapchin avait fait enlever tons les mar - chands et négocians par ie moyen desquels
Moscau, den 16 Sept. 1812.
Seit der Schlacht an der Moskwa verfolgte die Franzoͤſiſche Armee den Feind auf den drey Straßen von Mojaisk, von Svenigorod und Kaluga nach Moscau zu.
Der Koͤnig von Neapel war am 9ten zu Kou - binskoë, der Vicekoͤnig zu Ronza und der Fuͤrſt Poniatowski zu Feminskoë. Am 12ten brach das Hauptquartier von Mojaisk nach Peſelina auf; am 14ten des Mittags ruͤckten wir in Moscau ein. Der Feind hatte auf dem Sperlingsberge, zwey Werſte von der Stadt, Verſchanzungen angelegt, die er aber verließ.
Moscau iſt ſo groß wie Paris. Es iſt eine aͤußerſt reiche Stadt, voll von Pallaͤſten aller Großen des Reichs. Der Rußiſche Gouverneur Roſtopſchin wollte dieſe ſchoͤne Stadt ruiniren, wie er ſah, daß die Rußiſche Armee ſelbige aufgab; ließ 3000 aus den Gefaͤngniſſen entlaſſene Ver - brecher bewaffnen, bot uͤberdies 6000 Trabanten auf, an welche Waffen aus dem Zeughauſe ver - theilt wurden.
Als unſre Avantgarde mitten in der Stadt an - gekommen war, wurde ſie mit Gewehrfeuer aus dem Kreml empfangen. Der Koͤnig von Neapel ließ einige Kanonen auffahren, trieb dieſes Geſindel aus einander und bemaͤchtigte ſich des Kreml. Wir haben 60000 neue Flinten und 120 Kanonen auf den Laffetten in dem Zeughauſe gefunden. Jn der Stadt herrſchte die voͤlligſte Anarchie. Betrun - kene, raſende Leute liefen in den Straßen herum und legten uͤberall Feuer an. Der Gouver - neur Roſtopſchin hatte alle Kaufleute, durch die man die Ordnung haͤtte herſtellen koͤnnen, weg - fuͤhren laſſen. Ueber 400 Franzoſen und Deutſche waren auf ſeinen Befehl verhaftet worden; end -
on aurait pu rétablir l’ordre. Plus de quatre cents Français et Allemands avaient été ar - rétés par ses ordres; enfin, il avait eu la pré - caution de faire enlever les pompiers avec les pompes; aussi l’anarchie la plus com - plette a désolé cette grande et belle ville, et les flammes la consument. Nous y avions trouvé des ressources considérables de toute espêce.
L’Empereur est logé au Kremlin, qui est au centre de la ville, comme une espèce de citadelle entourée de hautes murailles. Trente mille blessés ou malades russes sont dans les hôpitaux, abandonnés, sans secours et sans nourriture.
Les Russes avouent avoir perdu 50000 hom - mes à la bataille de la Moskwa. Le prince Bagration est blessé à mort. On a fait le re - levé des généraux russes blessés ou tués à la bataille; il se monte de quarante-cinq à cin - quente.
Tandis que l’armée de Portugal se trouvait réunie à Valladolid et aux environs, dans l’attente des renforts qui lui ont été envoyés de Bayonne, le général Clauzel, qui com - mandait cette armée depuis la blessure de M. le maréchal due de Raguse, sachant que la garnison d’Astorga n’était pas suffisamment pourvue de vivres, se décida à faire un dés - tachement pour aller la ravitailler. Il y de - tina deux divisions d’infanterie, avec une division de cavalerie légere, sous les ordres du géneral Foy, qui avait en outre l’ordre d’attaquer l’armée insurgée de Galice, qu’on supposait devoir se réunir près de Benavente: mais avec quelque rapidité que le général Foy ait marché, il ne lui a pas été possible d’arriver à tems à Astorga. La garnison ayant entierement épuisé ses subsistances, avait été forcée de se rendre, et elle était sortie de la place le 19 Août. Le général Foy arriva à Astorga dans la nuit du 20, sans avoir pu joindre, que près de cette place, l’arriere - garde ennemie. Les insurgés, pressés de s’enfuir en Galice, faisaient dix a douze li - eues par jour. En évacuant Astorga, ils y avaient laissé nos malades et blessés, qui fûrent ramenés par le général Foy. Ce gé - néral ayant appris à son retour à Benavente, que le général Silveira était encore dans les environs de Zamora, se dirigea sur lui par Tabara et Carvajalès. Il le vit encore re - gagnant en toute hàte la frontiere de Portu - gal, mais notre cavalerie ne put jamais l’at - teindre.
A la même époque, le général Clauzel ap - prit que le général anglais Anson, comman - dant 1000 à 1200 chevaux, avait conservé ses postes dans la valée de l’Esqueva; sa divi - sion, composée des 11e, 12e, 14e et 16e régi - mens de dragons légers et d’une batterie d’ar - tillerie légere, était à Villa-Vanès et Tudela. Le 19 Aout, le général Maucune fut chargé
lich hatte er auch die Vorſicht gebraucht, alle Feuerſpruͤtzen und Spruͤtzenleute wegfuͤhren zu laſſen. Die voͤlligſte Anarchie hat auch dieſe große und ſchoͤne Stadt verwuͤſtet, die von den Flammen verzehrt wird. Wir hatten daſelbſt betraͤchtliche Huͤlfsmittel aller Art gefunden.
Der Kayſer wohnt im Kreml, der wie eine Ci - tadelle von hohen Mauern umgeben mitten in der Stadt liegt. 3000 kranke oder verwundete Ruſſen befinden ſich verlaſſen, ohne Beyſtand und Nah - rung in den Hoſpitaͤlern.
