PRIMS Full-text transcription (HTML)
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JOURNAL du DÉPARTEMENT des BOUCHES de l’ELBE oder: Staats - und Gelehrte Zeitung des Hamburgiſchen unpartheyiſchen Correſpondenten.
Anno 1812. (Am Mittewochen, den 14 October.)
No. 165.

21e Bulletin de la Grande-Armée. Moscou, le 20 Sept.

Trois cents chauffeurs ont été a rétés et fu - sillés. Ils étaient armés d’une fusée de six pouces, contenue entre deux morceaux de bois; ils avaient aussi des artifices qu’ils jet - taient sur les toits. Ce misérable Rastopchin avait fait confectionner ces artifices en faisant croire aux habitans qu’il voulait faire un bal - lon qu’il lancerait plein de matières incen - diaires sur l’armée française. Il réunissait sous ce prétexte les artifices et autres objets nécessaires à l’exécution de son projet.

Dans la journée du 19, et dans celle du 20, les incendies out cessé. Les trois quarts de la ville sont brûlés, entre autres le beau pa - lais de Catherine, meublé à neuf. Il reste au plus le quart des maisons.

Pendant que Rastopchin enlevait les pom - pes de la ville, il laissait 6000 fusils, 150 piè - ces de canon, plus de 100000 boulets et bom - bes, 1,500000 cartouches, 400 milliers de pou - dre, 400 milliers de salpêtre et de souffre. Ce n’est que le 19 qu’on a découvert les 400 milliers de poudre et les 400 milliers de sal - pêtre et de souffre, dans un bel établissement situé à une demi-lieue de la ville; cela est important; nous voilà approvisionnés pour deux campagnes.

On trouve tous les jours des caves pleines de vin et d’eau-de-vie.

Les manufactures commençaient à fleurir à Moscou; elles sont détruites. L’incen - die de cette capitale retarde la Russie de cent ans.

Le tems parait tourner à la pluie, La plus

21ſtes Bulletin der großen Armee. Mosca[u], den 20 Sept. 1812.

Dreyhundert Mordbrenner ſind verhaftet und er - ſchoſſen worden. Sie waren mit einer 6 Zoll lan - gen Rakete verſehen, die ſich zwiſchen zwey Stuͤcken Holz befand; auch hatten ſie Feuerwerk, wel - ches ſie auf die Daͤcher warfen. Der elende Ro - ſtopſchin hatte dieſe Feuerwerke machen und dabey den Einwohnern vorſpiegeln laſſen, daß er einen Ballon verfertigen laſſen wolle, der voll von brenn - baren Materialien auf die Franzoͤſiſche Armee ge - ſchlendert werden ſolle. Unter dieſem V[ o] rwande brachte er die Feuerwerke und andre zur Ausfuͤh - rung ſeines Anſchlags noͤthigen Sachen zuſammen.

Am 19ten und 20ſten hoͤrten die Feuersbruͤnſte auf. Drey Viertheile der Stadt ſind eingeaͤſchert, unter andern der ſchoͤne, neu meublirte Cathari - nen-Pallaſt. Hoͤchſtens ein Viertheil der Haͤuſer iſt ſtehen geblieben.

Waͤhrend Roſtopſchin die Stadtſpruͤtzen wegfuͤh - ren ließ, blieben 60000 Flinten, 150 Kanonen, uͤber 100000 Kanonenkugeln und Bomben, anderthalb Millionen Patronen, 400000 Pfund Pulver und 400000 Pfund Salpeter und Schwefel zuruͤck. Erſt am 19ten entdeckte man die 400000 Pfund Salpe - ter und Schwefel in einem ſchoͤnen, eine halbe Stunde von der Stadt gelegenen Etabliſſement. Dies iſt wichtig. Wir ſind dadurch auf 2 Feld - zuͤge verſehen.

Taͤglich findet man Keller voller Wein und Branntewein.

Die Manufacturen fiengen an, zu Moscau zu bluͤhen; ſie ſind vernichtet. Die Einaͤſcherung dis - ſer Hauptſtadt ſetzt Rußland um 100 Jahre zuruͤck.

Die Witterung ſcheint ſich zum Regen zu nei -

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grande partie de l’armée est casernée dans Moscou.

Proclamation du gouverneur-général de Mos - cou, publiée le 11 Septembre, la veille de l’arrivée de l’Empereur.

Frères! Notre armée immense défendra la patrie au péril de sa vie.

Empêchons l’ennemi perfide d’entrer à Moscou. Ne pas seconder les nôtres de tou - tes nos forces serait un crime; Moscou est notre mère. Elle vous a nourris; c’est d’elle que vous tenez vos richesses. Je vous ap - pelle, au nom de la mère du Sanveur, à la défense des temples du Seigneur, de la ville de Moscon et de toute la Russie.

Armez-vous comme il vous sera possible, cavaliers et fantassins. Prenez du pain pour trois jours; rassemblez-vous sous la bannière de la croix, et rendez-vous au plus tôt sur les trois montagnes. Je serai avec vous, et nous exterminerons le perfide. Gloire â ceux qui seront au combat. La patrie reconnais - sante conservera la mémoire de ceux qui mourront pour elle. Ceux qui seront de mauvaise volonté, en recevront le chàtiment au jugement dernier.

Proclamation du gouverneur-général de Moscou, Rastopschin.

Le bruit court ici que j’ai défendu la sortie de la ville. Si cela était ainsi on verrait des soldats placés aux barrieres, et des milliers de voitures de toute espèce ne sortiraient pas de tous les côtés. Je suis bien aise que les dames et les femmes de marchands partent pour leur tranquillité. Moins il y a de peur, moins il y a de péril. Mais je blâme les maris, les frères et les parens qui sont partis avec les femmes dans l’intention de ne pas revenir. C’est mal agir s’ils croient qu’il y a du danger, et ils se couvrent de houte s’il n’y en a pas. Je réponds sur ma vie que l’ennemi n’entrera pas à Moscou, et voici pourquoi: dans les armées il y a 130 mille hommes d’élite, 1800 pièces de canon, et S. A. le prince Koutonzaw a été choisi par l’Empe - reur pour commander toute l’armée. Der - rière l’ennemi, les corps des généraux Tor - massow et Pchitchagow se montent à 85 mille hommes d’élite d’infanterie et de cavalerie.

Le général Milaradavitsz est veuu de Ka - touga à Mojaïsk avec 30 mille hommes d’in - tantério, 3300 de cavalerie et 84 pièces de ca - non. Le comte Markow arrivera dans trois jours à Mojaîsk avec 24 mille hommes qui seront suivis des autres sept mille. Il y a à Moscou, à Klin, à Zavidow, à Podolsk, 14 mille hommes d’infanterie. Si ces forces ne suffisent pas pour battre le perfide ennemi, je vous dirai: Allons, mes amis les Moscovi - tes! marchons aussi! Nous assemblerons 100 mille hommes, nous prendrons l’image de la

gen. Der groͤßte Theil der Truppen iſt zu Mos - cau in Caſernen untergebracht.

Proclamation des General-Gouverneurs von Moscau, publicirt am 11ten September. am Tage vor der Ankunft des Kayſers.

Bruͤder! Unſre[u]ngeheure Armee wird das Va - terland mit der Aufopferung ihres Lebens verthei - digen.

Laßt uns den treuloſen Feind abhalten, in Mos - cau einzuruͤcken. Die Unſrigen nicht aus allen un - ſern Kraͤften unterſtuͤtzen, wuͤrde ein Verbrechen ſeyn. Moscau iſt unſre Mutter. Sie hat euch ernaͤhrt; von ihr beſitzt ihr eure Reichthuͤmer. Jch fordere euch im Namen der Mutter Gottes zur Vertheidigung der Tempel des Herrn, zur Ver - theidigung von Moscau und ganz Rußland auf.

Bewaffnet euch, Reiter und Fußvolk, ſo gut, wie’s euch moͤglich iſt. Nehmt Brodt auf 3 Tage mit. Verſammelt euch unter der Fahne des Kreuzes und begebt euch ſobald als moͤglich auf die drey Berge. Jch werde bey euch ſeyn und wir wollen den Treuloſen ausrotten. Ehre denjenigen, die ſich in dem Kampfe befinden werden. Das dank - bare Vaterland wird das Andenken derjenigen er - halten, die fuͤr daſſelbe ſterben. Diejenigen, die boͤſen Willen beſitzen, werden die Strafe da - fuͤr am juͤngſten Tage erhalten.

Proclamation des General-Gouverneurs von Moscau, Roſtopſchin.

Es geht das Geruͤcht, als wenn ich das Aus - ziehen aus der Stadt verboten haͤtte. Waͤre dem alſo, ſo wuͤrde man Soldaten bey den Schlagbaͤu - men ſehen, und tauſende von Wagen aller Art wuͤrden nicht von allen Seiten hinausfahren. Es iſt mir ſehr lieb, daß die Damen und die Frauen der Kaufleute zu ihrer Sicherheit fortreiſen. Je weniger Beſorgniß iſt, deſto weniger iſt Gefahr. Jch tadle aber die Maͤnner, die Bruͤder und die Eltern, die mit den Frauen abgereiſet ſind, um nicht wieder zuruͤckzukommen. Es iſt ſchlecht ge - handelt, wenn ſie glauben, daß Gefahr vorhanden ſey, und ſie bedecken ſich mit Schande, wenn keine Gefahr iſt. Jch verbuͤrge mich mit meinem Leben, daß der Feind nicht in Moscau einruͤcken wird, und zwar aus folgenden Urſachen: Bey den Ar - meen giebt es 130000 Mann Kerntruppen, 1800 Kanonen, und Se. Durchl. der Fuͤrſt Kutuſow iſt vom Kayſer erwaͤhlt worden, um die geſammte Armee zu commandiren. Jm Ruͤcken des Feindes belauſen ſich die Corps der Generals Tormaſſow und Tſchitſchagow auf 85000 Mann Kern-Jnfan - terie und Cavallerie.

General Miloradowitſch iſt von Kaluga mit 30000 Mann Jnfanterie, 3800 Mann Cavallerie und 84 Kanonen zu Mojaisk angekommen. Graf Marcow kommt binnen 3 Tagen zu Mojaisk mit 24000 Mann an, denen noch 7000 Mann folgen. Z[u]Moscau, zu Klin, zu Zavidom und Podolsk ſind 14000 Mann Jnfanterie. Reicht dieſe Macht nicht hin, den tre[u]loſen Feind zu ſchlagen, ſo werde ich e[u]ch ſagen: Auf, meine Freunde, ihr Moscoviter, laßt uns auch marſchiren! Wir wer - den 100000 Mann verſammeln, das Bildniß der heiligen Jungſrau und 150 Kanonen mitnehmen,

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Sainte-Vierge et 150 pieces de canon, et nous mettrons fin à tout ensemble.

L’ennemi a 150 mille hommes, tant des siens que de tout ce qu’il a pu ramasser. Ils se nourrissent de viande de cheval.

Voilà ce dont je vous fait part, afin que les uns se réjouissent, et les autres se tran - quillisent, sur-tout à cause de l’arrivée pro - chaine de l’Empereur dans sa fidèle capitale.

Lisez; il est facile de tout comprendre, mais ne faites aucunes inductions de tout ce que je vous communique.

Bulletin imprimé du gouverneur-général de Moscou, du 12 Septembre.

Je pars demain peur me rendre près de S. A. le prince Koutouzow, pour prendre, conjointement avec lui, des mesures pour ex - terminer nos ennemis.

Nous enverrons au diable ces hôtes, et nous leur ferons rendre l’ame.

Je reviendrai pour le diner, et nous met - trons la main à l’oeuvre pour réduire en poudre les perfides.

On avoit cru que l’ennemi respecteroit sa vieille capitale; on étoit même d’autant plus fondé à le croire, que d’après des lettres dignes de foi, le général en chef de l’armée russe avoit envoyé un parlementaire au quar - tier-général français pour recommander Mos - cou à la clémence du vainqueur; mais tel est le dèsordre qui règne dans cet Empire, qu’un gouverneur ose, de sa propre autorité, armer des bandes de voleurs et d’incendiaires, et espère défendre, avec une poignée d’assas - sins, une ville dans laquelle toute une armée n’avoit pu se maintenir.

L’arrivée d’une armée française victorieuse dans l’ancienne capitale des Czars, dans la grande ville centrale de la Russie, est un des évènemens les plus étonnans de l’histoire moderne. Quoiqu’on soit accoutumé à voir l’Empereur des Français concevoir et exécu - ter les plans de campagne les plus vastes et les plus surprenans, la présence de ce monar - que à Moscou à quelque chose de plus extra - ordinaire que tout ce que son histoire offre de plus prodigieux. La distance de Paris à Moscou, à peu près égale à celle qui séparoit la capitale d’Alexandre le Grand de celle de l’Empire persan, la nature des lieux et des climats qui passoient presque pour inaccessi - bles aux armées de l’Europe, le souvenir d’un grand guerrier dont l’audace échoua dans un projet semblable, le voisinage des nations asiatiques qui déjà voient arriver chez elles les fuyards de la bataille de la Moskwa, tout concourt à donner aux progrès de la Grande-Armée un air de prodige qui rappelle les expéditions les plus admirées de l’antiquité.

Au moment le bruit des victoires de la Grande-Armée retentit dans l’Europe entière, l’aigle impériale est arborée sur le Krem - lin, ancienne résidence des Czars, nous appe -

und wir werden allen ſammt und ſonders ein Ende machen.

Der Feind hat 150000 Mann ſowol von ſeinen eigenen Leuten, als von allem dem, was er hat, zuſammenraffen koͤnnen. Sie ernaͤhren ſich von Pferdefleiſch.

Jch zeige euch dieſes an, damit die einen ſich er - freuen und die andern ſich beruhigen, beſonders bey der bevorſtehenden Ankunft des Kayſers in ſeiner getreuen Hauptſtadt.

Leſet, es iſt leicht alles zu begreifen; zieht aber keine Folgerungen aus allem demjenigen, was ich euch mittheile.

Gedrucktes Buͤlletin des General-Gouver - neurs von Moscau, vom 12ten Sept.

Jch reiſe morgen zu Sr. Durchl. dem Fuͤrſten Kutuſow ab, um mit ihm Maaßregeln zur Aus - rottung des Feindes zu ergreifen.

Wir wollen dieſe Gaͤſte in die Ewigkeit und zum Teufel ſchicken.

Jch komme zum Diner zuruͤck; wir wollen Han[d]ans Werk legen, um die Treuloſen in Staub zu verwandeln.

Man hatte geglaubt, daß der Feind ſeine alte Hauptſtadt reſpectiren wuͤrde. Man hatte um ſo mehr Urſache es zu glauben, da nach zuverlaͤßigen Briefen der Ge[n]eral en Chef der Rußiſchen Armee einen Parlementair in das Franzoͤſ. Hauptquartier geſandt hatte, um Moscau der Gnade des Sie - gers zu empfehlen; allein ſo groß iſt die Unord - nung, die in dieſem Reiche herrſcht, daß ein Go[u]- verneur ſich eigenmaͤchtig unterſteht, Banden von Raͤubern und Mordbrennern zu bewaffnen, und mit einer Handvoll Moͤrder eine Stadt zu verthei - digen hofft, in welcher ſich eine ganze Armee nicht hatte halten koͤnnen.

