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JOURNAL du DÉPARTEMENT des BOUCHES de l’ELBE oder: Staats - und Gelehrte Zeitung des Hamburgiſchen unpartheyiſchen Correſpondenten.
Anno 1812. (Am Mittewochen, den 21 October.)
No. 169.

22e Bulletin de la Grande-Armée.

Moscou, le 27 Septembre 1812.

Le consul général Lesseps a été nommé in - tendant de la province de Moscou. Il a or - ganisé une municipalité et plusieurs commis - sions, toutes composées de gens du pays.

Les incendies ont entièrement cessé. On découvre tous les jours des magasins de su - cre, de pelleteries, de draps, etc.

L’armée ennemie parait se retirer sur Ka - louga et Toula. Toula renferme la plus grande fabrique d’armes qu’ait la Russie. No - tre avant-garde est sur la Pakra.

L’Empereur est logé au palais impérial du Kremlin. On a trouvé au Kremlin plusieurs ornemens servant au sacre des Empereurs, et tous les drapeaux pris aux Turcs depuis cent ans.

Le tems est à-peu-près comme à la fin d’Oc - tobre à Paris. Il pleut un peu, et l’on a eu quelques gélées blanches. On assure que la Moskwa et les rivières du pays ne gêlent point avant la mi-Novembre.

La plus grande partie de l’armée est can - tonnée à Moscou, elle se remet de ses fatigues.

Ministère de la guerre.

On a reçu des nouvelles de la jonction des armées du centre et du midi de l’Espagne. Cette jonction s’est opérée le 30 Septembre dernier à Tovarra (en Murcie), entre la divi - sion du général Treilliard et l’avant-garde de l’armée du midi, commandée par le général Soult. Ce dernier s’est porté le lendemain avec sa cavalerie à Albaréte, et a été rem -

22ſtes Bulletin der großen Armee.

Moscau, den 27 Sept. 1812.

Der General-Conſul Leſſeps iſt zum Jntendan - ten der Provinz Moscau ernannt worden. Er hat eine Municipalitaͤt und verſchiedene Commißionen, die aus lauter Jnlaͤndern beſtehen, errichtet.

Die Feuersbruͤnſte haben gaͤnzlich aufgehoͤrt. Taͤglich entdeckt man Magazine von Zucker, Pelz - waaren, Tuͤchern ꝛc.

Die feindliche Armee ſcheint ſich nach Kaluga und Tula zuruͤckzuziehen. Zu Tula befindet ſich die groͤßte Waffenfabrik in Rußland. Unſre Avant - garde ſteht an der Pakra.

Der Kayſer wohnt in dem Kayſerl. Pallaſt des Kreml. Man hat im Kreml mehrere Kleinodien, die zur Kroͤnung der Rußiſchen Kayſer dienen, und alle den Tuͤrken ſeit 100 Jahren abgenommenen Fahnen gefunden.

Die Witterung iſt ohngefaͤhr ſo wie am Ende Octobers zu Paris. Es regnet etwas und man hat einige Nachtfroͤſte gehabt. Wie man verſichert, frieren die Moskwa und die Fluͤſſe des Landes nicht vor der Mitte des Novembers zu.

Der groͤßte Theil der Armee cantonnirt zu Moscau, wo ſie ſich von ihren Strapatzen erholt.

Kriegsminiſterium.

Es ſind Nachrichten von der Vereinigung der Armeen des Centrums und des Suͤdens von Spa - nien eingegangen. Dieſe Vereinigung iſt am 30ſten September zu Tovarra (in Murcia) zwiſchen der Diviſion des Generals Treillard und der Avant - garde der Suͤd-Armee unter dem General Soult geſchehen. Letztere begab ſich am folgenden Tage mit ſeiner Cavallerie nach Albarete und ward zu Tovarra durch den General, Grafen d’Erlon, er -

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placé à Tovarra par le général comte d’Erlon. Le 30 Septembre, M. le duc de Dalmatie était de sa personne à Calasparra, et devais immé - diatement se rendre auprés de S. M. C. à San - Felipe.