Die Ruſſen geſtehen, daß ſie 50000 Mann in der Schlacht an der Moskwa eingebuͤßt haben. Der Fuͤrſt Bagration iſt toͤdtlich verwundet. Nach einem aufgenommenen Verzeichniß ſind 45 bis 50 Rußiſche Generals in der Schlacht getoͤdtet oder verwundet worden.
Waͤhrend die Armee von Portugall zu Valla - dolid und in der umliegenden Gegend vereinigt war, und die Verſtaͤrkungen erwartete, die ihr von Bayonne zugeſandt worden, faßte der General Clauzel, der ſeit der Verwundung des Herrn Mar - ſchalls, Herzogs von Raguſa, dieſe Armee com - mandirte, den Entſchluß, die Garniſon von Aſtorga zu verproviantiren, welche, wie er wußte, nicht hinreichend mit Lebensmitteln verſehen war. Er beſtimmte dazu zwey Diviſionen Jnfanterie und eine Diviſion leichter Cavallerie unter dem Befehl des Generals Foy. Dieſer hatte uͤberdies die Or - dre, die Jnſurgenten-Armee von Gallizien anzu - greifen, von welcher man vermuthete, daß ſie ſich zu Benevente vereinigen wollte. Allein ſo ſchnell auch General Foy marſchirte, ſo war es ihm doch nicht moͤglich, bey Zeiten zu Aſtorga einzutreffen. Da die Garniſon ihre Lebensmittel gaͤnzlich auf - gezehrt, ſo war ſie zur Uebergabe genoͤthigt wor - den und am 19ten Auguſt aus dem Platze abmar - ſchirt. General Foy kam in der Nacht auf den 20ſten zu Aſtorga an, und konnte erſt in der Naͤhe dieſes Platzes die feindliche Arriergarde erreichen. Die Jnſurgenten, die nach Gallizien fliehen muß - ten, legten taͤglich 10 bis 12 Lieues zuruͤck. Wie ſie Aſrorga raͤumten, hatten ſie unſere Kranken und Verwundeten daſelbſt zuruͤckgelaſſen, die von dem General Foy weggefuͤhrt wurden. Als dieſer General bey ſeiner Ruͤckkunft nach Benevente er - fuhr, daß ſich General Silveira noch in der Gegend von Zamora aufhalte, ſo marſchirte er uͤber Ta - bara und Carvajalis gegen ihn. Er ſah ihn noch, wie er in aller Eile nach der Portugieſiſchen Graͤnze zu fluͤchtete; unſere Cavallerie konnte ihn aber nie erreichen.
Zugleich erfuhr General Clauzel, daß der Eng - liſche General Anſon, welcher 1000 bis 1200 Mann Cavallerie commandirte, in dem Thal der Esqueva noch ſeine Poſten behalten habe. Die Diviſion deſſelben, die aus dem 11ten, 12ten, 14ten und 16ten leichten Dragoner Regimentern und einer Batterie leichter Artillerie beſtand, war zu Villa - Vanès und Tudela. Am 19ten Auguſt erhielt der General Maucune den Auftrag, ſich nach der Seite von Tudela auf Recognoscirung zu begeben, um
de se porter en reconnaissance du côté de Tudela, afin d’obliger cette cavalerie de re - passer sur l’autre rive du Duero. On échan - gea quelques coups de canon et de fusil avec l’ennemi; les dragons du 15e le chargerent à l’entrée de Tudela, et le forcerent à repasser le fleuve; le général Anson se replia sur Al - dea-Major, et le corps d’observation de l’ar - mée anglaise se retira, du 20 au 24, à Ol - médo, et ensuite à Arevalo.
Un particulier qui vient de mourir a légué par son testament la somme de cent louis à la seconde classe de l’Institut, pour être dé - cernée comme prix au meilleur discours sur l’existence de Dieu et l’immortalité de l’ame. La seconde classe a accepté le legs, et se propose d’ouvrir incessament le concours.
Avant-hier, on a brûlé sur la place de Bag - nuoli des marchandises de coutrebande saisies sur le navire tunisien la Fenice. Ces mar - chandises consistaient en 106 pièces mousse - line, 27 schals, etc.
Par un décret royal du 19 Sept. dernier, le comte Thadaeus Mostowski, fut nommé mi - nistre de l’intérieur et du culte en Pologne. Ce ministre était jusqu’ici en France où il avait des possessions.
Le corps du duc de Bellune est arrivé d’après nos Journeaux dans les environs de Bobruysk, en Lithuanie.
Le Prince Alexandre Sapieha, Chambellan de S. M. l’Empereur Napoléon, Chevalier de divers ordres, Commandant de la Légion d’honneur, membre de la Société royale des Amis des Sciences et de plusieurs académies étrangères, mourut le 8. Sept. à Dereczyn, en Lithouanie, residence du Prince François Sa - pieha, dans sa 39e année. La Pologne perd en lui un très-habile homme d’Etat, et un Savant distingué.
L’abondance des grains, cette année, en a fait baisser considerablement le prix. Pour completter les magasins une partie des contri - butions sera levée en grains.
Le 31 Août, trente bàtimens anglais de dif - férente grandeur parurent devant notre port; le lendemain, ils bombarderent le chenal et l’embouchure de nos rivières; il tomba des grenades jusque dans l’hôtel de Berlin. La vigoureuse résistance qu’on opposa à l’ennemi le força bientot à se retirer. Il a brûlé sa poudre inutilement, car il ne nous à occa - sionné aucun dommage; et à deux heures après-midi, le bombardement avoit rentière - ment cesse. On apperçoit encore dans l’éloig - nement les batimens anglais; mais ils ne pa - roissent pas disposés à tenter quelque nou - velle entreprise. (Journal de l’Empire.)