Die Ankunft einer ſiegreichen Franzoͤſ. Armee in der alten Hauptſtadt der Czaare, in der großen Centralſtadt von Rußland, iſt eine der erſtaun - lichſten Begebenheiten der neuern Geſchichte. Ob - gleich man gewohnt iſt, daß der Kayſer der Fran - zoſen die groͤßten und auffallendſten Campagne - Plans entwirft und in Ausfuͤhrung bringt, ſo hat doch die Anweſenheit dieſes Monarchen zu Mos - cau etwas Außerordentlicheres, als alles, was ſeine Geſchichte Wunderbares darbietet. Die Entfernung von Paris nach Moscau, die ohngefaͤhr derjenigen gleicht, welche die Hauptſtadt Alexanders des Großen von der Hauptſtadt des Perſiſchen Reichs trennte, die Beſchaffenheir der Oerter und der Cli - mate, die fuͤr Europaͤiſche Armeen fuͤr faſt unzu - gaͤnglich gehalten wurden, das Andenken an einen großen Krieger, deſſen Kuͤhnheit bey einem aͤhn - lichen Entwurf ſcheiterte, die Nachbarſchaft Aſiati - ſcher Nationen, die ſchon die Fluͤchtlinge aus der Schlacht an der Moscwa bey ſich ankommen ſehen, alles traͤgt dazu bey, den Fortſchritt[ e] n der großen Armee ein Wunder-Anſehen zu geben, welches an die angeſtaunteſten Expeditionen des Alterthums erinnert.

Jn dem Augenblicke, wo das Geraͤuſch der Siege der großen Armee in ganz Europa wiederhallt, wo der Kayſerl. Adler auf dem Kreml, der alten Re - ſidenz der Czaare, aufgepflanzt iſt, fordern wir

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lous avec confiance l’attention de nos lecteurs sur les hautes pensées que de tels événemens sont faits pour inspirer. La première re - flexion qui se présente naturellement à l’es - prit, c’est le changement prodigieux qui s’est opéré autour de nous depuis quelques an - nées. Elle n’est pas encore sortie de notre mémoire, cette époque des armées russes cam - pées au milieu des Alpes, avouoient insolem - ment l’espérance de dévaster le territoire, fran - çais, et de soumettre à un joug barbare la patrie de l’honneur et des arts. Le nom seul des Russes excitoit cette sorte de frayeur irréfléchie, qu’inspire toujours un péril auquel on se trouve exposé pour la première fois. L’ima - gination la plus hardie aurait elle pu s’éle - ver alors jusqu’au point de supposer qu’avant l’expiration de quelques années une armée française vengeroit dans l’ancienne, capitale de la Russie les revers de la Trébia et de Novi? Cette supposition auroit paru plus na - turelle après que le soleil d’Austerlitz eut éclairé la défaite des légions moscovites, si la modération de l’Empereur des Français n’eût posé des bornes à ses conquêtes.

La fièvre jaune s’étant de nouveau mani - festée dans cette ville, les mesures les plus efficaces ont été prises pour arrêter ce fléau dès le principe. Il a été construit dans la campagne des baraques toutes les person - nes qui n’ont pas été atteintes de la maladie se sont refugiées.

Nous apprenons par un gentleman venant d’Albany, qu’il a été conclu un armistice en - tre le général Deaborne et l’adjudant-géné - ral Baynes; il durera jusqu’à ce que les deux gouvernemens ayent eu le tems de recevoir des nouvelles mutuelles relatives à la révo - cation des ordres du conseil et autres points en litige; en concluant cet armistice, le - néral Deaborne a envoyée un exprès à Washington, et un autre au général Hull à Détroit; on ignore s’il sera ratifié.

Le grand-visir, après sa déposition a été exilé à Brussa. Son successeur, qui étoit pacha à Nissa, est parti pour se rendre à Schumla. Cette nouvelle a produit ici une très grande sensation. On croit généralement que ce changement, qui est de la plus haute importance pour la marche des affaires de Turquie, a été fait par suite du mécontente - ment qu’a le Grand-Seigneur du traité de paix de Bucharest, dont le dernier grand-visir avoit été le négociateur. (Journal de l’Empire.)

Notre théàtre vient de perdre le fameux Schïkaneder, à l’àge de 60 ans. Il étoit ac - teur, auteur, directeur, entrepreneur de théâ - tres. Il est auteur des paroles de la Zauber - Floete connue en France sous le nom des Mystères d’Isis. Il dissipoit la fortune avec la même facilité qu’il l’amassoit. Vingt fois

mit Vertrauen die Aufmerkſamkeit unſerer Leſer zu den hohen Gedanken auf, die ſolche Ereigniſſe einfloͤßen muͤſſen. Die erſte Bemerkung, die ſich dem Geiſte natuͤrlich darbietet, iſt die erſtaunliche Veraͤnderung, die ſeit einigen Jahren um uns herum vorgegangen iſt. Sie iſt noch nicht aus unſerm Gedaͤchtniß verſchwunden, jene Epoche, wo Rußiſche Armeen, die bey den Alpen lagerten, ver - wegen die Hoffnung zu erkennen gaben, das Fran - zoͤſ. Gebiet zu verheeren und das Vaterland der Ehre und der Kuͤnſte einem barbariſchem Joche zu unterwerfen. Der Name der Ruſſen allein erregte jene Art von unuͤberlegtem Schrecken, den ſtets eine Gefahr einfloͤßt, der man zum erſtenmal ausgefetzt iſt. Haͤtte damals die kuͤhnſte E[i]nbildungskraft ſich vorſtellen koͤnnen, daß vor Ablauf einiger Jahre eine Franzoͤſ. Armee in der alten Hauptſtadt Rußlands die Unfaͤlle an der Tre - bia und bey Novi raͤchen wuͤrde? Eine ſolche Ver - muthung wuͤrde natuͤrlicher geſchienen haben, nach - dem die Sonne von Auſterlitz die Niederlage der Moscowitiſchen Legionen beleuchtet hatte, haͤtte nicht die Maͤßigung des Kayſers der Franzoſen ſeinen Eroberungen damals Graͤnzen geſetzt.

Da ſich das gelbe Fieber abermals in dieſer Stadt geaͤußert hat, ſo ſind die nachdruͤcklichſten Maaßregeln ergriffen worden, um dieſem Uebel in ſeinem Entſtehen Einhalt zu thun. Auf dem Felde ſind Baracken erbauet, wohin ſich alle von der Krankheit nicht angegriffene Leute gefluͤchtet haben.

Durch einen von Albany gekommenen Gentleman erfahren wir, daß zwiſchen dem General Deaborne und dem General-Adjutanten Bagnes ein Waffen - ſtillſtand geſchloſſen worden. Er ſoll ſo lange dauern, bis die beyden Regierungen Zeit gehabt haben, gegenſeitig Nachrichten in Betreff der Wi - derrufung der Cabinets-Ordres und andrer in Streit begriffenen Puncte zu erhalten. Beym Abſchluß des Waffenſtillſtandes fandte General Deaborne einen Expreſſen nach Waſhington und einen an - dern an den General Hull zu Detroit. Man weiß nicht, ob er ratificirt werden wird.

Der Großvizier iſt nach ſeiner Abſetzung nach Bruſſa exilirt worden. Sein Nachfolger, der Pa - ſcha zu Niſſa war, iſt nach Schumla abgegangen. Dieſe Nachricht hat hier große Senſation hervor - gebracht. Man glaubt allgemein, daß dieſe Veraͤn - derung, die fuͤr den Gang der Tuͤrkiſchen Angele - genheiten von der groͤßten Wichtigkeit iſt, in Folge des Mißvergnuͤgens geſchehen ſey, welches der Großherr uͤber den Friedens-Tractat von Buchareſt hegte, den der letzte Großvizier unterhandelt hatte.

(Journal de l’Empire.)

Unſer Theater hat den bekannten Schikaneder im 60ſten Jahre ſeines Alters verlohren. Er war Acteur, Autor, Directeur und Theater-Unterneh - mer. Er iſt Verfaſſer des Textes der Zauberfloͤte, die in Frankreich unter dem Namen Mystères d’Isis bekannt iſt. Er brachte ſein Vermoͤgen mit derſelben Leichtigkeit hindurch, womit er es erwor -

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il s’est vu riche, et autant de fois dans le be - soin. Il est mort presque dans l’indigence, généralement regretté pour son talent, mais blàmé pour son inconduite.

L’expérience aérostatique annoncé par Zam - beccari a eu lieu le 21 Septembre à Bologne; mais elle a coûté la vie à l’infortuné voyageur et mis en péril celle de son compagnon de voyage. Le ballon s’étant accroché à un ar - bre et s’étant enflammé, les deux aéronautes ont été précipités d’assez hâut. Des secours leur ont été prodigués aussitôt, mais n’ont pu sauver M. Zambeccari. M. Bonaga est grièvement blessé.

ben hatte. Zwanzigmal war er reich, und zwanzig - mal arm. Er ſtarb faſt in Duͤrftigkeit; allgemein bedauert wegen ſeines Talents, aber eben ſo geta - delt wegen ſeines Leichtſinns.

Der von dem Herrn Zambeccari angekuͤndigte Verſuch hatte am 21ſten Sept. zu Bologna ſtatt; hat aber dem ungluͤcklichen Reiſenden das Leben gekoſtet, und das Leben ſeines Reiſegefaͤhrten in Gefahr geſetzt. Da der Ballon an einen Baum anhakte und in Brand gerieth, ſo ſtuͤrzten die bey - den Luftſchiffer aus der Anhoͤhe herab. Es ward ihnen ſogleich aller Beyſtand geleiſtet; allein Herr Zambeccari konnte nicht gerettet werden. Hr. Bo - nagna iſt ſchwer verwundet worden.

Die hieſige Akademie der Kayſerlichen Univerſitaͤt wird in den erſten Tagen des Novembers ihr drittes Studien-Jahr beginnen. Die zwey ſchon laͤnger errichteten Fakultaͤten der Rechtsgelehrſamkeit und der Arzneykunde ſetzen ihre von einer großen An - zahl theils inlaͤndiſcher, theils auslaͤndiſcher Stu - direnden beſuchten Vorleſungen in der ihnen vor - geſchriebenen Vollſtaͤndigkeit fort. Jn erſterer lehrt Hr. Arnold das Roͤmiſche Recht in einem jaͤhr - lichen Curſus; er hat ſo eben ein beſonderes Lehr - buch uͤber dieſe Wiſſenſchaft erſcheinen laſſen, und wird dieſes Jahr auch uͤber die Geſchichte des Rechts und uͤber das Commerzial-Geſetzbuch leſen. Die Herren Herrmann, Thirlet und Frantz leſen in dreyjaͤhrigen Curſen, wovon jedes Jahr einer anfaͤngt, das geſammte Franzoͤſiſche Civil-Recht, denen noch das oͤffentliche Recht und die Verhaͤlt - niſſe des Rechts mit den Verwaltungs-Einrichtun - gen und Geſetzen beygefuͤgt werden. Hr. Laporte lieſet uͤber das peinliche Recht und uͤber den Gang der Prozeduren. Drey Jahre werden erfordert, um Licentiat und Doctor der Rechte zu werden. Der erſtere Grad iſt durchaus nothwendig, um bey Franzoͤſiſchen Gerichtsſtellen und andern oͤffent - lichen Aemtern dieſer Art angeſtellt zu werden. Jn der mediziniſchen Fakultaͤt lieſet Hr. Lauth den Winter hindurch taͤglich Anatomie in dem laͤngſt beruͤhmten hieſigen Amphitheater dieſer Wiſſen - ſchaft, Hr. Be[r]ot erklaͤrt die Phyſiologie, Hr. Maſuyer die mediziniſche Chemie, Hr. Tourdes die Pathologie und innere Krankheitslehre, Hr. Cailliot die operirende Heilkunde. Jm Sommer werden Hr. Villars uͤber die mediziniſche Littera - tur und die Botanik leſen, Hr. Gerboin uͤber die materia medica und die pharmaceutiſche Chemie, Hr. Meunier uͤber die medizinelle Phyſik und die Geſundheitskunde, Hr. Cailliot uͤber aͤußere Pa - thologie, Hr. Tinchant uͤber die geſetzliche Arzney - kunde, Hr. Flamant uͤber die Geburtshuͤlfe und die Weiberkrankheiten, und Hr. Rochard uͤber die epidemiſchen Krankheiten. Das ganze Jahr hin - durch wird Hr. Coze innere Klinik und Hr. Fla - mant aͤußere Klinik und praktiſche Geburtshuͤlfe leſen. Jn vier Jahren wird der ganze medizini - ſche Curſus abſolvirt. Drey Jahre genuͤgen, um officier de santé zu werden.

Jn der Fakultaͤt der mathematiſchen und phy -ſikaliſchen Wiſſenſchaften lehrt Hr. Kramp nach den glaͤnzenden Vorſtudien zu dieſen Kenntniſſen, die im hieſigen Lyceum getrieben werden, ange - wandte Mathematik und noch beſondere Vorberei - tungen zur tiefern Kenntniß dieſer Wiſſenſchaft, Hr. Bedel die hoͤhere reine Mathematik, Hr. Hammer Naturgeſchichte, Hr. Herrenſchneider Phyſik, Hr. Brantome Chemie.

Jn der Fakultaͤt der ſchoͤnen Wiſſenſchaften leh - ren die Herren Schweighaͤuſer Vater und Sohn uͤber die Griechiſche, Hr. Hullin uͤber die Fran - zoͤſiſche, Hr. de Saint-Venaut uͤber die Lateiniſche Literatur, Hr. Sauthier uͤber die Philoſophie und philoſophiſche Geſchichte; der im vorigen Jahre unterbrochene Geſchichtskurſus ſoll in dieſem wie - der vorgenommen werden.

Die theologiſche Fakultaͤt iſt noch nicht errich - tet, aber alle zur Theologie gehoͤrigen Wiſſenſchaf - ten werden in den hieſigen Seminarien, dem Ka - tholiſchen und dem Proteſtantiſchen, in großer Voll - ſtaͤndigkeit gelehrt. Die Profeſſoren des letztern, das aus der ehemaligen hieſigen Proteſtantiſchen Univerſitaͤt entſtanden iſt, bieten, ſo wie noch meh - rere der Akademie, zum Theil aggregirte verdienſt - volle Maͤnner, der ſtudirenden Jugend noch wich - tige Gelegenheiten zum Privat - und oͤffentlichen Unterricht an. Auch ſinden ſich in dieſer den Wiſ - ſenſchaften und Kuͤnſten uͤberhaupt ſehr ergebenen Stadt alle zu wuͤnſchenden Privat-Lehrer und Mei - ſter der nuͤtzlichen Annehmlichkeiten des gebildeten Lebens.

Die Akademie und die Stadt beſitzt, außer dem ſchon oben erwaͤhnten anatomiſchen Theater, einen vortreflichen botaniſchen Garten, mehrere betraͤcht - liche oͤffentliche Bibliotheken, das von dem ver - ewigten Profeſſor Herrmann gebildete herrliche und zum Unterricht ſehr vollſtaͤndige Naturalien - Cabinet, zwey phyſikaliſche und zwey chemiſche Ca - binette, und alle uͤbrigen noͤthigen Anſtalten und Bequemlichkeiten. Auch treten die dem Fremden ſo anziehende Geſelligkeit und der geſaͤllige gebil - dete Ton der Geſellſchaften, welcher immer auf die ſtudirende Jugend den wohlthaͤtigſten Einfluß aus - uͤbte, ſo wie die Neben-Uebung in der taͤglich all - gemeiner noͤthig werdenden Franzoͤſiſchen Sprache, noch dieſen Lehr-Anſtalten bey, um die hieſige Aka - demie in jeder Ruͤckſicht Fremden, ſo wie Einhei - miſchen, empfehlungswuͤrdig zu machen.

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Wechsel - und Geld-Course.

Hamburg, den 13 October.