Nos soldats ont rapporté à Moscou des fu - sées incendiaires si bien conditionnées et fai - tes avec un tel soin, qu’une fois allumées il devenoit impossible de les éteindre. Au mo - ment les soldats firent cette découverte, on craignoit que les incendiaires n’eussent déposé dans quelques parties du Kremlin des fusées et des étoupes soufrées et goudron - nées; mais des recherches exactes ont con - staté le contraire. Il paroît que dans son avengle obstination, l’ennemi croyoit pouvoir tenir quelque tems dans cette forteresse, d’où quelques coups de canon ont suffi pour le chasser. C’est la prompte arrivée de nos troupes qui a sauvé le Kremlin.

Le vent souflant grand frais, l’amiral Young est entré aux Dunes avec toute l’escadre qui bloque le Texel, et qui consiste en quinze vaisseaux de 74.

Lord Wellington a été reconnu par les Cor - tès généralissime des armées en Espagne. Les Cortès ont montré dans cette occasion un degré de condescendance auquel nous étions loin de nous attendre. Se soumettre à l’in - fluence anglaise paraissait de leur part une chose difficile a obtenir. Un nouveau systéme de guerre va donc étre suivi, et nous avons lieu de craindre que la défense des Espagnols et leur coopération devenant secondaire, ne perde beaucoup de son énergie et de cet es - prit de résistance et d’opiniatreté qui leur a commandé tant d’efforts.

Une lettre écrite de Séville en date du 12 Septembre donne des détails qui prouvent que l’organisation du gouvernement militaire du maréchal Soult en Andalousie était systema - tique et complette. Il avait rassemblé des moyens de toute espèce et formé de grands magasins. Dans sa marche vers l’est, il a trouvé le secret d’abandonner ces magasins sans les perdre; par-tout sur sa route il les a vendus aux habitans; ceux de Cordoue lui ont été payés deux millions et demi de réaux.

La frégate anglaise la Guerrière, capitaine Dacres. a été prise par notre frégate la Con - stitution, après un combat très sanglant. La Guerrière avoit 244 hommes d’équipage; elle a eu 15 hommes tués et 63 blessés. Le capi - taine Dacres se trouve parmi ces derniers.

Un Tartare arrivé hier ici, a apporté la nou - velle si intéressante pour nos provinces, de la nomination des hospodars destinés à les gouver - ner. Le prince Charles Calimachi a été nommé prince de Moldavie, et le prince Janko-Karod - schia prince de Valachie. Ces nominations ont

ſetzt. Am 30ſten September befand ſich der Her - zog von Dalmatien fuͤr ſeine Perſon zu Cadaſpara, und wollte ſich unvorzuͤglich zu Sr. Katholiſchen Majeſtaͤt nach San-Felipe begeben.

Unſere Soldaten haben zu Moscau Brandrake - ten eingebracht, die mit einer ſolchen Sorgfalt ver - fertigt waren, daß, wenn ſie angezuͤndet worden, nicht geloͤſcht werden konnten. Jn dem Augen - blick, wo die Soldaten dieſe Entdeckung machten, beſorgte man, daß die Brandſtifter in irgend einem Theil des Kreml Raketen und angeſchwefelte Hede niedergelegt haben moͤchten; genaue Unterſuchun - gen haben aber das Gegentheil bewieſen. Es ſcheint, daß der Feind bey ſeiner blinden Hart - naͤckigkeit glaubte, ſich eine Zeitlang in dieſer Feſtung halten zu koͤnnen, aus welcher er durch einige Kanonenſchuͤſſe vertrieben worden. Die ſchnelle Ankunft unſerer Truppen hat den Kreml gerettet.

Admiral Young iſt mit der ganzen Escadre, welche den Texel blokirte und welche aus 14 Li - nienſchiffen beſtand, in den Duͤnen angekommen.