Le 1r de ce mois, un Convoi danois, de
jene Cavallerie zu noͤthigen, ſich wieder auf das andere Ufer des Duero zu begeben. Es wurden einige Kanonen - und Flintenſchuͤſſe mit dem Feinde gewechſelt. Die Dragoner des 15ten Regiments hieben bey ſeinem Einruͤcken in Tudela in ihn ein, und noͤthigten ihn, uͤber den Fluß zuruͤck zu keh - ren. General Anſon zog ſich nach Aldea-Major zuruͤck und das Obſervations-Corps der Engliſchen Armee vom 20ſten bis 24ſten nach Olmedo und weiter hin nach Arevalo.
Ein Particulier, der neulich geſtorben iſt, hat in ſeinem Teſtamente 100 Louisd’or der 2ten Claſſe des J[n]ſti[t]uts vermacht, um als Preis der beſten Abhandlung uͤber das Daſeyn Gottes und die Un - ſterblichkeit der Seele bewilligt zu werden. Die zweyte Claſſe hat dieſes Vermaͤchtniß angenommen, und wird naͤchſtens eine Preisbewerbung anſtellen.
Vorgeſtern hat man auf dem Bagnuoli-Platz Unterſchleifwaaren verbrannt, die man auf dem Tu - neſiſchen Schiffe, die Fenice, ſaiſirt hatte. Dieſe Waaren beſtanden in 106 Stuͤcken Mouſſelin, 27 Schawls u. ſ. w.
Zufolge eines Koͤnigl. Decrets vom 19ten des v. M. iſt der Graf Thadaͤus Moſtowski zum Pohl - niſchen Miniſter des Jnnern und der Religions - Angelegenheiten ernannt worden. Jener Miniſter hielt ſich bisher in Frankreich auf, wo er ſich an - ſaͤßig machte.
Das Corps des Marſchalls Victor iſt bey Bo - bruysk in Litthauen angekommen.
Der Fuͤrſt Alexander Sapieha, Kammerherr Sr. Majeſtaͤt, des Kayſers Napoleon, Ritter verſchie - dener Orden, Commandant der Ehrenlegion, Mit - glied der hieſigen Koͤnigl. Geſellſchaft der Freunde der Wiſſenſchaften und mehrerer auswaͤrtigen Aka - demien, iſt auf der Neiſe von Willna nach War - ſchau am 8ten September zu Dereczyn in Litthauen, in der Reſidenzſtadt des Fuͤrſten Franz Sapieha, im 39ſten Jahre ſeines Alters mit Tode abgegan - gen. Pohlen verlohr in ihm einen ſehr geſchickten Staatsmann und einen ausgezeichneten Gelehrten.
Bey dem diesjaͤhrigen Ueberfluß an Korn faͤllt der Preis deſſelben betraͤchtlich. Zur Anlegung der Magazine wird ein Theil der Abgaben in Ge - treide erhoben.
Am 31ſten Auguſt erſchienen 30 Engliſche Schiffe von verſchiedener Groͤße vor unſerm Hafen; am folgenden Tage warfen ſie Bomben nach dem Fahr - waſſer und nach der Muͤndung unſrer Fluͤſſe. Es fielen Granaten bis nach dem Hotel von Berkin. Der nachdruͤckliche Widerſtand, den man dem Feinde entgegen ſtellte, noͤthigte ihn bald zum Ruͤckzuge. Er hat ſein Pulver vergebens verſchoſſen; denn er hat uns gar keinen Schaden verurſacht. Um 2 Uhr des Nachmittags hatte das Bombardement gaͤnz - lich aufgehoͤrt. Jn der Entfernung ſieht man noch Engliſche Schiffe; ſie ſcheinen aber nicht geneigt, eine neue Unternehmung zu wagen. (Journal de l’Empire.)
Am 1ſten dieſes ſegelte eine Daͤniſche Convoy
pres de 100 voiles était en route pour le Belt. 4 batimens de guerre ennemi ayant paru, le 1er Lieutenant de marine, Chevalier Prytz, mit à la voile de Corsoer avec 4 Chaloupes canonières. Il s’ensuivit un combat de près de 2 heures avec les batimens ennemis, qui furent contraint à la retraite. Pendant le combat, le grand convoi marchand eut le temps de se mettre en sûreté à Skielskioer et à Corsoer.
S. M. le Roi, vient de témoigner sa satis - faction particulière au chevalier Prytz, et à ses equipages, pour leur conduite distinguée dans cette affaire.
von beynahe 100 Segeln nach dem Belt. Auf die Erſcheinung von 4 großen feindlichen Kriegsſchiſſen gieng der Premier-Lieutenant, Ritter Prytz, mit 4 Kanonierſchaluppen von Corſoer unter Segel. Es kam darauf zu einem beynahe zweyſtuͤndigen Gefecht mit den feindlichen Schiffen, die zur Flucht genoͤthigt wurden. Waͤhrend des Gefechts hatte die Convoy Zeit, ſich nach Skielſkioer und nach Corſoer in Sicherheit zu begeben.
Se. Koͤnigl. Majeſtaͤt haben dem Ritter Protz und ſeiner Mannſchaft Jhr beſonderes Wohlgefal - len uͤber ihr ausgezeichnetes Betragen in dieſer Aſſaire zu erkennen gegeben.