    • Amsterdam Bco. 34 $$\frac{5}{16}$$ St.
    • dito Cassa 106½ fl.
    kurze Sicht.
    • dito Bco. 34½ St.
    • dito Cassa 106¾ fl.
    • Bordeaux 26 $$\frac{3}{16}$$ S.
    • Paris 26 $$\frac{3}{16}$$ S.
    • Basel
    2 Monat dato.
    • Genua 83 gr.
    • Livorno 89
    Uso von 3 Monat dato.
  • Breslau in Banco 42 $$\frac{13}{16}$$ ßl. 6 Wochen dato.

per 100 Rthlr. Bco.

  • Copenh. Cour. 1500 Rthlr. kurze Sicht.
  • dito 2 Monat dato.
    • Prager Cour. 212 Rthlr.
    • Wien C. pr. Cassa 212 Rthlr.
    • Augsburg. Cour. 142¾ Rthlr.
    6 Woch. dato.

Geld-Cours.

  • Schlesw. Holst. Spec. 4 besser
    • Hamburger Cour.
    • Dän. gr. Cour. 20½
    • Schillinge
    • Neue Stücke 24½
    • Preussisch Cour. 45 pCt.
    schlechter als Banco.
  • Louis - u. Frd’or. 11 Mk. 11½ ßl. das St. in Bco.
  • Louis - u. Frd’or. 14 Mk. 2 ßl. das St. in Cour.
  • Neue Stücke 31 ßl. pf. das St. in Cour.

Theater beym Gaͤnſemarkt.

  • Mittewochen, den 14ten: Der Briefwechſel durchs Fenſter, Luſtſpiel in 3 Abtheil. Hierauf: Der reiſende Student, Singſp. in 2 Abtheil.
  • Donnerſtag, den 15ten: Die Roſen des Herrn von Malesherbes, Luſtſp. in 1 Aufzuge. Hier - auf zum zweytenmal: Die wandernden Vir - tuoſen, Singſpiel in 2 Abtheil. Die Muſik iſt von Fioravanti.
  • Freytag, den 16ten: Die Jungfrau von Orleans, Trauerſp. in 5 Abtheil.
  • Sonnabend, den 17ten: Die boͤſe Nachbarin, Luſt - ſpiel in 1 Aufzuge. Hierauf: Gluͤck verbeſſert Thorheit, Luſtſpiel in 5 Abtheil.

Einberufung von Conſcribirten.

Jch fordere meinen Sohn Diedrich Johann Kronke hiemit auf, ſich unverzuͤglich bey mir einzufinden und der Conſcription Genuͤge zn leiſten.

Johann Diedrich Kronke, Schul-Lehrer in Vierden, Cantons Zeven.

Jch fordere meinen Sohn Hinrich Meinke hie - mit auf, ſich unverzuͤglich bey mir einzufinden, um der Conſcription Genuͤge zu leiſten.

Luͤt[j]e Meinke, Altheiler in Ruͤſpel, Cantons Zeven.

Jch fordere hiemit meinen abweſenden Sohn Johann Andreas Sturm, aus Hamburg gebuͤrtig, auf, ſich unverzuͤglich bey mir einzufinden, und derConſcription von 1812, deren er unterworfen, ein Genuͤge zu leiſten.

Chriſtian Benjamin Sturm.

Jch fordere meinen Sohn, Johann Cornelius Opfermann, der ſeinen Lehrherrn vor einigen Ta - gen ploͤtzlich verlaſſen, hiedurch auf, ſich aufs bal - digſte hier einzuſtellen, um der Conſcription Ge - nuͤge zu leiſten.

Johann Hermann Opfermann.

Mein Sohn Johann Antony Boͤhl wird hiemit dringend aufgefordert, ſich ungeſaͤumt anzufinden um den Geſetzen der Conſcription ein Genuͤge zu leiſten.

Joachim Andreas Boͤhl.

Am 6ten dieſes ſtarb an den Folgen eines Schlagfluſſes meine gute Frau Maria Catharina, geb. Lindts, im 39ſten Jahre ihres Alters. Die - ſen fuͤr mich und meine beyden Kinder ſo ſchmerz - lichen Verluſt mache ich unſern ſaͤmmtlichen An - verwandten und Freunden, uͤberzeugt von ihrer herzlichen Theilnahme, hiedurch ganz ergebenſt bekannt.

Joſeph Leusmann, Kaufmann.

Meinen Verwandten und Freunden zeige hie - mit die gluͤckliche Entbindung meiner Frau (geb. Schroder) von einer geſunden Tochter ſchul - digſt an.

Paul Aman.

Aechter ganz weißer Art Zucker-Runkelruͤben - Saamen zum Anbau der Zucker-Pflanze fuͤr Zucker-Fabriken.

Mit ſelbſtgezogenem aͤchter in - und auswendig ganz weißer Art Zucker-Runkelruͤben-Saamen kann ich mich auf das beſte empfehlen. Dieſe Art Run - kelruͤben wachſen nicht aus der Erde hervor, ſon - dern es bleiben dieſelben bis an die Krone ganz in der Erde, haben ganz weiße Schaale und durch und durch ganz weißes Fleiſch, ſind bekannter - maßen durch mehrjaͤhrige Verſuche mehrerer Che - miker fuͤr die ergiebigſte und zuckerreichſte Sorte anerkannt, nach deren Reſultaten dieſelben den kryſtalliſirbarſten Zucker enthalten. Da ich ſeit acht Jahren dieſe aͤchte ganz weiße Art Zucker - Runkelruͤben cultivire und auf deren Veredelung jedes Jahr mit vielem Eifer großen Fleiß verwen - det habe, auch ſorgfaͤltig den Saamen dieſer Art alle ſelbſt baue und keinen derſelben zukaufe, ſo giebt dieſes einem jeden hinlaͤngliche Sicherheit, die aͤchteſte ganz weiße zuckerreichſte Sorte von mir zu bekommen, wofuͤr ich auch, und daß ſolche mit keiner andern Sorte vermiſcht iſt, buͤrge und mich auf das ſtaͤrkſte verbindlich mache. Dieſes Jahr habe ich mich beſonders dazu eingerichtet und ſo viele Saamenruͤben ausgepflanzt, daß ich eine große Qua[n]titaͤt Saamen geerndtet habe; ich bin daher im Stande, einen billig maͤßigen zu be - friedigenden Preis zu ſtellen, welchen ich in kur - zem fuͤr jeden werde beſtimmen koͤnnen. Auf fran -[7]kirte Briefe erfolgt baldige Antwort, ſowol wegen des Preiſes, als auch, wenn Beſtellungen eingehen, in welcher Zeit der Saame trocken und gereiniget iſt, daß derſelbe verſchickt werden kann. Sollte einer oder der andere mit aͤchter ganz gelber Art Zucker-Runkelruͤben einen Verſuch machen wollen, oder fuͤr die Zucker-Fabrication anzubauen vor - theilhaft finden, ſo kann ich auch dazu mit ei - nigen hundert Pfund ſelbſtgezogenen aͤchten Saa - men dienen.

Ernſt Chriſtian Conrad Wrede, Handelsgaͤrtner, wohnhaft neben der Petri - Kirche in Braunſchweig.

Aufforderung.

Der Unterzeichnete, als Curator des als vacant erklaͤrten Nachlaſſes der verlebten Catharina Doro - thea Janten, Wittwe von Carſten Wilh. Bartels, fordert hierdurch alle diejenigen, welche Anſpruͤche an gedachtem Nachlaſſe, a[u]s welchem Rechtsgrunde es immer ſey, zu haben vermeynen, auf, ihre des - fallſigen Titres innerhalb vierzehn Tagen laͤng - ſtens bey dem Unterzeichneten einzureichen und ihre Beweisſtuͤcke aufzulegen.

F. J. Zumbach, Notar.

Alle und jede, welche an die dem Claus Hinrich Gercken jetzt zuſtaͤndige, von Harm Freudenberg kaͤuflich erſtandene, zu Rellingen in der Herrſchaft Pinnenberg belegene Beſitzung cum pert., außer den vom Kaͤufer Gercken uͤbernommenen protocol - lirten Capitalien, aus irgend einem rechtlichen Grunde Anſpruͤche und Forderungen zu haben glau - ben, werden hiemit ein - fuͤr allemal bey Strafe der Ausſchließung, des Verluſtes ihrer Rechte und fortwaͤhrenden Stillſchweigens citirt und vorgela - den, ihre desfallſigen. Angaben, unter Vorzeigung der Original-Beweiſe, Zuruͤcklaſſung beglaubter Ab - ſchriften derſelben, und, wenn ſie Auswaͤrtige ſind, unter Beſtellung eines Procuratoris ad Acta, am 11ten December d. J., als am Freytage nach dem 2ten Advent-Sonntage, im hieſigen Concurs-Ge - richt zu beſchaffen.

Levetzau. M. Matthieſſen.

Der Schneider-Geſell Johann Hinrich Tietje, oder Tietjens, ein Sohn des zu Spitzendorf vor Jahren verſtorbenen Johann Tietje, iſt im Fruͤh - jahr dieſes Jahrs bey Hans Hinrich Ladiges zu Hollm in der Herrſchaft Pinnenberg im unverehe - lichten Stande mit Tode abgegangen; da nun deſſen Erben faſt gaͤnzlich unbekannt, ſo werden alle diejenigen, welche an den Nachlaß des gedach - ten Johann Hinrich Tietje, oder Tietjens, aus einem Erbrechte oder ſonſt rechtlichen Grunde An - ſpruͤche und Forderungen zu haben glauben, dem Defuncto verpflichtet ſind oder Pfaͤnder von ihm beſitzen, hiemit ein - fuͤr allemal, bey Strafe der Ausſchließung, der gedoppelten Zahlung, des Ver - luſtes ihrer Rechte und fortwaͤhrenden Stillſchwei - gens, citirt und vorgeladen, ihre desfallſigen An - gaben, unter Vorzeigung der Original-Beweiſe, Zuruͤcklaſſung beglaubter Abſchriften derſelben, und, wenn ſie Auswaͤrtige ſind, unter Beſtellung einesProcuratoris ad Acta, am 11ten December d. J., als am Freytage nach dem 2ten Advent-Sonntage, im hieſigen Con[c]urs-Gerichte zu beſchaffen und demnaͤchſt weiteres rechtliches Verfahren zu ge - waͤrtigen.

Levetzau. M. Matthieſſen.

Bey Fr. Perthes in Hamburg iſt zu haben: Magazin fuͤr das Civil - und Criminal-Recht des Kayſerreichs Frankreich. Erſtes Heft. 8.

Die lange gewuͤnſchte Erſcheinung dieſes erſten Hefts erfuͤllt die Erwartung der Billigdenkenden; denn ſchon dieſes Heft leiſtes faſt Alles, was die Ankuͤndigung hoffen ließ, und was das Vorwort dieſes Hefts wieder kraͤftig ausſpricht. Mehr als der dritte Theil deſſelben giebt uns

I. Rechtsf[]lle, die vor dem Kayſerl. Gerichts - hofe zu Hamburg entſchieden ſind; Franzoͤſiſch und Deutſch. Die Practiker der Hanſeatiſchen Depar - tements, deren Scharfſinn ſich voritzt hauptſaͤchlich bey dem Uebergang vom alten zum neuen Rechte in der tranſitoriſchen Jurisprudenz uͤben muß, wer - den ſich freuen, daß die entſchiedenen Faͤlle gerade ſolche Jurisprudenz zum Gegenſtande haben. Wich - tig ſind

II. die, zu ſchnellerer Ueberſicht, nach Materien von v. Halem gedraͤngt zuſammengeſtellten Rechts - Erklaͤrungen aus neuern Urtheilsſpruͤchen des Caſſa - tionshofes und der Gerichtshoͤfe. Die Fortſetzung dieſer Sammlung iſt ſehr zu wuͤnſchen. Unter der

III. Rubrik der Abhandlungen verdient die erſte uͤber die Organiſation, die Verrichtungen und das Verfahren des Caſſationshofes, mit Anmerkungen des General-Advocaten Spangenberg, um ſo mehr alle Aufmerkſamkeit, da die zahlreichen Commen - tare und Handbuͤcher uͤber den Franzoͤſiſchen Pro - zeß ſehr unvollſtaͤndige Nachrichten daruͤber geben. Auch die folgenden Abhandlungen aus dem Civil - und Criminal-Recht (Arbeiten der Kayſerl. Raͤthe Stakemann, von Zeſterfleth, Ebert) ſind ſichtbar aus Beurtheilung vorgekommener Faͤlle hervorge - gangen, und daher um ſo belehrender.

Die aus IV. von dem K. Rathe v. Halem gege - bene Litteratur neuerer Werke iſt, was ſie ſeyn ſoll, eine gedraͤngte Darſtellung des Jnhalts, mit Auszeichnung einzelner hervorſtechender Gedanken, welche die Werke enthalten.

Auch V. Rechtsfragen enthaͤlt dieſes Heft, ſo wie VI. Miniſterielle Entſcheidungen uͤber den Sinn des Worts Commerçant im 69ſten Art. des Handels-Geſetzbuchs, und uͤber die Verſiegelung, wenn unter den Erben Minderjaͤhrige ſich befinden.

Jn dem VII. Artikel: Miscelle[n], verdienen v. Halem’s Worte uͤber das Formularweſen und uͤber die unnoͤthige Vermiſchung des Deutſchen mit fremden Worten, die groͤßte Beherzigung. Es iſt[8]ein guter Gedanke, neue Verde[u]tſchungen der Ge - ſetzbuͤcher zur Pruͤfung in einer periodiſchen Schrift auszuſtellen. Doch ließe ſich fragen, ob nicht das Geſetzbuch fuͤr den buͤrgerlichen Prozeß vorzuͤglich eine neu verdeutſchende Pruͤfung erfordere?

Hoͤchſt wuͤnſchenswerth iſt die lebhafte Fortſetzung dieſer Schrift; und gewiß werden alle Geſchaͤfts - maͤnner der drey Hanſeatiſchen Departements gern dazu beytragen, daß der Verleger, welcher dem Jnnern angemeſſen auch das Aeußere hat erſcheinen laſſen, dazu in Stand geſetzt werde. Einige Druck - fehler ſind eingeſchlichen; z. E. Seite 87 Z. 7. leſe man ſtatt: uͤber die Appellations-Jnſtanz, uͤber die Koſten der A. J. Seite 244 Z. 6. v. u. ſtatt: der, lies den.

Naturgeſchichte.

Lathams, J., allgemeine Ueberſicht der Voͤgel, aus dem Engliſchen, mit Anmerkungen und Zuſaͤtzen von Dr. Bechſtein. 4. Bd. 1. 2r Theil, nebſt einem Band-Regiſter uͤber das ganze Werk von Dr. von Rademacher. Mit 44 Kupfertafeln. gr. 4. 15 Rthlr. 12 Gr.

Dieſes einzige vollſtaͤndige Werk uͤber die Orni - thologie iſt nunmehr geſchloſſen; das ganze Werk in 4 Baͤnden, oder 8 Theilen, nebſt Regiſter und 175 ausgemalten Kupfern, koſtet 41 Rthlr., und iſt durch gute Buchhandlungen zu bekommen, bey

Schneider und Weigel in Nuͤrnberg.

Buͤcher - und Mobilien-Auction.