Lord Wellington iſt von den Cortes als Gene - ralißimus der Armeen in Spanien anerkannt wor - den. Die Cortes haben bey dieſer Gelegenheit eine Nachgiebigkeit gezeigt, die wir nicht erwartet haͤtten. Sich dem Engl. Einſluß zu unterwerfen, ſchien eine Sache, die von ihnen ſchwer z[u]erhal - ten war. Es wird alſo ein neues Kriegsſyſtem befolgt werden, und wir haben Urſache zu befuͤrch - ten, daß, da die Vertheidigung der Spanier und ihre Cooperation untergeordnet wird, ſie viel von ihrer Energie und von jenem Geiſte des Wi - derſtandes und der Hartnaͤckigkeit verlieren, der ſie zu ſo vielen Anſtrengungen bewogen hat.

Ein Schreiben aus Sevilla vom 12ten Sept. enthaͤlt Details, welche beweiſen, daß die Organi - ſation des Militair-Gouvernements des Marſchalls Soult in Andaluſien ſyſtematiſch und vollſtaͤndig war. Er hatte Mittel aller Art geſammelt und große Magazine errichtet. Auf ſeinen Marſch nach dem Oſten fand er das Geheimniß, dieſe Maga - zine zu verlaſſen, ohne ſie zu verlieren. Ueberall auf ſeinem Wege hatte er ſie an die Einwohner verkauft. Die Einwohner von Cordova bezahlten ihm Millionen Realen.

Die Engl. Fregatte la Guerriere, Capitain Da - cres, iſt von unſerer Fregatte la Conſtitution nach einem ſehr blutigen Gefecht genommen worden. Die Guerriere hatte 254 Mann Beſatzung, wovon 15 Mann getoͤdtet und 63 verwundet worden. Der Capitain Dacres befindet ſich unter letztern.

Ein geſtern hier angekommener Tatar hat die fuͤr unſere Provinzen ſo wichtige Nachricht von der Ernennung der Hoſpodare uͤberbracht, die ſelbige regieren ſollen. Der Fuͤrſt Carl Callimachi iſt zum Hoſpodar der Moldau und der Fuͤrſt Janko - Karodſchia zum Hoſpodar der Wallachey ernannt. Dieſe Ernennungen haben unter denjenigen Ein -

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produit une grande sensation parmi ceux des habitans de nos principautés qui sont attachés aux Russes.

Le général Zaltuchin, commandant des trou - pes russes qui sont encore ici, à l’ordre de n’évacuer les forteresses de la Valachie que le 14 Octobre, quoique le nombre de ces troupes diminue tous les jours. L’administra - tion du pays est presqu’entièrement entre les mains des autorités nationales.

M. Gervais, ci-devant chef de bureau au département des affaires étrangères à Péters - bourg, qui avoit été enveloppé dans la dis - grace du secrétaire d’état Spérausky, a été nommé consul de Russie à Jassy. (Journal de l’Empire.)