Heute nimmt unſre Stadt Antheil an einem ſo ſeltenen als ruͤh - renden Feſte. Der wuͤrdige, laͤngſt mit Ruhm be - kannte Schul-Lehrer an der Petri-Kirche, Herr Chriſtoph Diedrich Weſtphalen, feyert in einem Alter von 84 Jahren den Ablauf des ſechszigſten ſeines in ununterbrochener reger Thaͤtigkeit ge - fuͤhrten Amtes. Eine ſo hohe Lebensſtuf[ e] konnte nur ein Mann erreichen, der, mit feſter Geſund - heit ausgeruͤſtet, eins der ſchwerſten Geſchaͤfte ſtets mit Gemuͤthsruhe, Heiterkeit und Sanftmuth ver - ſah. Eine ungeſtoͤhrte, nie geſchwaͤchte Lebenskraft erhielt ſeinen Geiſt bisher munter und faͤhig, die Pflichten ſeines Berufs mit Eifer, Fleiß und Treue zu erfuͤllen. Wie mannichfaltig er durch ſeinen gruͤndlichen Unterricht, durch Lehre und Beyſpiel genuͤtzt habe, davon koͤnnen Tauſende in und außer Hamburg Zeugniß ablegen. Der unver - welklichſte Lohn ſeiner Handlungen gruͤnt zwar in ſeinem reinen Bewußtſeyn, immer vor Gott gelebt zu haben; aber ſeine Empfindungen wer - den noch durch den Jubel erh[oͤ]ht, den ſeine jetzigen Zeitgenoſſen heute uͤber ihn anſtimmen. Feſtlich um ihn verſammelt erblickt er ſeine Zoͤg - linge, Freunde und Verwandte ſeines Herzens und Bluts. Er ſegnet alle, und verweilt beſon - ders mit den waͤrmſten Wuͤnſchen bey ſeinem ein - zigen Sohne, der, von ihm gebildet, alle Stufen der Buͤrgerehre betreten hat; bey der edlen Gattin deſſelben; bey ihren Kindern und Kindeskindern. Denn das Erbe ſeiner Wirkſamkeit, ſeiner Tugen - den, erſtreckt ſich ſchon zu der vierten Genera - tion in zwey Urenkelinnen. Unzaͤhliche Wohl - fahrt hat der redliche Greis ausgeſaͤet; unverſieg - baren Dank, lebenslaͤngliche Freude erndtet er da - fuͤr ein.
Der Herzog Wilhelm von Bayern hat zur Un - terſtuͤtzung der Verwundeten und Kranken des ge - genwaͤrtig im Felde ſtehenden Bayerſchen Armee - Corps die Summe von 10000 Fl. beſtimmt, wovon ein Zehntheil ausſchließlich dem Hoͤchſtdeſſen Na - men fuͤhrenden 6ten Linien-Jnfanterie-Regiment angewieſen worden.
Am 24ſten Sept. fiel in Suhl und der dortigen Gegend ſtarker Regen im Thale, auf den Hoͤhendes Waldes aber Schnee, und am folgenden Tage lag die ganze Bergkette bis an die Naͤhe der Stadt mit dem erſten Schnee bedeckt. Da erſt vor eini - gen Tagen der Anfang mit der Erndte gemacht worden, ſo war dieſe Ueberraſchung nicht angenehm.
Da zu Bruͤſſel mehrere Haͤuſer mit dunkeln und bizarren Farben angemalt worden, dieſes aber der Erleuchtung ſchadet, ſo hat der Maire zu Bruͤſſel, wie in dem daſigen Journal angezeigt wird, ver - ordnet, daß kuͤnftig die Vorderſeite der Haͤuſer nur mit hellen Farben beſtrichen werden darf. Will man ſie gelb oder dunkelgruͤn anmalen laſſen, ſo muß eine Probe davon erſt in der Mairie vorge - zeigt werden.
Se. Majeſtaͤt haben, nach unſrer Hof - Zeitung, dem K. K. wuͤrklichen Kaͤmmerer und Ritter des goldnen Vließes, Fuͤrſten Carl von Auersperg, in Ruͤckſicht auf ſeine fruͤher geleiſteten guten Dienſte und jederzeit bewieſene Anhaͤnglich - keit, den vormals bekleideten Feldmarſchall-Lieute - nants-Character, zugleich auch den im Feldzuge vom Jahre 1790 erhaltenen militairiſchen Maria - Thereſſen-Orden wieder zu ertheilen geruhet.
Eine Koͤnigl. Reſolution vom 5ten dieſes ſetzt feſt, daß es den Candidaten, welche in den Herzogthuͤmern ein Amt, von welcher Art dieſes auch ſeyn moͤge, zu erhalten wuͤnſchen, nach dem 1ſten Januar 1813 obliegen ſolle, bey ihren desfalls einzureichenden Geſuchen darzuthun, in wie ferne ſie die Daͤniſche Sprache verſtehen, leſen und ſchreiben gelernt haben.
per 100 Rthlr. Bco.
Geld-Cours.