Am 19ten October d. J., Vormittags um 10 Uhr, wird, in Folge einer von de[ m] Herrn Praͤſidenten des Tribunals erſter Jnſtanz am 10ten Auguſt a. c. ertheilten Ordonnanz, durch den Kayſerl. Notaire Molt, zu Hamburg im Cremon No. 56, in oͤffent - licher Auction gegen baare Bezahlung an den Meiſt - bietenden verkauft werden: Eine zu dem Benefi - ciar-Nachlaß des verſtorbenen Hrn. C. W. A. Ku - nad, Dr., gehoͤrende Sammlung, groͤßtentheils ge - bundener, gut conſervirter Buͤcher aus mehrern Faͤchern der Wiſſenſchaften, unter denen ſich vor - zuͤglich die Werke der neueſten und beliebteſten Romanen - und Schauſpieldichter auszeichnen. Und am 20ſten October, Vormittags 10 Uhr, die zu dieſer Verlaſſenſchaft gehoͤrigen Mobilien, als: Tiſche, Stuͤhle, Bett und Bettſtelle, eine maha - gony Commode, mehrere Mannskleider und ſon - ſtige Sachen; ſo wie auch auf Requiſition des Hrn. Aug. Jac. Sievert, Particulier hieſelbſt, ſehr ſchoͤne loſe und unter Rahmen und Glas gefaßte Gemaͤlde und Kupferſtiche.

Auftraͤge zur Buͤcher-Auction nehmen die be - kannten Herren Commißionairs an, und iſt der Catalog bey dieſen Herren, ſo wie im Geſchaͤfts - zimmer des Notairs, Neuenburg No. 134, gratis abzufordern.

Buͤcher-Auction.

Am 1ſten April 1813 und folgenden Tagen ſoll zu Hannover die, eine große Anzahl koſtbarer und ſeltener Werke aus allen Faͤchern der Literatur und Kunſt enthaltende, gegen 9000 Baͤnde betra - gende Bibliothek weyl. Feldmarſchalls, Grafen von Wallmoden-Gimborn, nebſt einem gleichfalls durch theure und ſeltene beſonders theologiſch-philologiſcheBuͤcher ausgezeichneten Anhange, meiſtbietend oͤffent - lich verkauft werden. Der mit beygefuͤgten Prei - ſen und bibliographiſchen Notizen ſyſtematiſch-kri - tiſch ausgearbeitete Catalog iſt verſandt und zu haben in Baſel bey Thurneiſen, Berlin bey Ame - lang, Bern bey Walthard, Breslau bey Barth jun., Bruͤnn bey Gaſtl, Darmſtadt bey Leske, Dresden bey Arnold, Erlangen bey Palm, Erfurt bey Kai - ſer, Frankfurt am Mayn bey Herrmann, Gießen bey Heyer, Gotha bey Ettinger, Halle bey Hem - merde, Heidelberg bey Mohr und Zimmer, Jena Acad. Buchhandl., Koͤnigsberg bey Unzer, Mar - burg Acad. Buchhandlung, Nuͤrnberg bey Campe, Peſth bey Kilian, Poſen bey Kuͤhn, Prag bey Calve, Roſtock bey Stiller, Tuͤbingen bey Cotta, Weimar bey Hofmann, Wien bey Cameſina, Wittenberg bey Zimmermann, Wuͤrzburg bey Stahel, Zuͤrich bey Orell. Eine Anzahl Exemplare iſt uͤberdem zur Befriedigung jeder Nachfrage in den Buchhand - lungen der Herren Gebruͤder Hahn zu Hannover und Leipzig niedergelegt. Auftraͤge uͤbernehmen die Buͤcher-Commißionairs, Hr. Freudenthal, Gſel - lius, Ehlers und Cruſe, zu Hannover, bey denen gleichfalls der Catalog zu bekommen iſt. Alle Buͤ - cherfreunde werden eingeladen, die nur ſelten ſich darbietende Gelegenheit zur Acquiſition ſolcher Werke, als hier vorkommen, nicht unbeachtet zu laſſen.

Das Rathhaus-Gericht zu Gefle laͤßt hiedurch die Glaͤubiger des Rathmannes und Großirers Peter Lundin, wie auch die ſeines verſtorbenen Sohns, des Kaufmanns Peter Johann Lundin, be - rufen, vor bemeldetem Gerichte am dreyßigſten De - cember dieſes Jahrs, vor 12 Uhr Mittags, zu er - ſcheinen und ihre Forderungen und Rechte geſetz - lich wahrzunehmen, auch uͤber das Geſuch des Rathmanns Lundin und den der Frau Wittwe ſei - nes gedachten Herrn Sohns, Chriſtina Segerberg, uͤber die Ceßion ihrer Guͤter, und endlich uͤber das Geſuch der letztern, in eigenem Namen und Na - mens ihres jungen Sohns, die Nicht-Antretung der Erbſchaft und die Trennung der unbedeutenden Guͤter betreffend, ſich zu erklaͤren, und unter ſich uͤber das beſſere Recht zu den abgetretenen Guͤtern zu vereinbaren.

Solches wird zum erſtenmale bekannt gemacht.
Gefle, im Jahre 1812.

Die vom Moskowiſchen Adelichen Vormund - ſchafts-Gerichte beſtaͤtigten Vormuͤnder der Nach - laſſenſchaft und Kinder des in Frankreich verſtor - benen Capitains Nicolay von Luginin laden hie - mit alle diejenigen, denen obgemeldeter Capitain von Luginin fuͤr ſeine eigene Perſon ſowol, als durch Buͤrgſchaft ſchuldig verblieben ſeyn koͤnnte, ein, ſich mit ihren in Haͤnden habenden Schuld - ſcheinen und Documenten binnen dem nach den Geſetzen anberaumten Termine bey dem Herrn wuͤrklichen Staats-Rath und Ritter Joachim von Koͤnecke, wohnhaft im Moskowiſchen Fuͤndlings - Hauſe, zu melden. Alle abſeiten des verſtorbenen Nicolay von Luginin gegebene Vollmachten werden hiemit foͤrmlich annullirt.

Supplement
[9]
Supplément au No. 165 du Journal du Département des Bouches de l’Elbe, oder: Beylage zum Hamburgiſchen unpartheyiſchen Correſpondenten.
Am Mittewochen, den 14 October 1812.

Litterariſche Anzeige.

Der Mangel eines completen Regiſters zu den Hanſeatiſchen Buͤlletins hat mich veranlaßt, ſofort bey meinem jetzigen Dienſt-Antritt:

  • 1) ein vollſtaͤndiges alphabetiſches Sachregi - ſter aus den 17 Hanſeatiſchen Geſetz-Buͤlle - tins, verbunden mit einem chronologiſchen Verzeichniß aller darin befindlichen Verord - nungen,

worin man geſammte zu einem Gegenſtande ge - hoͤrige Materien neben einander geſtellet findet, zu bearbeiten. Auch liegt ſeit der naͤmlichen Zeit

  • 2) eine kurze tabellariſche Ueberſicht aller den Civil-Stands-Beamten in Frankreich obliegen - den Verrichtungen mit jedesmaliger Bezie - hung auf die Geſetz-Stellen

zum Gebrauch in meinem Buͤreau offen;

Endlich fehlet es zwar nicht an ſchaͤtzbaren An - leitungen uͤber die Dienſt-Obliegenheiten der Mai - ren im Allgemeinen; da mir aber das Franzoͤſiſche Manuel des Maires etc. wegen ſeiner Reichhal - tigkeit und Umfaſſenheit aller ins adminiſtrative Fach ſchlagenden Materien, das belehrendſte, und im Gebrauch das bequemſte, auch in der Anwen - dung das ſicherſte geweſen iſt, indem ſich jede Materie mit geſetzlichen Citaten belegt findet, und gewoͤhnlich der Text ſelbſt redet, ſo habe ich unter dem Titel

  • 3) Vollſtaͤndiges alphabetiſches Handbuch der Mairen und ihrer Adjuncten, nuͤtzlich auch fuͤr Municipal-Raͤthe und Policey-Com - miſſaire, in 2 Theilen,

jenes im vorigen Jahre zum fuͤnftenmahl in Frank - reich aufgelegte, und mit bed[ e] utenden Zuſaͤtzen vermehrte Manuel nach dem Deutſchen Alphabet umzuarbeiten angefangen, und hoffe im December den erſten Theil beendiget zu haben.

Jch bin dem Wunſche meiner Freunde gemaͤß bereit, dieſe Manuſcripte dem Druck zu uͤbergeben, wenn ich nur einigermaßen wegen der damit ver - bundenen Koſten entſchaͤdiget werde. Jch waͤhle daher den Weg der Subſcription, und erſuche die - jenigen, denen an dem Beſitze eines der obigenWerke gelegen iſt, ihre Beſtellungen in frankirten Briefen bey mir bald moͤglichſt eingehen zu laſſen, wobey ich bemerke, daß ich hoffe, das Regiſter zu 2 Franks den Civil-Beamten zu 1 Frank, den Con - ſcribirten zu 2 Franks und den Mairen in 2 Baͤn - den fuͤr 12 Franks liefern zu koͤnnen, auch uͤbri - gens correctes und reines Deutſch ein Haupt-Au - genmerk meiner Arbeiten iſt.

G. L. W. von Reiche, Maire.

Demnach in Gemäßheit des unterm 5ten Auguſt ai. curr. erlaſſenen allerhöchſten Auftragsbefehls zu dem Ver - mögen des Beſitzers des Rittergutes Schievitz, Herrn Jo - hann Gottfried Claußens, bey dem Königl. Sächſiſchen Kreis-Amte Meißen der Concursproceß eröffnet, auch nach Vorſchrift des Banqueroutier-Mandats vom 20ſten De - cember 1766 und der Erl. Prozeß-Ordnung ad Tit. 41 das Erforderliche veranſtaltet; im fernern Verfolg dieſes Ver - fahrens auch alle bekannte und unbekannte Gläubiger be - meldeten Herrn Claußens, oder wer ſonſt Anſprüche aus irgend einem Rechtsgrunde an denſelben zu haben ver - meynet, auf nächſtkünftigen

11ten März 1813

zur Anzeige und Beſcheinigung ihrer Anforderungen, bey Verluſt des Ausſchluſſes und reſp. bey Verluſt der Rechts - wohlthat der Wiedereinſetzung in den vorigen Stand, edictaliter und peremtorie vorgeladen, hierauf aber der

7te April 1813

zur Verkündigung eines Präcluſiv-Beſcheids, und ſodann

der 20ſte May 1813

zur Pflegung der Güte und Treffung eines Accords, unter der Verwarnung, daß diejenigen, die außen bleiben, oder zwar erſcheinen, ſich aber, ob ſie den vorſeyenden Vergleich annehmen wollen? gar nicht oder nicht deutlich genug erklären, für Einwilligende geachtet werden ſollen, anbe - raumet; in Entſtehung eines Vergleichs hingegen der

26ſte May 1813

zur Jnrotulation und Verſendung der Acten nach recht - lichem Erkenntniſſe,[u]nd endlich der

26ſte Auguſt 1813

zur Publication des Claßifications-Urte[ il] s, welches außer - dem für verkündiget geachtet werden ſoll, präfigiret, die auswärtigen Creditoren aber beſchieden werden, gerichtlich gerechtfertigte und ad tranſigendum gnüglich inſtruirte Gevollmächtigte zur Annahme der an ſie zu erlaſſenden, in der Sache nothwendigen Ladungen allhier im Orte zu beſtellen.

Als wird ſolches, und daß die Edictal-Ladung außer[10]dem Foro commiſſienis univerſale unter den Rathhäu - ſern zu Leipzig, Dresden, Wittenberg, Freyberg, Alten - burg, Meißen, ſo wie bey den Claußiſchen Sequeſtrations - Gerichten zu Schieritz öffentlich aushängen, auch hierdurch zur allgemeinen Kenntniß gebracht.

F. C. Hammer.

Edictal-Ladung.

Von dem Königl. Sächſ. Juſtiz-Amte Zwickau ſind der im Jahre 1789 in die Fremde gegangene Barbiergeſelle Gottlob Ehrenfried Grimmel, aus Werdau, des vormali - gen daſigen Wundarztes, weyl. Ehrn Friedrich Grimmel, und weyl. Marien Madalenen Grimmelin, gebohrnen Schickin, eheleiblicher Sohn, von deſſen Leben und Auf - enthalt, nach den letzten von ihm aus Bayreuth erlaſſe - nen Briefen, nach Verſicherung ſeines lebenden Stiefva - ters, ſeit dem März 1790 weiter keine Nachricht eingegan - gen iſt, oder falls derſelbe nicht mehr am Leben ſeyn ſollte, alle diejenigen, welche aus irgend einem Grunde auf deſſen in 153 Thalern 1 Gr. Pf. beſtehenden Nachlaß ein Recht zu haben glauben, auf Jnſtanz der leiblichen Schweſter des letztern, auf

den 10ten März 1813

vor beſagtem Amte zu erſcheinen, inſonderheit der ver - ſchollene Grimmel zur Uebernahme ſeines Vermögens, die übrigen Jntereſſenten aber zu An - und Beybringung ihrer Anſprüche, mittelſt der beym Amte Zwickau, an den Rath - häuſern zu Dresden, Leipzig, Plauen, und bey den Civil - Tribunälen in Hamburg und Bayreuth angeſchlagenen Edictalien, und unter den in den beyden Mandaten, d. d. den 13ten November 1779, die Verkürzung der curae ab - ſentium und die Edictal-Citation in Civilſachen außer - halb des concurſus creditorum betreffend, enthaltenen Verwarnungen vorgeladen; auch iſt

der 28ſte April d. ai.

zum Termin zu Publication eines Urtheils oder gerichtlichen Beſcheides feſtgeſetzt worden, welches, und daß die aus - wärtigen Jntereſſenten genugſam legitimirte Gevollmäch - tigte zu Annehmung der in der Sache künftig ergehenden Ladungen in loco judicii zu beſtellen haben, hierdurch bekannt gemacht wird.

Frederik der Sechste, von Gottes Gnaden - nig zu Dännemark, Norwegen, der Wenden und Gothen, Herzog zu Schleswig, Holſtein, Stormarn und der Dithmarſchen, wie auch zu Oldenburg ꝛc.

Es haben der Herr Geheime-Conferenzrath und Ver -[b]itter des adelichen Kloſters zu Jtzehoe, Joſias von Qua - len, Großkreuz ꝛc., und der Kammerherr und Probſt des adlichen Kloſters zu Preetz, Cai Wilhelm von Ahlefeldt, als verordnete Executoren des von dem verſtorbenen Land - ſaſſen Hinrich Rumohr auf Bothkamp hinterlaſſenen Te - ſtaments, allerunterthänigſt angezeigt, daß in dem von dem Defuncto f. d. Bothkamp den 3ten October 1799 er - richteten Teſtament, in Anſehung des adlichen Guts Both - kamp, mit den dazu gehökigen Meyerhöfen und übrigen Pectinentien, eine fideicommiſſariſche Diſpoſition, benebſt der Succeßions-Ordnung, in dieſem Gute verordnet wor - den, und des Endes Nachſtehendes verſügt ſey:

§. 1.

Zu meinem alleinigen und Univerſal-Erben ſetze und ernenne ich hiemit meiner Schweſter, der verwittweten Frau Kammerherrin Chriſtina Friedericka von Bülow, ge - bohrnen Rumohr, zweyten Sohn, Detlev Hinrich von Bülow.

§. 2.

Sollte mein inſtituirter Univerſal-Erbe vor mir mit Tode abgehen, ſo ſubſtituire ich demſelben in dieſer Eigen - ſchaft ſeinen zunächſt auf ihn folgenden Bruder Cai So -[ph]us von Bülow; ſollte dieſen ein gleiches Schickſal tref - fen, ſo ernenne ich an deſſen Stelle ſeinen jüngſten Bruder Friederich von Bülow als ſubſtituirten Univerſal-Erben; und dieſem ſubſtituire ich endlich, wenn er ebenfalls vor mir verſtorben ſeyn möchte, ſeinen älteſten Bruder Johann Rudolph von Bülow. Sollten, wider alles Verhoffendieſe eben genannten Vier Gebrüder von Bülow vor mir Todes verfahren, ſo wird denenſelben der jetzt lebende ein - zige Sohn meiner älteſten Schweſter Dorothea Jda Jo - hanna, verwittweten Frau Kammerherrin von Meurer, gebohrnen Rumohr, Carl von Meurer, hiedurch in dieſer Qualität ſubſtituiret.