Die in der jetzigen Lage von Europa ſehr wich - tige Angelegenheit der C[u]ltur des Waids (Pastel, Isiatis tinctoria) hat durch die vorliegende Schrift einen bedeutenden Gewinn erhalten. Sie iſt auf Befehl der K. K. Oeſterreichiſchen Regierung her - ausgegeben, und durch das Miniſterium der aus - waͤrtigen Angelegenheiten auch in das Ausland verſandt worden, um, durch gegenſeitige Mitthei - lung des Unterrichts und der Erfahrungen, den Gegenſtand derſelben zu befoͤrdern und zu vervoll - kommnen; auf welchem Wege der officiellen Zuſen - dung auch der Hamburgiſchen Geſellſchaft zur Be - foͤrderung der Kuͤnſte und nuͤtzlichen Gewerbe, die ſich, auf Veranlaſſung der hohen adminiſtrativen Behoͤrde des K. K. Franzoͤſiſchen Gouvernements, mit der Bef[oͤ]rderung der Wald-Cultur eifrigſt be - ſchaͤftiget, ein Exemplar dieſer Schrift uͤbergeben worden iſt. Der Hr. Verf. zeigt ſich als ein Mann von ausgebreiteter und gruͤndlicher Kennt - niß dieſes Gegenſtandes, und betritt, des Vor - gangs mehrerer aͤltern und neuern Deutſchen Schrift - ſteller uͤber den Bau des Waids und uͤber die Be - reitung des Jndigo aus demſelben, ungeachtet, hierin gewiſſermaßen eine neue Bahn, indem er manche Maͤngel und Jrrthuͤmer des Unterrichtsdaruͤber verbeſſert und ſein ſehr inſtructives Werk meiſtens auf neuere practiſche Erfahrungen gruͤn - det. Die Abhandlung iſt ihrem Zweck, als zur Volksſchrift beſtimmt, gemaͤß, einfach und deutlich abgefaßt, und eben ſo planmaͤßig als vollſtaͤndig bearbeitet. Sie zerfaͤllt in zwey Haupt-Abtheilun - gen. Die erſte Abtheilung enthaͤlt, unter 12 Ru - briken, den Unterricht uͤber die Naturgeſchichte der Waidpflanze; uͤber die Wahl, die Bearbeitung und Duͤngung des zur Waid-Cultur geeigneten Bo - dens; uͤber die Einſaat, das Keimen und die Ar - beiten im Waid-Acker waͤhrend des Wuchſes; uͤber die Erndte und Behandlung der Blaͤtter, aus de - nen der inlaͤndiſche Jndigo gezogen werden ſoll; uͤber die den Pflanzen nachtheiligen Einwirkungen, als Jnſecten, Unkraut ꝛc. ; uͤber die Benutzung des Waids im zweyten Jahre; uͤber die Saamen-Er - zeugung, und endlich — eine Berechnung der Ko - ſten und des Ertrags der Cultur. — Die zweyte Abtheilung enthaͤlt in 8 Capiteln eine vollſtaͤndige Anweiſung uͤber die Jndigo-Bereitung aus den Waid-Blaͤttern, im ganzen Umfange und nach allen Theilen dieſer Operation. — Dieſe Schrift iſt mit 4 Kupfertafeln bereichert, welche die zu der Waid - Cultur und zur Bereitung des Jndigo’s gehoͤrigen vorzuͤglichſten Werkzeuge vorſtellen. — Es draͤngt ſich bey der Anſicht dieſes reichhaltigen und nuͤtz - lichen Werks mit dem lebhafteſten Jntereſſe die Bemerkung auf, wie ſich, zur Befoͤrderung dieſer ſo wichtigen und gemeinſchaftlich fuͤr ganz Europa ſo nuͤtzlichen Sache, die Regierungen der beyden befreundeten maͤchtigſten Laͤnder des Continents, Frankreich und Oeſterreich, die Hand bieten, um dieſen von dem fuͤr ein auslaͤndiſches Product bis - her bezahlten anſehnlichen Tribut zu befreyen, und ſolches in ſeinem eigenen Boden aufzuſuchen und daraus hervorzurufen. Moͤge dieſes große Bey - ſpiel eines gemeinſchaftlichen großherzigen Beſtre - bens von der allgemeinſten Wirkung und von dem guͤnſtigſten Erfolge fuͤr das Ganze gekront werden!
Unter dieſem Titel bin ich entſchloſſen, ein moͤg - lichſt zweckmaͤßiges Unterhaltungsblatt fuͤr wiſſenſchaftlich zu bildende Juͤnglinge heraus - zugeben. Der Jnhalt wird in kurzen, anſchaulich verfaßten Aufſaͤtzen, Notizen und Bemerkungen von großer Mannigfaltigkeit beſtehen, und den Fortſchritten und Entdeckungen unſrer Tage, ſo wie den Beduͤrfniſſen des Zeitgeiſtes angemeſſen ſeyn, und ſo viele Saiten ich auch beruͤhren moͤchte, ſo ſoll doch nie ein Ton erklingen, der in jungen,[6]noch unbefeſtigten Gemuͤthern, eine andere als ver - edelnde Empfindung erregen koͤnnte.
Vom naͤchſten Januar an werden des Jahrs 12 Stuͤck, jedes von 4 Bogen in 8., mit einem ge - faͤrbten Umſchlage und uͤberhaupt in einem gefaͤlli - gen Aeußern erſcheinen. Der Subſcriptionspreis fuͤr den Jahrgang in zwey Baͤnden iſt 3 Thaler Preuß. Cour., der Ladenpreis 4 Thaler. Es wer - den indeß auch Beſtellungen blos auf den erſten Band von 6 Monatsſtuͤcken mit 1 Rthlr. 12 Gr. zugelaſſen. Fuͤr Exemplare auf Schreibpapier legt man den ſechsten Theil dieſer Preiſe zu.
Unterzeichnungen nehmen Herr Laugier, Buch - halter in der hieſigen Pauliſchen Buchhandlung, Bruͤberſtraße No. 11, und Herr Karl Franz Koͤh - ler, Buchhaͤndler in Leipzig, bis gegen Ende des Novembers in freyen Briefen an. Man kann ſich indeß bey jeder ſoliden Buchhandlung melden, wo auch die ausfuͤhrlichere Ankuͤndigung zu bekom - men iſt.
Etwanigen Subſcribentenſammlern, die mehr als vier Exemplare verlangen, wird ein Rabatt von 10 Procent zu Gute gerechnet.
Der Stellmacher-Geſell Peter Friederich Trenter wird hiemit von ſeiner Mutter aufgefordert, un - geſaͤumt zu Hauſe zu kommen, um der Conſcrip - tion Genuͤge zu leiſten.
Der Schuhmacher-Geſell Gerhard Hinrich Feſen - feld wird hiemit von ſeinem Vater aufgefordert, ungeſaͤumt zu Hauſe zu kommen, um der Conſcrip - tion Genuͤge zu leiſten.
Nachbenannte Conſcribirte des Jahrs 1812, als:
werden von ihren Eltern dringend aufgefordert, zuruͤckzukommen, um den Pflichten der Conſcription ein Genuͤge zu leiſten, und das ihren Eltern ſonſt drohende Ungluͤck abzuwenden.
Hinrich Chriſtian Heinbockel, der ſich vor eini - gen Tagen heimlich von ſeinen Eltern entfernt hat, wird hiedurch aufgefordert, wieder zuruͤck zu kehren, um der beyorſtehenden Conſcription Ge -nuͤge zu leiſten und ſeine Eltern nicht der Strenge der Geſetze bloß zu ſtellen.
Jemand, der gegen den 20ſten dieſes Monats mit Ertrapoſt nach Holland zu reiſen gedenkt, wuͤnſcht gegen Erlegung der halben Koſten einen Geſellſchafter mit oder ohne eignen Wagen zu fin - den. Naͤhere Nachweiſung im Bureau dieſer Zeitung.
Le Public est prévenu qu’en vertu de l’or - donnance de Monsieur le Président du Tri - bunal des Douanes, en date du 4. Octobre 1812, il sera procédé dans les Magasins des Douanes, situés Altenwaisenhaus, maison de Mr. Schaeffer, le 11 Novembre prochain, à 10 heures du matin, à la vente au plus offrant et dernier encherisseur, et à la charge du payement des droits des Marchandises sui - vantes:
Savoir:
| Bois de teinture | environ | 585 | K. | D. | |
| Coton en laine | ‒ | 272 | ‒ | ‒ | |
| Café | ‒ | 2083 | ‒ | ‒ | |
| Cacao | ‒ | 63 | ‒ | ‒ | |
| Cassa lignea | ‒ | 50 | ‒ | ‒ | |
| Sucre rafiné | ‒ | 4321 | ‒ | 44 | ‒ |
| Sucre candi | ‒ | 1371 | ‒ | 96 | ‒ |
| Sucre brut | ‒ | 836 | ‒ | 80 | ‒ |
| Thé | ‒ | 946 | ‒ | ‒ | |
| Sirops | ‒ | 1824 | ‒ | 82 | ‒ |
| Cassia fera | ‒ | 692 | ‒ | ‒ | |
| Indigo | ‒ | 33 | ‒ | 90 | ‒ |
| Poivre | ‒ | 36 | ‒ | ‒ | |
| Quinquina | ‒ | 240 | ‒ | ‒ | |
| Cardamoumm | ‒ | 1 | ‒ | 4 | ‒ |
| Gingembre | ‒ | 1 | ‒ | 4 | ‒ |
| Sels | ‒ | 1174 | ‒ | ‒ | |
| Curcuma | ‒ | 29 | ‒ | ‒ | |
| Ecorce de citron | ‒ | 11 | ‒ | ‒ | |
| Sel de nitre | ‒ | 5 | ‒ | ‒ | |
| Rhubarbe | ‒ | 3 | ‒ | ‒ | |
| Fleur de canelle | ‒ | 48 | ‒ | ‒ | |
| Riz | ‒ | 12 | ‒ | 50 | ‒ |
| Huile d’olive | ‒ | 464 | ‒ | ‒ | |
| Soie écrüe | ‒ | 27 | ‒ | ‒ | |
| Huile de Therebentine | ‒ | 6 | ‒ | ‒ | |
| Cloux de Gérofle | ‒ | ‒ | 4 | ‒ | |
| Cochenille | ‒ | ‒ | 2 | ‒ | |
| Gommet | ‒ | 105 | ‒ | ‒ | |
| Jus de réglisse | ‒ | ‒ | 50 | ‒ | |
| Chocolat | ‒ | 2 | ‒ | ‒ | |
| Haricott | ‒ | 47 | ‒ | ‒ | |
| Eau-de-vie | 183 litres. | ||||
| Rhum | 59 litres. | ||||
| Bois de Conston | 73 planches. |
| Osicr en bottes | 200 bottes. |
| Une partie librairie. |
Les Magasins susdits seront ouverts an Pu - blic le 9 et 10 Novembre prochain, depuis neuf heures du matin jusqu’à 2 heures après-midi pour qu’il puisse prendre connaissance des Marchandises à vendre.
Le 26 Octobre prochain à 10 heures du matin, il sera procédé en la chancellerie du Vice-Consulat de France, en présence du Vice - Consul et d’un principal préposé des Doua - nes, sur la demande de l’armateur et des in - téressés, à la vente publique, au plus offrant et dernier enchérisseur, à l’extinction des feux, du Corsaire Cutter La Thérese, apparte - nant à Mr. Castel père, du port
muni de ses agrés, appareaux, et diverses ustensiles.
Les Acquéreurs seront tenus, de payer tous les droits d’usages quelconques, aux autori - tés locales.
Les Acquéreurs payeront comptant, ou en lettres de change à deux mois d’échéance au plus tard, acceptées à la satisfaction de l’ar - mateur.