§. 3.

Mein adeliches Gut Bothkamp, zuſammt den dazu gehörigen Meyerhöfen Schoenhagen, Bockhorſt und Alten - rade, und allen übrigen dazu gehörigen Pertinentien, be - lege ich mit einem perpetuo fideicommiſſo familiae, ſolchergeſtalt, daß mein vorhin genannter und inſtituirter Univerſal-Erbe, oder deſſen Subſtitutus und ſeine eheliche Nachkommenſchaft, dieſe Grundſtücke, nach der ſofort wei - ter feſtzuſetzenden näheren Vorſchrift, in Anſehung des Genuſſes derſelben und demnächſt vorzuſchreibender Suc - ceßions-Ordnung, als ein Fideicommiß beſitzen, nutzen und gebrauchen ſoll.

§. 4.

Ein jeder der ſo eben benannten erſten Beſitzer dieſes Fideicommiſſi, und die folgenden, wenn die Ordnung der Erbfolge einen jeden dazu rufet, ſoll die zu dieſem Gute Bothkamp gehörigen Grundſtücke weder zu verkaufen, noch zu verpfänden, oder ſonſten ganz oder zum Theil zu ver - äußern und ſelbige mit einigen Schulden weiter zu be - ſchweren, als ich ſolches im Verlauf dieſes zu beſtimmen für gut finden werde, ermächtiget ſeyn. Er iſt ferner nicht befugt, von dem vorhandenen Holze, der Regel nach, mehr als zum Gebrauch und zur Unterhaltung der Ge - bäude und anderer Gutsbedürfniſſe erforderlich iſt, auf dem Gute fällen zu laſſen, Glashütten darauf anzulegen, Ziegeleyen weiter als zur Nothdurſt des Gutes zu halten, die bey meinem Leben und zur Zeit meines Ablebens ge - ſchloſſenen Waldungen und ſonſtigen Zuſchläge mit keiner Art des Viehes beweiden und die Befriedigungen und Einhegungen verfallen, vielmehr ſelbſt in beſtmöglichſtem Stande unterhalten zu laſſen, noch weniger überhaupt zum Nachtheil des Fideicommiſſi etwas vorzunehmen er - mächtiget, ſondern, da ich dieſes alles ausdrücklich unter - ſage und hiedurch verbiete, ſich bloß mit der haushälteri - ſchen Abnutzung und den Einkünften der fideicommiſſari - ſchen Stücke zu begnügen ſchuldig. Eben dieſes uſufruc - tuariſchen Beſitzes des Gutes Bothkamp wegen, iſt es dem jedesmaligen Beſitzer deſſelben erlaubt, die dazu gehörigen Höfe ganz oder zum Theil auf Zeitpacht zu verhäuren, wenn er ſie nicht ſelbſt adminiſtriren laſſen will, der von ihm darüber zu errichtende Pacht-Contcact aber muß, ſo wie die zur Verhäurung zu entwerfenden Conditionen, mit Zuſtimmung der Herren Executoren errichtet werden, und dieſe werden dabey vorzüglich zu ſehen erſuchet, daß dieſe Zeitpachten ſo eingerichtet werden, daß die Subſtanz der Güter dabey nicht eine Deteriorirung erleide. Sollte in - deſſen ein Fideicommiß-Beſitzer dieſen Vorſchriften in ei - nem oder andern Stücke vorſetzlich entgegen handeln, ſo ſoll er dadurch, eo ipſo, für ſeine Perſon des Rechts und des Genuſſes an und in dem Fideicommiſſo verluſtig ſeyn, daſſelbe ſeinem Nachfolger Jnhalts der weiter un - ten zu beſtimmenden Erbfolge anheim fallen, und er gleich - wol gehalten bleiben, den dem Fideicommiß durch ſeinen perverſen Gebrauch erweislich zugefügten Schaden zu erſetzen.

So ſtehet es anbey einem jeden Beſitzer des Fidei - commiß-Gutes Vothkamp frey, ſeiner Gemahlin und künf - tigen Wittwe ſtatt der ſonſt gebräuchlichen Wiederfalls - Gelder bis auf Funfzehnhundert Rthlr. jährlichen Witt - wen-Gehalts aus dem Gute zu verſichern. Jnzwiſchen geht dieſes Wittwen-Gehalt nur auf eine Wittwe; träſe ſich daher der Fall, daß zwey Wittwen da wären, ſo muß die jüngere den Abgang der ältern, es ſey durch Tod oder Wiederverheyrathung, erwarten; überhaupt aber höret aller Wittwen-Gehalt aus dem Fideicommiſſo bey der Wie - derverheyrathung auf.

Keiner derjenigen, der zum Beſitz und Genuß dieſes Fideicommiſſes gelanget, es ſey der erſt ernannte inſtituirte Univerſal-Erbe oder die künftigen Jnhaber nach ihm,[11]ſoll zu irgend einiger Caution und Edirung eines Jnven - tarii ſchuldig ſeyn, ſondern ein jeder derſelben das auf ihn kommende Fideicommiß von allem dieſen frey antre - ten. Dahingegen aber habe ich zu den verordneten Herren Executoribus das Zutrauen, ſie werden, vermöge ihres Amtes, ſich angelegen ſeyn laſſen, dahin vor allen Dingen mit zu ſehen, daß nach dieſer von mir in dieſem Teſta - ment gegebenen Vorſchrift die Güter von dem jedesma - ligen herede fiduciario beſeſſen und genutzet, und die Subſtanz derſelben darnach conſerviret und erhalten werde. Zu dieſem Ende bitte und erſuche ich dieſelben, daß ſie die Güte haben, ſich zu Zeiten, und wenn ſie es n[ö]thig ſinden, wenigſtens ein Jahr ums andere, zu einer ihnen bequemen Zeit in Perſon nach den Fideicommiß-Gütern zu begeben, als zu welchen Reiſen ihnen auf ihr Verlan - gen ſogleich die erforderlichen Vorſpannpferde von den Höfen, wohin ſie ſolche verlangen, gefandt werden ſollen, daſelbſt, allenfalls in Gegenwart und mit Zuziehung der Gutsbedienten, als welche ihnen von allem Nachricht zu geben haben, die Haushaltung auf den Feldern, beſonders die hauswirthſchaftliche Benutzung und Conſervation der Hölzung, meiner Vorſchrift gemäß, ſo wie in Hinſicht der Unterhaltung der Gebäude auf den Höfen, in den Dör - fern und den Feldern alles nachſehen, in wie ferne ſich ſolches alles im haushälteriſchen Stande befindet, und wenn ſie Mängel in dieſem oder jenem Stücke nach ihrer Einſicht bemerken, ſolche dem jedesmaligen Beſitzer des Fideicommiſſes zur Abſtellung und Verbeſſerung anzeigen; in wie ferne ſich dann dieſe Mängel bey der nächſtfolgen - den Beſichtigung nicht hergeſtellet finden möchten, haben ſie darüber höheren Orts Anzeige zu thun, damit durch richterliche Hülfe dieſen Mängeln abgeholfen werde und ſelbigen für die Zukunft Einhalt geſchehe, auch nach be - fundenen Umſtänden die oben beſchriebene poena priva - toria gegen den Beſitzer eintreten könne.

§. 5.

Jndem ich in dem Anfang des vorhergehenden §. die Art und Weiſe, wie der Regel nach der Beſitz und Genuß des von mir conſtituirten Fideicommiſſi, mit welchem ich das Gut Bothkamp und die dazu gehörigen Höfe und ſonſtigen Stücke beleget habe, von dem jedesmaligen he - rede fiduciario eingerichtet und geführet werden ſoll, feſtgeſetzet habe; ſo finde ich mich doch bewogen, dar - über in gewiſſen Fällen eine Ausnahme von dieſer Regel eintreten zu laſſen, und zu dieſem Behuf Nachſtehendes feſtzuſetzen. So viel demnach

1) den unterſagten Verkauf und die Veräußerung der zu dem adelichen Gute Bothkamp gehörigen Stücke betrifft, bleibt es mein unveränderter Wille, daß die größeren Stücke deſſelben, nämlich der Haupthof Bothkamp und die dabey von jeher gelegt geweſenen Höfe: Schoenhagen, Bockhorſt und Altenrade, auch, wenn ich mich entſchließen ſollte, außer dieſen annoch einen oder mehrere neue Meyer - höfe anzulegen, ſo lange es immer möglich, in ihrem Gan - zen und unzerſtückelt erhalten und conſerviret bleiben, auch überall nichts davon als eigenthümlich veräußert werde, mithin von dem jedesmaligen Fideicommiß-Beſitzer vorbe - ſchriebenermaßen durch Zeitverpachtungen genutzet werden, wenn auch eine ſolche Nutznießung mit einem mäßigen Ab - gang in den Revenuen verbunden ſeyn mögte. Sollten ſich indeſſen bey der allgemeinen Verfaſſung der Güter hier in Holſtein ſolche Umſtände ereignen, wo nach dem Wunſche des Beſitzers und mit Gutbefinden der Herren Executoren die Parcelirung eines oder mehrerer dieſer mit dem Fidei - commiß belegten Güter und Höfe unumgänglich nothwen - dig oder auffallend und augenſcheinlich nützlich würde; ſo autoriſire ich die Herren Executoren hiedurch zu einer ſolchen Einrichtung; nur bitte ich, in dieſem Falle belie - bigſt dafür zu ſorgen, daß eine ſolche Veränderung nicht zum etwanigen bloßen Vortheil des Fiduciarii durchgeſetzet, verfolglich, wenn es ſeyn kann, nichts an Kaufgeld ſogleich baar ausgezahlet, dagegen aber der jährliche Canon er - höhet werde, damit überhaupt bey ſolcher Gelegenheit die Subſtanz der Güter nicht leide; in allem aber bey dieſem Gefchäfte dahin Sorge zu tragen und es zu veranſtalten, daß der jedesmalige Fideicommiß-Beſitzer ſich mit der haus - hälteriſchen Abnutzung begnügen laſſe. Auf gleiche Weiſe ſoll es auch mit der Ueberlaſſung der Hufen in den Dör -fern, oder der kleinen Häuerſtellen im Gute gehalten wer - den, bey welchen auch nur die Ausnahme des ſichtbaren Nutzens, die Veräußerung zum Eigenthum auf Erbpacht anrathen läßt, ſonſt aber die Zeitpacht als das Gewöhn - liche eintritt; da dann in dem Falle der eigenthümlichen Ueberlaſſung die Herren Executoren dahin zu ſehen ange - wendet ſeyn werden, daß entweder gar kein Kaufgeld und deſto höherer Canon, oder im Fall Kaufgeld bezahlet wird, dieſes gleich, wie es bey Parcelirungen der größeren Höſe ebenfalls geſchehen ſoll, wenn es bey deren Zerſtückelung ſtipuliret und bezahlet wird, mit zum Abtrag der Schul - den, die auf die Subſtanz des Gutes haften, ſie mögen annoch von mir herrühren, oder nach der ſogleich folgen - genden Beſtimmung von dem Beſitzer des Fideicommiſſes contrahiret ſeyn, verwendet werden.

2) Auf gleiche Weiſe will ich, da ich die Erhaltung und Erſparung des Holzes als das größte Kleinod für die Er - haltung des Guthes Bothkamp anſehe, und darauf beſon - ders Rückſicht zu nehmen verordne, den, der Regel nach, unterſagt bleibenden Holz-Verkauf in demſelben cum per - tinentiis dahin modificiren, daß auf den Fall, da der zeitige Beſitzer des Gutes durch unvorhergeſehene und durch ſeine Schuld nicht erwachſene Unglücksfälle, ſie be - ſtehen ſonſt worin ſie wollen, einen ſolchen Abgang in den Revenuen erlitten, daß er bis gegen die Hälfte der ſonſt in guten Jahren gewöhnlichen Einnahme eingebüßt, oder der Beſitzer in die Nothwendigkeit verſetzet werden möchte, bey außerordentlichen Vorfällen, nach der ſofort weiter zu beſtimmenden Vorſchrift, Gelder aufzunehmen, es erlaubt ſeyn ſolle, einiges Holz zu ſchlagen und zu ver - kaufen, um dadurch dem Beſitzer ſeinen Schaden in etwas zu erſetzen, oder die aufgenommenen Schulden zu tilgen. Zu dieſem Holz-Verkauf ſoll aber nur dasjenige genommen werden, was auf den Guts - und Dorfsfeldern als Sprang - holz ſtehet, damit dieſe zugleich von dem Holze gereiniget werden. Zur Zeit und in einem Jahre muß aber nicht mehr als für etwa Zwey Tauſend Rthlr. gefället und ver - kauft werden. Doch erweitere ich dieſe Erlaubniß für mei - nen erſten inſtituirten Univerſal-Erben Detlev Hinrich von Bülow dahin, daß es ihm, in ſo ferne von dem Sprang - Holze hinreichender Vorrath vorhanden, mit Gutbeſinden der Herren Executoren freyſtehe, von dieſem Holze jährlich bis zur Summe von Fünf Tauſend Rthlrn. zu ſchlagen, und er dieſes Geld nicht zu Abtragung von Schulden, ſon - dern zu ſeinem und ſeiner Kinder und Familien Beſten anzuwenden freye Macht haben könne. Wobey ich denn zugleich wünſche, daß, in ſo ferne bey der von mir derma - len vorzunehmenden Einrichtung in dem Gute, der Plan, ſo wie ich ſelbigen auch in Anſehung der Aufräumung des Sprangholzes angefangen, bey meinem Ableben noch nicht vollführt ſeyn möge, darin, ſo viel möglich, nach der An - lage, die ich darüber gemacht, mit verfahren werde. Die geſchloſſenen Waldungen und Zuſchläge bleiben aber von der Fällung zum Verkauf ganz ausgeſchloſſen, als welche forſtmäßig cultiviret, mit guter Einfriedigung verſehen bleiben, und nur daraus das abgängige und auf Schaden ſtehende Holz herausgenommen und zu den Bedürfniſſen des Gutes verwendet wird. Das Weichholz wird gehö - rig ausgehauen, und der Abfall zum Nutzen des Gutes verwendet, auch die Cultur und Anpflanzung deſſelben auf alle Weiſe befördert. Alles dieſes bleibet der Direction der Herren Executoren, mit welchen der Beſitzer darüber zuſammen treten muß, untergeordnet, die nach ihren be - ſten Einſichten und Ermeſſen darüber das Nähere, in Ein - richtung der Art des Verkaufs und der Stellen, wo ſelbi - ges weggenommen werden ſoll, mit dem Beſitzer des Gutes auszumitteln belieben werden. Sollten indeſſen die Ein - richtungen des Guts eine Holzfällung außer den vorange - zeigten Fällen nöthig machen, ſo kann ſelbige auch vorge - genommen werden, das daraus gelöſete Geld aber muß entweder zur Abführung von Schulden angewendet, oder wenn dieſe nicht da ſind, zur ſichern Belegung ausgeſetzet werden. Jn dieſem Falle genießt der Beſitzer des Gutes die Zinſen davon ſo lange, bis der Hauptſtuhl bey ſich er - eignenden Vorfällen zur verſchriebenen Beſtimmung ver - wendet werden kann.