La livraison aura lieu le lendemain de la vente, et dans le cas, où l’acquéreur ne se présenterait pas dans les trois jours, il sera procédé à la revente sur folle enchère.
Les personnes qui voudront acquérir, pour - ront s’adresser la veille de la vente chez Mr. Charles Burchardt, conseiller de commerce, Wasserstrasse, pour prendre connoissance des agrés et de l’état du navire, le tout mentionné en l’inventaire déposé dans la chancellerie du Vice-Consulat de France à Rostock.
Den 26ſten October dieſes Jahrs, um 10 Uhr des Morgens, ſoll in der Kanzeley des Kayſerl. Koͤnigl. Franzoͤſiſchen Vice-Conſulats zu Roſtock, in Gegenwart des Herrn Vice-Conſuls und eines Douanen-Beamten, auf Anſuchen des Rheeders und der Jntereſſenten, oͤffentlich, beym Verloͤſchen der Lichter, an den Meiſt - und Letztbietenden ver - kauft werden: der, Herrn Caſtel Vater zugehoͤ - rige Kaper-Cutter Thereſe, von
mit dem gehoͤrigen Takelwerk und verſchiedenen Geraͤthſchaften verſehen.
Die Kaͤufer ſind verbunden, alle uͤblichen Abgaben jeder Art an die Orts-Obrigkeiten zu entrichten.
Die Kaͤufer werden baar oder in Wechſeln, auf zwey Monat hoͤchſtens, zur Zufriedenheit des Rhee - ders, bezahlen.
Die Ablieferung des Schiffes geſchieht den Tag nach dem Verkaufe, und im Fall der Kaͤufer ſich nicht nach Verlauf von drey Tagen einſtellt, wird zur zweyten Verſteigerung fuͤr ſeine Rechnung und Unkoſten geſchritten werden.
Die Kaufliebhaber koͤnnen den Tag vor dem Verkauf bey dem Herrn Commerzienrath Carl Burchard den Zuſtand des Schiffs und des Takel - werks, ſo wie es in dem Jnventario benannt iſt, welches in der Kanzeley des Kayſerl. Koͤnigl. Fran - zoͤſiſchen Vice-Conſulats niedergelegt iſt, in Augen - ſchein nehmen.
Le 31 Octobre prochain à 10 heures du matin, il sera procédé en la chancellerie du Vicé-Consulat de France, en présence du Vice - Consul et d’un principal préposé des Doua - nes, sur la demande des armateurs et des as - sociés, à la vente publique, au plus offrant et dernier enchérisseur, à l’extinction des feux, du Corsaire Ever l’heureuse Etoile, ap - partenant à M. M. Drouet, Castel fils et Comp., du port d’environ 22 Tonneaux, muni de ces agres, appareaux, armes et ustensiles.
Les Acquéreurs seront tenus, de payer tous les droits d’usages quelconques, aux autorités locales.
Les Acquéreurs payeront comptant, ou en lettres de change à deux mois d’échéance au plus tard, acceptées à la satisfaction de l’ar - mateur.
La livraison aura lieu le lendemain de la vente, et dans le cas où l’acquéreur ne se présenterait pas dans les trois jours, il sera procédé à la revente sur folle enchère.
Les personnes qui voudront acquérir, pour - ront s’adresser la veille de la vente chez Mr. Medini, pour prendre connoissance des agrés et de l’état du navire, le tout mentionné en l’inventaire déposé dans la chancellerie du Vice-Consulat de France à Stralsund.
Den 31ſten October dieſes Jahrs, um 10 Uhr des Morgens, ſoll in der Kanzeley des Kayſerl. Koͤnigl. Franzoͤſiſchen Vice-Conſulats in Stralſund, in Gegenwart des Herrn Vice-Conſuls und eines Do[u]anen-[B]eamten, auf Anſuchen der Rheeder und der Jntereſſenten, oͤffentlich, beym Verl[oͤ]ſchen der Lichter, an den Meiſt - und Letztbietenden ver - kauft werden: der, Herren Drouet, Caſtel Sohn et Comp. zugehoͤrige, Kaper-Ever, der gluͤckliche Stern, von ungefaͤhr
22 Tonnen Gehalt,
mit dem gehoͤrigen Takelwerk, Waſſen und Ge - raͤthſchaften verſehen.
Die Kaͤufer ſind verbunden, alle uͤblichen Ab - gaben jeder Art an die Orts-Obrigkeiten zu entrichten.
Die Kaͤufer werden baar oder in Wechſeln, auf zwey Monat hoͤchſtens, zur Zufriedenheit des Rhee - ders, bezahlen.
Die Ablieferung des Schiffs geſchieht den Tag nach dem Verkaufe, und im Fall der Kaͤufer ſich nicht nach Verlauf von drey Tagen einſtellt, wird zur zweyten Verſteigerung fuͤr ſeine Rechnung und Unkoſten geſchritten werden.