3) Auch die Beſchwerung der Subſtanz des Guts Both - kamp mit darauf zu contrahirenden Schulden bleibt dem[12]jedesmaligen Beſitzer, der Regel nach, in alle Wege unter - ſaget. Zu mehrerer Erleichterung deſſen aber will ich in - deſſen dieſes als eine Ausnahme von der Regel verfügt haben, daß es dem Fideicommiß-Beſitzer freyſtehen ſolle, unter gewiſſen Umſtänden darauf Schulden zu contrahiren, und die Subſtanz bis auf eine Summe von Einhundert und Funfzig Tauſend Rthlr., aber nicht weiter, damit zu beſchweren. Zu den dazu qualiſicirten Fällen rechne ich theils den in Numero praecedenti angezeigten Fall, wenn der Beſitzer durch unvorhergeſehene, durch ſeine Schuld nicht erwachſene Unglücksfälle, in den gewöhnlichen Er - trag der Revenuen des Guts geſchmälert worden, und dazu die vorgeſchriebene Summe aus dem Holz-Verkauf nicht zureichend erfunden werden ſollte, theils auch den Umſtand, wenn außerordentlich bevorſtehende Ausgaben, als der nothwendige Bau eines anſehnlichen Haupt-Ge - bäudes auf den Höfen, oder die Unkoſten zu einer nach Zeit und Umſtänden erforderlichen neuen Einrichtung dieſes oder jenen größern Stücks des Guts, die Ausſchreibung einer außerordentlichen ad tempus daurenden Auflage und dergleichen außerordentliche beträchtliche Ausgaben, die nicht durch die Schuld oder eine unordentlich geführte Wirthſchaft des Fiduciarii entſtanden ſind, eintreten. Bey dieſen ſich ereignenden Fällen ſind die Herren Execu - tores mit dem zeitigen Beſitzer ermächtiget, die Subſtanz des Guts mit einer zu contrahirenden Schuldenlaſt bis zu dem vorgeſchriebenen Quanto zu bebürden. Sie negociiren alsdann die erforderlichen Summen, ſtellen darüber ge - meinſam die Verſchreibung unter Verpfändung der Güter aus, und die Herren Executores werden die Güte haben, über die auf das Gut haftenden Schulden ein beſonderes Verzeichniß zu führen, damit ſie ſicher ſind, wie weit die aufgenommenen Gelder ſich erſtrecken, und daß ſie den Creditoribus zeigen können, daß die Gelder bis zu dem angemerkten Quanto der Einhundert und Funfzigtauſend Reichsthaler mit Sicherheit angeliehen werden können. Die Wiederbezahlung dieſer Gelder kann nach und nach aus dem etwa zu verkaufenden Holze, oder wenn bey Par - celirungen Kaufgelder bezahlet werden, aus dieſen Geldern, ſo wie aus demjenigen, was ich weiter im Verfolg dazu anweiſen werde, geſchehen, und wenn der Beſitzer einige gute Jahre gehabt hat, ſo kann er auch von ſeinem uſu - fructu nach und nach etwas, nach Befinden der Herren Executoren, zu Abtragung der Schulden, wenigſtens Ein bis Zweytauſend Rthlr. mit hergeben, und hiezu erſuche ich die Herren Executoren, den zweyten Beſitzer anzuhal - ten, ſo lange wenigſtens, bis das Quantum der Schulden - laſt bis zu Einhundert Tauſend Rthlrn. heruntergeſetzt worden. Zu dieſem Behuf und damit gleich bey dem erſten Beſitzer des Guts Bothkamp der ganze Paßiv - Zuſtand meiner Verlaſſenſchaft ins Gewiſſe geſetzt werde, extrahiren die Herren Executoren ein landübliches Pro - clama; die dabey profitirten Schulden werden von meinem inſtituirten Erben mit den von mir nachzulaſſenden Acti - vis und ausſtehenden Capitalien, ſo weit ſelbige dazu zureichen, getilgt, die übrig bleibenden aber auf die vor - angezeigte Weiſe, ſo viel thunlich, nach und nach berich - tiget.

§. 6.

Die Succeßions-Ordnung in dieſem mit einem Fidei - commiſſo perpetuobelegten Gute Bothkamp, in An - fehung welcher ich, ſo wie bey dem erſten Beſitzer, alſo auch bey Veränderung der nachherigen Poſſeſſorum, den Abzug der Quartae Trebellianicae oder Falcidiae, un - ter welchem Vorwand dieſelbe auch ganz oder zum Theil verlangt werden möchte, ſchlechterdings und gänzlich hie - durch unterſage, ſoll dieſe ſeyn: Daß nach dem erfolgten tödtlichen Hintritt meines inſtituirten Univerſal-Erben Detlev Hinrich von Bülow, oder wenn dieſer vor Abtre - tung meiner Erbſchaft vor mir verſtorben ſeyn möchte, derjenige von den ihm im §. 3. ſubſtituirten Erben, wel - cher nach der daſelbſt feſtgeſetzten Ordnung vi ſubſtitu - tionis dazu gerufen ſeyn möchte, ſolches Fideicommiß ſeinem älteſten Sohne und ſeiner ferneren Nachkommen - ſchaft zufalle, alſo und dergeſtalt, daß beydes, das männ - liche und weibliche Geſchlecht, darin ſuccedire, jedoch nur einer von jeden derſelben zur Zeit zur Perception komme, inzwiſchen das männliche Geſchlecht in derſelben Liniedem weiblichen und der Erſtgebohrne und deſſen Nachkom - men dem jüngern und deſſen Descendenz immer vorgehe, ſo daß keine Perſon weiblichen Geſchlechts zur Succeßion in dieſem Fideicommiß gelangen kann, ſo lange noch eine Per - ſon männlichen Geſchlechts in derſelben Linie vorhanden iſt. Sollte nun aber dieſer mein inſtituirter Erbe ohne eheliche Poſteritel dieſes Zeitliche verlaſſen, ſo fällt dieſes Fidei - commiß an ſeinen Bruder, der zunächſt auf ihn folget, Cai Sophus von Bülow und deſſen eheliche Descendenz, nach der vorgeſchriebenen Ordnung. Stürbe auch dieſe aus, ſo fällt es an den jüngſten, Friedrich von Bülow und deſſen eheliche Nachkommenſchaft; nach deren Ausgang aber an den älteſten der Gebrüder von Bülow, Johann Rudolph von Bülow und deſſen eheliche Poſteritel. Würde dieſe ganze Bülowſche Branche ausgehen, ſo fällt es auf den jetzt lebenden einzigen Sohn meiner älteſten Schweſter, Carl von Meurer und deſſen eheliche Descendenz. Stirbt die Nachkommenſchaft dieſer meiner Schweſter-Söhne aus, ſo trifft alsdann die Reihe der Erbfolge in dem Gute Bothkamp die Descendenz der Töchter meiner Schweſter, der Frau Kammerherrin von Bülow, und zwar zuerſt der älteſten, Jda Margaretha, und nach deren Erlöſchung die der jüngern, Sophia von Bülow, und endlich nach deren Abſterben die Descendenz der Tochter meiner Schweſter, der Frau Kammerherrin von Meurer, Namens Jda, und wird allemal die Art der Succeßion in jeder Branche nach obiger Vorſchrift beurtheilet und reguliret. Uebrigens ſollen die jedesmaligen Fideicommiß-Beſitzer des Gutes Bothkamp, aus rechtmäßiger Ehe gebohren, hinfolglich ſind die Legitimati, es ſey per ſubſequens matrimo - nium, oder per reſcriptum principis auf jeden Fall ausgeſchloſſen und dabey ſchuldig ſeyn, ihre Töchter in einem der drey adelichen Klöſter des Herzogthums Hol - ſtein, deren Wahl denſelben vorbehalten bleibet, einſchrei - ben zu laſſen, und ſoll dieſes gleich in dem erſten Geburts - Jahre der Tochter geſchehen, und werden die Herren Exe - cutoren, daß ſolches ja nicht verabſäumet werde, mit zu ſehen, belieben.

Wann nun zugleich, dem ausdrücklichen Willen des De - functi zufolge, darum angeſuchet worden, daß zur Beob - achtung und Erfüllung dieſer ſideicommiſſariſchen Diſpoſi - tion ſelbige zur öffentlichen Publication gebracht werde, und dieſer Bitte Statt gegeben iſt; als wird dieſe fidei - commiſſariſche Diſpoſition über vorbenanntes Gut cum pertinentiis, ſo wie die darin enthaltene Succeßions - Ordnung, hiedurch zu jedermanns Wiſſenſchaft gebracht, damit ſelbige in allen Puncten und Klauſeln erſüllet werde. Wornach ein jeder, den es angeht, ſich zu achten.

Urkundlich unterm vorgedruckten Königl. Jnſiegel. Ge - geben im Königl. Holſteinſchen Obergericht
  • L. S.
  • R.
M. Feldmann. Levſen. Pro vera copia: Rachel. Börm.

Frederik der Sechste, von Gottes Gnaden König zu Dännemark, Norwegen, der Wenden und Go - then, Herzog zu Schleswig, Holſtein, Stormarn und der Dithmarſchen, wie auch zu Oldenburg ꝛc.

Es haben die Teſtaments-Executoren des verſtorbenen Landſaſſen Hinrich von Rumohr auf Bothkamp allerun - terthänigſt angezeigt, wie ſie zur völligen Conſtituirung und Regulirung dieſer Erbſchaftsmaſſe die Extrahirung eines öffentlichen Proclams über den Nachlaß des Defuncti er - forderlich fänden, mit der hinzugefügten Bitte, gedachtes Proclam zu erlaſſen.

Wann nun dieſem Geſuche Statt gegeben worden, ſo werden hiedurch von Gerichts und Rechts wegen alle und jede, welche an den Nachlaß des verſtorbenen Landſaſſen Hinrich von Rumohr auf Bothkamp, ex capite heredi - tatis, fideicommiſſi, crediti, mandati, depoſiti, vel ex alio quocunque capite vel cauſa, jrgend einige Rechts begründete Anſprüche oder Forderungen, mit allei - niger Ausnahme der teſtamentariſchen, ſo wie ſolche durch die letzte Willens-Meynung des Defuncti d. d. Bothkamp[13]den 3ten October 1799 begründet ſind, haben oder zu ha - ben vermeynen, hiedurch aufgefordert und befehligt, ſich, und zwar die Einheimiſchen binnen 6, die Auswärtigen aber durch die von ihnen hieſelbſt zu beſtellenden Procu - ratores ad acta binnen 12 Wochen, nach geſchehener öf - fentlichen Verkündigung dieſes Proclams, ſub poena praecluſi et perpetui ſilentii bey dem Juſtizrath und Landgerichts-Notario Rachel hieſelbſt gehörig anzugeben, ihre in Händen habenden Documente in origine zu pro - duciren, auch beglaubte Abſchriften davon beym Protocoll zurück zu laſſen. Mit der ausdrücklichen Warnung, daß alle, welche ihre Angabe binnen den obgedachten Friſten zu beſchaffen verabſäumen, nach Ablauf derſelben damit nicht weiter werden gehört werden, vielmehr gänzlich mit ſelbi - gen präcludirt ſeyn ſollen. Wonach alle, die es angeht, ſich zu achten und vor Schaden zu hüten haben.

Urkundlich unterm vorgedruckten Königl. Jnſiegel. Ge - geben im Königl.

  • L. S.
  • R.
M. Feldmann. Levſen. Pro vera copia: Rachel. Börm.

Die Wittwe des hierſelbſt im Jahr 1812 verſtorbenen Stuhlmachers Ludolph Chriſtian Burchard, gebohrne Hanſen, hat vorgeſtellt, daß gedachter ihr Ehemann keine Leibeserben hinterlaſſen habe, und ihr von ſeinen ſonſti - gen Jnteſtat-Erben nicht das mindeſte bekannt ſey, und daher zur Ausfindigmachung derſelben um die Erlaſſung eines Proclams gebeten.

Solchemnach werden von Bürgermeiſter und Rath die - ſer Stadt alle und jede, welche an den Nachlaß des wey - land hieſigen Stuhlmachers Ludolph Chriſtian Burchard als Jnteſtat-Erben deſſelben Anſprüche zu haben vermey - nen, bey Strafe der Präcluſion hiemit ein - für allemal, mithin peremtoriſch, geladen, daß ſie, die Einheimiſchen, am 6ten November, die Auswärtigen aber, unter Beſtel - lung eines procuratoris ad acta, am 15ten December d. J. hierſelbſt auf dem Rathhauſe ſich gehörig angeben, die zur Begründung ihrer Anſprüche dienenden Documente im Original produciren, und davon beglaubte Abſchriften bey den Acten zurücklaſſen, mit der Verwarnung, daß ge - gen diejenigen, welche ſolches verabſäumen, die Strafe reſpective der Präcluſion, des ewigen Stillſchweigens und ſonſt den Rechten gemäß werde erkannt werden.

Wornach ſich zu achten.

Bürgermeiſter und Rath der Stadt Kiel.

Der hieſige Tiſchlermeiſter Johann Greger hat ſich für inſolvent erklärt und es iſt daher unterm heutigen Dato der Concurs erkannt worden.

Solchemnach werden von Bürgermeiſter und Rath die - ſer Stadt alle und jede, welche an die Haabe und Güter des gedachten Tiſchlermeiſters Johann Greger als Gläu - biger oder ſonſt aus irgend einem Grunde Anſprüche zu haben vermeynen, imgleichen alle, die demſelben mit Schul - den verhaftet ſind, oder etwas pfandweiſe von ihm be - ſitzen, und zwar erſtere bey Strafe der Präcluſion, letztere reſp. bey Strafe doppelter Zahlung und Verluſt des Pfand - rechts, hiemit ein - für allemal, mithin peremtoriſch gela - den, daß ſie, die Einheimiſchen, am 10ten November, die Auswärtigen aber, unter Beſtellung eines Procuratoris ad acta, am 18ten December d. J. hierſelbſt auf dem Rath - hauſe ſich gehörig angeben, die zur Begründung ihrer An - ſprüche dienenden Documente in Original produciren und davon beglaubte Abſchriften bey den Acten zurücklaſſen, mit der Verwarnung, daß gegen diejenigen, welche ſolches verabſäumen, die Strafe reſpective der Präcluſion, des ewigen Stillſchweigens, der doppelten Zahlung und ſonſt den Rechten gemäß werde erkannt werden.

Wornach ſich zu achten.

Bürgermeiſter und Rath der Stadt Kiel.

Der hieſige Bürger und Thorfahrer Johann Chriſtian Detlevſen hat ſich für inſolvent erklärt, und es iſt daherunterm heutigen Dat[o]der Cancurs über ſein Vermögen erkannt worden;

Solchemnach werden von Bürgermeiſter und Rath die - ſer Stadt alle und jede, welche an die Haabe und Güter des gedachten Johann Chriſtian Detlevſen aus irgend einem Grunde Anſprüche zu haben vermeynen, imgleichen alle, die demſelben mit Schulden verhaftet ſind, oder etwas pfandweiſe von ihm beſitzen, und zwar erſtere bey Strafe der Präcluſion, letztere reſpective bey Strafe doppelter Zahlung und Verluſt des Pfandrechts, hiemit ein - für allemal, mithin peremtoriſch geladen, daß ſie, die Einhei - miſchen, am 13ten November, die Auswärtigen aber, unter Beſtellung eines procuratorts ad acta, am 29ſten De - cember d. J. hierſelbſt auf dem Rathhauſe ſich gehörig an - geben, die zur Begründung ihrer Anſprüche dienenden Do - cumente in Original produciren und davon beglaubte Ab - ſchriften bey den Acten zurücklaſſen; mit der Verwarnung, daß gegen diejenigen, welche ſolches Verabſäumen, die Strafe reſp. der Präcluſion, des ewigen Stillſchweigens, der doppelten Zahlung und ſonſt den Rechten gemäß werde erkannt werden.

Wornach ſich zu achten.

Bürgermeiſter und Rath der Stadt Kiel.

Da das dem weyland Herrn Canzleyrath Bernhard Ludewig Klinck zuſtändig geweſene, am Ende der Fleethörn belegene Wohnhaus nebſt Garten zur Zeit noch nicht mit einem Folio im hieſigen Stadt -, Schuld - und Pfand-Pro - tocoll verſehen geweſen iſt, und die einzige Tochter und Univerſal-Erbin des Defuncti, die Frau Juſtizräthin Cas - perſen, cum curatore marito, zur Erlangung eines Folii um die Erlaſſung eines Proclams nachgeſucht hat;

So werden von Bürgermeiſter und Rath. dieſer Stadt alle und jede, welche an beregtes Wohnhaus cum perti - nentiis in der Fleethörn protocollationsfähige Anſprüche und Forderungen zu haben vermeynen, hiemit ein - für allemal, mithin peremtoriſch geladen, daß ſie, die Einhei - miſchen, am 17ten November d. J., die Auswärtigen aber, unter Beſtellung eines procuratoris ad acta, am 3ten Januar 1813 hierſelbſt auf dem Rathhauſe ſich gehörig angeben, die zur Begründung ihrer Anſprüche dienenden Documente in Original produciren und davon beglaubte Abſchriften bey den Acten zurücklaſſen; mit der Verwar - nung, daß diejenigen, welche ſolches verabſäumen, mit ihren etwanigen protocollationsfähigen Anſprüchen bey Einrichtung des Folii für das eingangserwähnte Haus nicht berückſichtigt, vielmehr in dieſer Hinſicht völlig prä - cludirt ſeyn ſollen.

Wornach ſich zu achten.

Bürgermeiſter und Rath der Stadt Kiel.

Frederik der Sechste, von Gottes Gnaden König zu Dännemark, Norwegen, der Wenden und Gothen, Herzog zu Schleswig, Holſtein, Stormarn und der Dithmarſchen, wie auch zu Oldenburg ꝛc.

Es haben der Fürſtlich Lübeckſche Kanzleyrath Corne - lius Chriſioph Martens, und der Doctor der Rechte, auch Obergerichts-Advocat, Daniel Friederich Martens in Eutin, als Beſitzer des adelichen Guts Birkenmoor, für ſich und ihre Mitbeſitzer gedachten Guts, nämlich den Päch - ter Martens auf Rathmannsdorf, die Wittwe Geertz in Eutin und Joachim Hinrich Micelſen, hieſelbſt vorgeſtellt, daß, da die auswärtigen wie die einheimiſchen Gelderlei - her, veranlaßt durch die Zeitumſtände, gegen alle dieje - nigen Gutsbeſitzer, welche ihnen kein Protocoll anzubie - ten hätten, mißtrauiſch wären und auch bey der augen - ſcheinlichſten Sicherheit ſich mit ihnen entweder überall nicht, oder doch nicht anders, als gegen unmäßige Zinſen einließen, die Supplicanten es für ihr Jntereſſe vortheil - haft ſinden müßten, in dem für die adelichen Güter er - öffneten Schuld - und Pfand-Protocolle ein Folium für ihr Gut Birkenmoor zu erhalten.

Um der dieſerwegen hinzugefügten Bitte zu willfahren, wird hiemit allen und jeden, welche an das adeliche Gut Birkenmoor und deſſen Zubehörungen aus irgend einem Grunde einige, daſſelbe realiter afficirende, mithin pro - tocollationsfähige Anſprüche und Forderungen zu haben[14]glauben, hiemit der Befehl ertheilt, ſich mit denſelben als Einheimiſche binnen 6, als Auswärtige aber innerhalb 12 Wochen a dato publicationis hujus proclamatis, im hieſigen Landgerichts-Notariat bey dem Kanzley - und Ober - gerichts-Secretair Geiſter in Schleswig anzugeben, die Do - cumente, worauf ihre Angaben ſich gründen, daſelbſt in origineund mit Zurücklaſſung allda für die Gebühr zu vidimirender Abſchriften zu produciren, auch, in ſo fern ſie nicht am Orte ſind, procuraturam ad acta zu beſtel - len. Mit der ausdrücklichen Verwarnung, daß alle, welche ſolchergeſtalt ſich anzugeben unterlaſſen, mit ihren etwa - nigen Anſprüchen vorgedachter Art bey Einrichtung des erbetenen Folii überall nicht mehr berückſichtigt, vielmehr in dieſer Hinſicht völlig präcludirt ſeyn ſollen. Und ſo wie übrigens nach abgelaufenem Proclam und geſchloſſe - nem Angabe-Protocolle das Folium für das adeliche Gut Birkenmoor in dem Landgerichtl. Schuld - und Pfand-Pro - tocolle behörig einzurichten und die Protocollation der an - gegebenen dazu geeigneten Pöſte in rechtlicher Ordnung vorzunehmen iſt, ſo müſſen auch die darauf lautenden Ori - ginal-Documente bis zur geſchehenen Protocollation im Landgerichts-Notariat verbleiben, oder, durch die vidi - mirten Abſchriften einſtweilen erſetzt, demnächſt zur Be - zeichnung mit dem Atteſtat wieder eingeliefert werden. Wornach ein jeder, den es angeht, ſich zu richten hat.

Urkundlich unterm vorgedruckten Königl. Jnſiegel.

(L. S.) F. C. Krück. Fr. Eggers. Pro vera copia: Geiſter. H. C. Otte.

Frederik der Sechste, von Gottes Gnaden - nig zu Dännemark, Norwegen, der Wenden und Gothen, Herzog zu Schleswig, Holſtein, Stormarn und der Dithmarſchen, wie auch zu Oldenburg ꝛc.

Es haben der Fürſtlich Lübeckſche Canzeley-Rath Cor - nelius Chriſtoph Martens und der Doctor der Rechte, auch Obergerichts-Advocat, Daniel Friederich Martens, in Eutin, als Beſitzer des adel. Guts Borghorſter-Hütten, für ſich und ihre Mitbeſitzer gedachten Guts, nämlich den Pächter Martens auf Rathmansdorf, die Wittwe Geertz in Eutin und Joachim Hinrich Michelſen, hieſelbſt vorge - ſtellt, daß, da die auswärtigen wie die einheimiſchen Geld - verleiher, veranlaßt durch die Zeitumſtände, gegen alle diejenigen Gutsbeſitzer, welche ihnen kein Protocoll anzu - bieten hätten, mißtrauiſch wären und bey der augenſchein - lichſten Sicherheit ſich mit ihnen überall nicht, oder doch nicht anders als gegen unmäßige Zinſen einließen, die Supplicanten es für ihr Jntereſſe vortheilhaft finden müßten, in dem für die adelichen Güter eröffneten Schuld - und Pfandprotocolle ein Folium für ihr Gut Vorghorſter - Hütten zu erhalten.

Um der dieſerwegen hinzugefügten Bitte zu willfahren, wird hiemit allen und jeden, welche an das adliche Gut Borghorſter-Hütten und deſſen Zubehörungen aus irgend einem Grunde einige, daſſelbe realiter afficirende, mithin protocollationsfähige Anſprüche und Forderungen zu ha - den glauben, hiemit der Befehl ertheilt, ſich mit ſelbigen als Einheimiſche binnen 6, als Auswärtige aber inner - halb 12 Wochen, a dato publicationis h[ u] jus procla - matis, im hieſigen Landgerichts-Notariat, bey dem Can - zeley - und Obergerichts-Secretair Geiſter in Schleswig anzugeben, die Documente, worauf ihre Angaben ſich gründen, daſelbſt in origine und mit Zurücklaſſung allda für die Gebühr zu fidimirender Abſchriften zu produciren, auch, in ſo fern ſie nicht am Orte ſind, Procuraturam ad acta zu beſtellen. Mit der ausdrücklichen Verwarnung, daß alle, welche ſolchergeſtalt ſich anzugeben unterlaſſen, mit ihren etwanigen Anſprüchen vorbemeldeter Art bey Einrichtung des erbetenen Folii überall nicht mehr berück - ſichtigt, vielmehr in dieſer Hinſicht völlig präcludirt ſeyn ſollen. Und ſo wie übrigens nach abgelaufenem Proclam und geſchloſſenem Angabe-Prot[ o] colle das Folium für das adeliche Gut Borghorſter-Hütten in dem Landgerichtlichen Schuld - und Pfand-Protocolle behörig einzurichten unddie Protocollation der angegebenen dazu geeigneten Pöſte in rechtlicher Ordnung vorzunehmen iſt, ſo müſſen auch die dergleichen Pöſte betreffenden Original-Documente bis zur geſchehenen Protocollation in dem Landgerichts-No - tariat verbleiben, oder durch die fidimirten Abſchriften einſtweilen erſetzt, demnächſt zur Bezeichnung mit dem Atteſtat wieder eingeliefert werden. Wornach ein jeder, den es angeht, ſich zu achten hat.

Urkundlich unterm vorgedruckten Königl. Jnſiegel.

(L. S.) J. C. Krück. v. Eggers. Pro vera copia: Geiſter. H. C. Otte.

Von Gerichts wegen gebiete Jch Chriſtian Matthias Jacob Johannſen, beſtallter Conferenzrath und Landvogt in Norderdithmarſchen, wie auch Ritter vom Dannebrog, euch, den Erben, Gläubigern und Schuldnern des zu Delve verſtorbenen Johann Groth und deſſen Ehefrau Dorothea, bey nachfolgender Warnung:

Daß ihr auf Anſuchen des Marx Fack in Delve, als von Mir beſtellten Curators über die Verlaſſenſchaft obge - dachter beyden Verſtorbenen, alle eure an ſelbige habende Anſprüche tam ex jure hereditatis, quam crediti, als auch die Schulden, womit ihr derſelben verhaftet ſeyd, ihr Einheimiſchen innerhalb 6, ihr Auswärtigen, nach zu - vor beſtellter Procuratur, innerhalb 12 Wochen, von der erſten Bekanntmachung dieſes Proclams an, geſetzmäßig in der Kirchſpielſchreiberey zu Delve angebet, oder in Un - terlaſſung deſſen gewärtiget, daß ihr mit euren Anſprüchen und Forderungen an obgenannte Verlaſſenſchaft werdet ausgeſchloſſen und mit der Schuld in die Strafe Rechtens verfallen ſeyn.

(L. S.)

Von Gerichts wegen gebiete Jch Chriſtian Matthias Jacob Johannſen, beſtallter Conferenzrath und Landvogt in Norderdithmarſchen, wie auch Ritter vom Dannebrog, euch ſämmtlichen Gläubigern, Schuldnern, Rech - nungsverwandten und etwanigen Pfandinhabern des unlängſt verſtorbenen Samuel Matthias Hart - nack in Reinsbüttel, wie auch allen, welche ſonſt noch aus irgend einem Grunde an die Verlaſſen - ſchaft des gedachten Defuncti Anſprüche zu haben vermeynen möchten, bey nachſtehender Commination:

Daß ihr ad inſtantiam der Antje Kälers in Reins - büttel cum cur. als teſtamentariſcher Univerſal-Erbin des obgenannten Defuncti während ſie in ſolcher Eigen - ſchaft die auf ſie verabfällete Verlaſſenſchaft nur ſub beneficio legis et inventarii anzutreten geſonnen iſt nunmehr ſolches alles, und zwar ihr, die Einheimiſchen in - nerhalb 6, ihr, die Auswärtigen aber unter Beſtellung eines Procurators zu den Acten in dieſem Gerichtszwange, innerhalb 12 Wochen, von Zeit der erſten Bekanntmachung dieſes angerechnet, und zwar bey Strafe comparate der Ausſchließung, doppelter Zahlung, imgleichen bey Verluſt des Pfand - und Compenſations-Rechts und wie es ſonſt den Rechten gemäß in der Kirchſpielſchreiberey zu Weſſel - buhren geſetzmäßig angebet und verzeichnen laſſet.

Wornach ihr euch zu achten.

(L. S.)

Jhro Königl. Majeſtät zu Dännemark, Norwegen ꝛc. ꝛc.

Wir zum Plönſchen Conſiſtorio allerhöchſt Verordnete, fügen dir dem abweſenden Hinrich Gerhard Friederich Thomſen, aus Ratekow, hiemit zu wiſſen, daß dein Vater, der Organiſt Thomſen zu Ratekow unlängſt mit Hinter - laſſung einer letztwilligen Dispoſition, worin er ſeine nach - gelaſſene Wittwe Maria Eliſabeth, geb. Hardt, zur Univer - ſal-Erbin ſeines Nachlaſſes inſtituirt hat, mit Tode abge - gangen iſt. Wir citiren und laden demnach dich, den ab - weſenden Hinrich Gerhard Friederich Thomſen, oder deine[15]ehelichen Leibeserben, daß ihr euch innerhalb 12 Wochen, vom Tage der letzten Bekanntmachung angerechnet, beym hieſigen Gericht angebet, eure Erbanſprüche wahrnehmet, und demnächſt das Weitere gewärtiget, widrigenfalls nach Ablauf dieſer Friſt mit den weiteren rechtlichen Maaßre - geln zur Regulirung der Verlaſſenſchaft verfahren werden wird. Wornach ſich zu achten.

Graf von Luckner. F. C. Martini. G. Suhr. In fidem copiae: G. Franzius.

Die hieſigen Kaufleute Stoppel et von Dadelszen haben dem hieſigen Obergerichte angezeiget, daß im De - cember 1808 an Bord des Schiffs Anna Metta Catharina, geſühet von dem Schiffer Anthonis Jörgenſen von Soe - derſoe, welches größtentheils für ihre Rechnung mit Thran beladen geweſen, auch vier Kiſten Jndigo, gemerkt mit einem Dreckeck, mit einer Null durchzogen und unten Strich, No. 38 à 41, wiegend brutto 715 Pfund, von dem Agenten Wollert D. Krohn in Bergen, an die Kaufleute Schmidt et Pleſſing in Lübeck, von Bergen nach Fanoe beſtimmt, abgeladen worden; daß dieſes Schiff[] eine ſehr große Havarie gemacht habe, deren Belauf auf ſie, die Jmploranten Stoppel et von Dadelszen, als Haupt-Ladungs-Jntereſſenten, traſſiret und von ihnen berichtiget ſey, von welcher Havarie, nach hieſelbſt auf - gemachter Diſpache, auf erwähnte vier Kiſten Jndi - go in allem 2174 Mk. 3 ßl. Bco. gefallen wären, welche Jmploranten mit den Zinſen zu fordern hätten, ſo wie auch außerdem noch von ihnen für dieſe zu Fa - noe angekommenen vier Kiſten Jndigo, ſowol der Tarif bezahlt worden, als auch alle bisherige Koſten berichtiget werden müßten; daß hierauf die Kauf - leute Schmidt et Pleßing in Lübeck, als nach dem Con - noſſement und den am Bord des Schiffs beſindlich gewe - ſenen Certificaten, Eigner und Empfänger dieſer Waare, ſelbige zu empfangen verweigert hätten, auch durchaus niemand als Eigner derſelben auftreten wolle, und ſie, die Jmploranten, daher, um wenigſtens ſo weit möglich zu ihrem Gelde zu kommen, und dieſerwegen die freye Diſpo - ſition über die vier Kiſten Jndigo zu erhalten, ein gericht - liches Proclam zu impetriren genöthiget wären. Da nun Jmploranter zugleich um Erlaſſung dieſes Proclams gezie - mend angeſucht haben, und dieſer Bitte Statt gegeben worden iſt; ſo werden alle und jede, welche an vorer - wähnte vier Kiſten Jndigo irgend ein Recht oder eine An - ſprache, es ſey aus welchem Grunde es wolle, zu haben vermeynen, hiedurch ein - für allemal und mithin perem - torie anfgefordert und angewieſen, ſich damit am 14ten December dieſes Jahrs bey dem hieſigen Obergerichte an - zugeben, auch ihre Angaben demnächſt gehörig zu juſtifici - ren, unter der hinzugefügten Verwarnung, wie ſie widri - genfalls mit ihren vermeintlichen Anſprüchen an ſolche vier Kiſten Jndigo werden präcludiret, Jmploranten den hie - ſigen Kaufleuten Stoppel et von Dadelszen die freye Dis - poſition über ſelbige, um ſich daraus, ſo weit zureichend, für ihre Vorſchüſſe nebſt Zinſen und Koſten bezahlt zu machen, werde zugeſtanden, auch ihnen, in ſo fern ſie aus dieſem Jndigo ihre Befriedigung nicht erhalten ſoll - ten, ihre Gerechtſame coutra quem - et quocunque werden reſerviret werden. Wornach ſich zu achten.