Die Kauf-Liebhaber koͤnnen den Tag vor dem Verkauf bey dem Herrn Medini den Zuſtand des Schiffs und des Takelwerks, ſo wie es in dem Jnventario benannt iſt, welches in der Kanzeley des Kayſerl. Koͤnigl. Franzoͤſiſchen Vice-Conſulats niedergelegt iſt, in Augenſchein nehmen.
in G. F. Denecken und Boden Hauſe zur gaͤnzlichen Aufraͤumung eines Lagers ſehr ſchoͤner alter, gut conſervirter Weine, beſtehend in 1805r St. Croix du Mont, 1808, 5, 2r hoch Berſac, 1802 und 1788r hoch Preignac, 1800 und 98r hoch Bommes, 1804r hoch Souterne, 1793, 94, 95r Langon, nebſt ver - ſchiedenen ſehr alten belegenen Weinen, alten Cor - ſica ꝛc., ſo wie auch einige Medoc, Margeaux, Tavelle ꝛc., alles von Stuͤcken, ſo wie auch eine Parthey Medoc la Roſe in Bouteillen ꝛc., in ſo weit ſelbiger bis dahin nicht unter der Hand ver - kauft, als auch die Stuͤck - und Lagerfaͤſſer ꝛc. Zur naͤhern Nachricht und auch zur Einſendung von Proben gegen Erſtattung der Unkoſten iſt gerne erboͤtig
Durch den Kayſerlichen Notar, Herr Behrmann, ſoll am Dienſtage den zwanzigſten October dieſes Jahrs und folgenden Tagen im hieſigen Lombard der gewoͤhnliche Ausruf von allerhand Silberge - raͤth, tombachenen, ſilbernen und goldenen Taſchen - Uhren, einigen Pretioſen und andern Sachen mehr, gehalten werden; welches hiedurch bekannt gemacht wird.
Nachdem von dem Libauſchen Stadt-Magiſtrat in der Nachlaſſenſchafts-Sache des hier verſtorbe -nen Ruß. Kayſerl. Poſtmeiſters und Titulalr - Rat〈…〉〈…〉 s, Herrn Caspar Herrmann Meyer, mittelſt Beſcheides Terminus secundus et quidem prae - clusivus auf den 4ten Januar des kuͤnftigen 1813ten Jahrs anberaumet worden; ſo wird der - ſelbe denjenigen, die ſolches angehet, hiemittelſt zur Nachachtung und Wahrnehmung ihrer etwani - gen Gerechtſame unter der Verwarnung bekannt gemacht, daß, wenn ſie ſich mit ihren Anſpruͤchen auch in dieſem Termine nicht melden, ſie damit vollig praͤcludirt werden ſollen.
Libau, den 8ten September 1812.
Meinen werthen Freunden, die in Beziehung auf meine Ankuͤndigung in No. 11 des Allgemei - nen Anzeigers 1810 auf mein erfundenes Weſtphaͤ - liſches Champagner Bier ſubſcribiret haben, zeige ich hierdurch ergebenſt an, daß, ob ich zwar noch nicht die erwuͤnſchte Anzahl Subſcribenten voll - zaͤhlig habe, ich mich entſchloſſen habe, das Recept nebſt einer ausfuͤhrlichern Beſchreibung demjenigen, der mir einen Laubthaler frey einfendet, zukommen laſſen werde. Diejenigen, welche bereits bezahlt haben, belieben gegen freye Briefe ſolches abzu - fordern.
Wann die in nachſtehendem Signalement beſchriebenen, wegen verübter Diebſtähle theils zu lebenslänglicher, theils zu mehrjähriger Zuchthausſtrafe verurtheilten Züchtlinge, Probſt und Peters, in der Nacht vom 19ten auf den 20ſten May d. J. Gelegenheit gefunden, ſich mittelſt Ausbruchs aus dem hieſigen Zuchthauſe in Freyheit zu ſetzen, und es wahrſcheinlich geworden iſt, daß letzterer ſich noch hier im Lande umhertreibt, erſterer aber ins Mecklenburgiſche und vielleicht noch weiter gegangen; ſo werden die damals be - reits erlaſſenen Steckbriefe hiemit wiederholt, und alle Behörden geziemend erſucht, falls ſich einer der Flücht - linge in ihrem Bezirk betreten laſſen ſollte, denſelben ſo - fort anzuhalten und ſicher hieher zu transportiren, oder bis zu der von hier aus verfügten Abholung in ſtrengern Verwahrſam zu nehmen; wogegen wir zur Erſtattung ſämmtlicher Koſten und zur Erwiederung der Rechtshülfe in vorkommenden Fällen bereit ſind.
1) Der Züchtling Probſt, von hier, iſt großer, ſtarker Statur, hat ein ziemlich großes Geſich[t]und große Naſe, aufgeworfene Lippen, tief liegende braune Augen, braunes abgeſchnittenes Haar, und iſt ungefähr 36 Jahre alt. Bey ſeiner Flucht iſt er mit einer braunen tuchenen Jacke und gleichen langen Beinkleidern, Schuhen, einer ſchwarzen ledernen Mütze und einem ſchwarzen Halstuche bekleidet geweſen.
2) Der Züchtling Peters, aus Triebſees, iſt etwa 28 Jahre alt, von mittelmäßiger Statur und blaſſem Angeſicht, hat blaue Augen, eine lange Naſe, ſpitzes Kinn und kleinen Mund, abgeſchnittene blonde Haare und eine leiſe Sprache. Er war bey der Flucht mit einer blauen Jacke, langen lei - nenen Beinkleidern, Schuhen, ſchwarzem Halstuch, einer bunten cattunenen Weſte und einem runden Huth beklei - det; ſoll aber jetzt einen blauen Ueberrock, bunte Weſte mit weißen metallenen Knöpfen und Stiefeln tragen.
Britt-Marie SchusterManuel WilleArnika LutzNote: Bereitstellung der Texttranskription.Note: Bitte beachten Sie, dass die aktuelle Transkription (und Textauszeichnung) mittlerweile nicht mehr dem Stand zum Zeitpunkt der Übernahme des Werkes in das DTA entsprechen muss.2014-07-28T09:53:23Z CLARIN-DNote: Langfristige Bereitstellung der DTA-Ausgabe
Fraktur
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