Ex decreto Senatus.

Demnach die hieſige Faßbäcker-Amtsmeiſterin Maria Dorothea, Johann Friedrich Chriſtoph Mattſeldts Wittwe, gebohrne Brandt, cum curatore, um das benericium ceſſionis bonorum geziemend angehalten, und ihr ſolches ſalvis creditorum exceptionibus verſtattet worden; ſo werden hiedurch alle und jede, welche[ an] dieſelbe ex quo - cunque capite vel cauſa einige Anſprüche ha[ b] en, ein - für allemal und alſo peremtorie citirt, ſolche am 9ten November dieſes Jahrs beym hieſigen Obergerichte gehörig anzugeben, und demnächſt weitere Verfügung zu gewärti - gen, mit der Verwarnung, daß das protocollum pro - feſſionis am erwähnten Tage völlig werde geſchloſſen undden[j]enigen, die ſich nicht angegeben haben, ein ewiges Stillſchweigen werde auferleget werden.

Zum öffentlichen Verkaufe des mitcedirten, noch auf der Jmplorantin verſtorbenen Ehemannes Johann Frie - drich Chriſtoph Mattfeldt Namen im Stadtbuche ſtehen - den, an der Fiſcherſtraße belegenen, mit Ernſt Friedrich Lange im Oſten, und Peter Meins im Weſten benachbarten Erbes, iſt der 16te November dieſes Jahrs feſtgeſetzet worden, an welchem Tage, Nachmittags um 2 Uhr, die Liebhaber im hieſigen Rathskeller ſich einfinden, und den Handel verſuchen können. Wornach ſich zu achten.

Ex decreto Senatus.

Friederich Franz, von Gottes Gnaden ſouverainer Herzog zu Mecklenburg ꝛc.

Da Wir auf unterthänigſte Bitte des Hofraths Maſius hieſelbſt, als Actoris communis im Rodde-Greſſower Debitweſen, zum gerichtlichen Verkauf des hieſigen Con - curs-Guts Greſſow deſſen Beſchreibung die nach - folgende Beylage enthält die conſtitutionsmäßigen drey Termine reſpectire auf den 21ſten October d. J., auf den 16ten December d. J. und auf den 10ten Februar k. J. anberahmet haben; ſo werden Kaufliebhaber hiedurch gnä - digſt geladen, ſich alsdann Morgens auf hieſiger Unſerer Juſtiz-Canzley einzufinden, und nach protocollariſchem Bot und Ueberbot zu gewärtigen, daß im dritten Termino ſalvo creditorum jure idem offerendi dem annehmlich Meiſtbietenden unter den zum Grunde liegenden Ver - kaufsbedingungen der Zuſchlag geſchehen werde.

Die Bedingungen ſind 8 Tage vor dem erſten Termine, ſowol in Unſerer Canzley-Regiſtratur, als auch bey dem Hofrath Maſius zu inſpiciren, und Kaufliebhaber, die das Gut in Augenſchein nehmen wollen, haben ſich auf dem Hofe zu Greſſow bey dem Oberjäger Schmidt zu melden.

(L. S.) Ad Mandatum Sereniſſimi proprium. Herzogl. Mecklenb. zur Juſtiz-Canzley verord - nete Director, Vice-Director und Räthe. v. Bülow. J. G. Drümmer.

Beſchreibung des Guts Greſſow.

Das im ritterſchaftlichen Amte Grevesmühlen belegene Allodial-Gut Greſſow iſt zu Hufen 43 2 / 32 Scheffel ca - taſtrirt und hat einen Flächenraum von 303,577 [] Ruthen.

Dieſes Gut liegt in einer vorzüglich ſchönen Gegend und hat zum Abſatz der Producte eine ſehr vortheilhafte Lage, indem es Meilen von Wismar, Meilen von Grevesmühlen, Meilen von Schwerin, Meilen von Lübeck und 9 Meilen von Mölln entfernt iſt.

Der Hof iſt ſehr regelmäßig und gut gebauet, hat ein ſehr bequem eingerichtetes herrſchaftliches Wohnhaus mit einem ſehr ſchönen, auf der einen Seite mit einem Luſt - gehölze umgebenen Garten, der eine Menge Obſtbäume von feinen Sorten enthält; auch befindet ſich auf dem Hofe noch ein ſehr gut eingerichtetes Nebengebäude für einen Pächter, falls eine Verpachtung des Guts beabſich - tigt wird.

Die Hof -, Dorf - und Pfarr-Gebäude ſind im beſten Stande und erſtere ſämmtlich in einem Zeitraume von 15 Jahren neu gebauet.

Der Acker des Guts Greſſow enthält 216,655 [] Ruthen und wird gegenwärtig in acht Haupt-Schlägen und acht Neben-Schlägen bewirthſchaftet und können in allen Schlägen alle Korn-Arten mit Sicherheit geſäet werden.

Die Wieſen ſind faſt alle zweyſchürig, und bey einem Flächenraume von circa 14,943 [] Ruthen zur Zeit der Bo - nitirungs-Commißion zu 127 Fuder Heu bonitirt.

Die Hof - und Dorf-Gärten, mit Jnbegriff einiger Wöhrte der Unterpächter, ſind zu 3855 [] Ruthen angegeben.

Die aus Eichen und Büchen beſtehende Hölzung iſt be - deutend, ſo wie auch die Weichhölzung reichlich den Guts - Bedarf giebt. Die geſammte Fläche davon beträgt etwa[16]24,303 [] Ruthen. Außerdem iſt noch überflüßiger Torf vorhanden.

Die Holländerey beſteht aus 100 Pacht-Kühen, welche in dieſem Jahre zu 10 Rthlr. à Kuh verpachtet ſind, ſonſt aber zu 13 und 14 Rthlr. verpachtet waren.

Die Schäferey beſteht aus 300 Schaafen, welche 205 Rthlr. N. 2 / 3 Pacht geben.

Der Schmidt und Krüger giebt jährlich 120 Rthlr. Pacht.

Die Fiſcherey aus dem zu Greſſow gehörenden See iſt für 16 Rthlr. verpachtet.

Die vorhandenen Karautſchen-Teiche und die Jagd tra - gen zu den Annehmlichkeiten des Guts bey.

Friederich Franz, von Gottes Gnaden ſouve - rainer Herzog zu Mecklenburg ꝛc. ꝛc.

Es hat Unſere Juſtiz-Kanzley hieſelbſt, in Gemäßheit einer zwiſchen dem Geheimen-Rath und Miniſter Baron von Hammerſtein und deſſen Gläubigern getroffenen Ver - einbarung, zum gerichtlichen Verkauf der dem Erſtern ge - hörenden Landgüter Greven und Lindenbeck drey Termine reſpective auf den 20ſten October d. J., auf den 15ten December d. J. und auf den 9ten Februar k. J. anberahmet, in deren letzterem der annehmlich Meiſtbie - tende unter den zum Grunde liegenden Bedingungen, mit Vorbehalt des Lehnsherrlichen Conſenſes und des geſetz - lichen Gleichgebots-Rechts der von Hammerſteinſchen Cre - ditoren, den Zuſchlag gewärtigen kann.

Dies wird, mit Bezug auf das in dieſen Blättern ſchon vollſtändig mit angehängter Guts-Beſchreibung abge - druckte Proclama, durch gegenwärtigen Auszug noch wei - ter öffentlich kund gemacht.

(L. S.) Ad Mandatum Sereniſſimi proprium. Herzogl. Mecklenburgiſche zur Juſtiz-Kanzeley verordnete Director, Vice-Director und Räthe. v. Bülow. J. G. Drümmer.

Oeffentliche Vorladung.

Da ſich der am 25ſten September 1729 in F[ü]rth gebohrne Simon Lachner, ein Sohn des hieſigen Schreinergeſellen Johann Georg Lachner, ſchon vor langer Zeit von hier entfernt hat, ohne binnen der geſetzlichen Zeitfriſt von ſeinem Leben oder Auſenthalt Nachricht zu geben, ſo wurde auf Antrag des für ihn beſtellten Curators die Einleitung des Todes-Erklärungs-Prozeſſes verfügt.

Der obgedachte Simon Lachner, oder die von ihm etwa zurückgelaſſenen Erben, werden demnach hierdurch öffentlich vorgeladen, ſich binnen einer Zeitfriſt von Neun Monaten, oder längſtens in dem auf den 1ſten Julii 1813 angeſetzten Termine, bey diesſeitiger Gerichtsſtelle mündlich oder ſchriftlich zu melden, und allda weitere Anweiſung zu ge - wärtigen.

Würde Simon Lachner, oder deſſen allenfallſige Erben, dieſer Aufforderung in dem obenbeſtimmten Termine nicht genügen, ſo ſteht denſelben zu gewärtigen, daß erſtere für todt erklärt, die bisherige Vermögens-Adminiſtration auf - gehoben, und dieſes den ſich meldenden nächſten Anver - wandten ausgefolgt werden wird.

Königl. Bayerſ. Stadt-Gericht. Kulhard.

Auf den Antrag des hieſtgen Advocaten und Notarii Gottlieb Wilhelm Skerle, als Bevollmächtigten der Erben des hieſelbſt auf ſeiner Durchreiſe verſtorbenen Kaufmanns David Louis Girard, aus Berlin, werden hiemit alle die - jenigen, welche die angeblich verlohren gegangene, von dem Kaufmann Herrmann Mumſen zu Hamburg an die Ordre des verſtorbenen David Louis Girard unterm 3ten May 1810 über 5162 Mk. 2 Schill. Banco zu 4 Procent Zinſen ausgeſtellte, annoch auf 4462 Mk. 2 Schill. Banco gültige, den 3ten May 1812 zahlbare Schuldverſchreibung beſitzen,oder Anſprüche darauf haben, hiemit aufgefordert, ſich binnen 3 Monaten, und ſpäteſtens den 30ſten December d. J. Vormittags um 10 Uhr auf dem hieſigen Schöppenhauſe, bey dem Gerichtſchreiber Prueckelmeyer, zu melden, ihr Beſitzrecht oder ihre Anſprüche nachzuweiſen, bey nicht er - folgter Meldung aber zu gewärtigen, daß ſie mit ihren etwanigen Anſprüchen und Rechten auf das gedachte Schuld-Document präcludirt, die Erben des oberwähnten Kauſmanns David Louis Girard für die rechtmäßigen Ei - genthümer deſſelben, das Schuld-Document ſelbſt aber für mortiſicirt und erloſchen erklärt werden wird.

Das Schöppen-Gericht.

Von unterſchriebenem Gerichte wird der bis zum Jahre 1807 im Regiment Königlicher Garde du Corps gediente, 46 Jahre alte, aus Sybillen-Ort in Schleſien gebürtige, zuletzt von ſeinen Bekannten in Worms, in der Franzöſi - ſchen Gefangenſchaft, im October 1807 im Lazareth ange - troffene, nachmals unbekannt gewordene Preußiſche Garde du Corps, Santke oder Sontke, aufgefordert, ſich in dem auf den 16ten November c., Vormittags 9 Uhr, allhier in der Gerichtsſtelle anberaumten Termin einzufinden, und auf die von ſeiner Ehefrau, gebohrnen Juliane Lehmann, angebrachte Eheſcheidungsklage ſich einzulaſſen, auch ſeine bisherige Entfernung und Abweſenheit zu entſchuldigen, da ſonſt, der Klage gemäß, auf Eheſcheidung erkannt und ſolches Erkenntniß in Ausübung gebracht werden wird.

Königl. Preuß. Stadtgericht.

Edictal-Ladung.

Wir Bürgermeiſtere und Rath der Stadt Roſtock - gen dem Matroſen Johann Groth hiemit zu wiſſen: daß ſeine Ehefrau Margaretha, gebohrne Blaſe, den Deſer - tions-Proceß gegen ihn angeſtellet und um ſeine öffent - liche Citation gebeten habe. Wann nun dieſe hiedurch er - kannt und Termin auf den 18ten November d. J. anberah - met iſt, ſo laden wir ihn, den gedachten Johann Groth, hiedurch peremtorie vor, und wollen, daß er ſodann Mor - gens 10 Uhr auf dem Rathhauſe hieſelbſt vor unſern zum Obergerichte hieſelbſt Verordneten perſönlich erſcheine geſtalten ihm dann ein ſicheres Geleite, um in praeiixo frey vor - und wieder abtreten zu können, hiedurch erthei - let wird die Urſachen ſeiner Entfernung vorbringe und demnächſt das Weitere gewärtige, unter dem Nachtheile, daß er im Nicht-Erſcheinungs-Falle für einen böslichen Verlaſſer geachtet, folgends ſeine Ehe mit ihr aufgehoben, und, was ſonſt den Rechten gemäß iſt, wider ihn erkannt werden ſoll.

Wann der Eigenthuͤmer Arnold Friedrich Kracht auf Guſtow ſein Vermoͤgen ſeinen Creditoren ab - getreten hat, und von dieſen auf die Eroͤffnung des foͤrmlichen Concurſes angetragen, ſolcher auch hieſelbſt erkannt iſt; ſo ſind alle diejenigen, die an denſelben und das ihm zugehoͤrige Gut Guſtow Forderungen und Anſprache zu haben vermeynen, durch die unterm heutigen Dato erlaſſenen Proclama aufgefordert, ad liquidandum et deducendum jura auf den 28ſten October, oder 2ten December dieſes Jahrs, oder am 16ten Januar kuͤnftigen Jahrs, hieſelbſt zu erſcheinen, und iſt zugleich zur Publication des Praͤcluſiv-Abſchiedes Termin auf den 6ten Februar kuͤnftigen Jahrs angeſetzt. Auch ſind alle, die etwa als Agenten und Lehnfolger ihre Rechte an das Gut Guſtow geltend machen wollen, zur Wahrnehmung ihrer Zuſtaͤndniſſe auf den 28ſten October d. J. vorgeladen, da ſie ſonſt damit als - dann werden praͤcludirt werden.

Koͤnigl. Hofgericht hieſelbſt.

About this transcription

TextAm Mittewochen, den 14. Oktober
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Responsibility Alexander Geyken, ed.; Susanne Haaf, ed.; Bryan Jurish, ed.; Matthias Boenig, ed.; Christian Thomas, ed.; Frank Wiegand, ed.

Britt-Marie SchusterManuel WilleArnika LutzNote: Bereitstellung der Texttranskription.Note: Bitte beachten Sie, dass die aktuelle Transkription (und Textauszeichnung) mittlerweile nicht mehr dem Stand zum Zeitpunkt der Übernahme des Werkes in das DTA entsprechen muss.2014-07-28T09:55:44Z CLARIN-DNote: Langfristige Bereitstellung der DTA-Ausgabe

EditionVollständige digitalisierte Ausgabe.

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Bibliographic informationAm Mittewochen, den 14. Oktober . Hamburg1812. Journal du Département des Bouches de l'Elbe oder: Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten

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