La perte de Mr. le comte de Zambeccari ne doit ni étonner, ni porter la moindre at - teinte à l’art Aërostatique. avec une ima - gination ardente qui lui faisait souvent outre - passer les bornes qui sont prescrites à l’homme, il dissipa dans sa jeunesse un très - grand bien, et après, il crût retrouver dans un élément aussi léger que son imagination, de quoi réparer les chances de la fortune. Ce physicien crût opiniatrement qu’il existait, en tout temps, dans l’atmosphère, deux cou - rans opposés. Ensorte qu’il imaginait que s’il partait avec une direction vers le midi, il re - viendrait par le coté du nord, et qu’il ne s’a - gissait que de rencontrer la zone se trou - vait ce courant opposé. Nous avons avec ce faux systême le comte Zambeccari nous donner la preuve du contraire en descendant deux fois dans la mer Adriatique, il perdit les mains et presque la vie; ces deux expé - riences manquées ne le rendirent ni plus sage ni plus instruit; il vint à Vienne en 1806 et fit construire, à la faveur d’une souscription, un très-grand aërostat en soie de 38 pieds de diamètre, qui devait être réuni à une mon - golfière de 30 pieds. On travailla 6 mois, on depensa 18000 francs pour ces deux objets, mais comme il fallait encore y ajouter 4400 livres d’acide et 3500 liv. de zinc: les fonds manquèrent et le comte se vit obligé d’aban - donner ce projet gigantesque, après une perte réelle de 20000 liv. La troisième et dernière expérience de Mr. Zambeccari confirme aussi que ce n’est qu’aux procédés des mongolfiè - res qu’il faut attribuer les accidens arrivés dans l’art aërostatique. C’est une mongolfière qui a causé la perte des malheureux Pilatres du Rosier et Romain. Blivari a péri à Or - léans dans une semblable machine qui s’est en - flammée à une très-grande élévation. A Ma - drid Mr. Bouche s’est casse la jambe. Le méchanicien Bittorf n’a pas été plus heureux. Je ne parlerai pas des accidens que j’ai vu arriver à Varsovie, à Pétersbourg, à Vienne, à Copenhague et à Dresde; je me conten - terai de dire qu’en France, qui est le berceau

wohnern unſerer Fuͤrſtenthuͤmer, die Rußland er - geben ſind, eine große Senſation hervorgebracht.

General Zaltuchin, welcher die noch hier befind - lichen Rußiſchen Truppen commandirt, hat befoh - len, die Feſtungen der Wallachey nicht eher als den 14ten October zu raͤumen, obgleich ſich die Anzahl dieſer Truppen taͤglich verringert. Die Adminiſtration befindet ſich faſt ganz in den Haͤn - den der National-Autoritaͤten.

Hr. Gervais, ehemaliger Bureau-Chef im De - partement der auswaͤrtigen Angelegenheiten zu St. Petersburg, der in die Ungnade des Staatsſecre - tairs Speransky verwickelt war, iſt zum Rußiſchen Conſul zu Jaſſy ernannt.

Der Verluſt des Herrn Grafen von Zambeccart kann weder verwundern, noch der aeroſtatiſchen Kunſt Eintracht thun. Gebohren mit einer feuri - gen Einbildungskraft, wobey er oft die dem Men - ſchen vorgeſchriebenen Graͤnzen uͤberſchritt, brachte er in ſeiner Jugend ein großes Vermoͤgen hin - durch, und hernach glaubte er in einem Elemente, welches ſo leicht iſt, wie ſeine Einbildungskraft, die Huͤlfsmittel zu ne[u]em Gluͤck wieder zu finden. Dieſer Phyſiker waͤhnte hartnaͤckig, daß es zu jeder Zeit in der Atmosphaͤre zwey entgegen geſetzte Luftſtroͤme gaͤbe. Er bildete ſich mithin ein, daß wenn er nach dem Suͤden zu abreiſete, er von der Nord-Seite her zuruͤckkommen wuͤrde, und daß es bloß darauf ankaͤme, die Zone anzutreffen, wo ſich dieſer entgegen geſetzte Luftſtrom befaͤnde. Wir haben aber bey dieſem falſchen Syſtem geſehen, daß uns der Graf Zambeccari den Beweis des Ge - gentheils gegeben; indem er zweymal ins Adriati - ſche Meer herabfiel, verlohr er die Haͤnde und faſt das Leben. Dieſe beyden fehlgeſchlagenen Verſuche machten ihn aber nicht kluͤger noch vorſichtiger. Jm Jahre 1806 kam er nach Wien und ließ mit - telſt einer Subſcription einen großen ſeidenen Aeroſtaten, 38 Fuß im Durchmeſſer, verfertigen, der mit einer Montgolfiere von 30 Fuß verbunden werden ſollte. Man arbeitete ein halb Jahr lang an dieſen beyden Sachen und verwandte 18000 Fr. darauf; allein da noch 4400 Pfund Vitriol-Saͤure und 3500 Pfund Zink fehlten, ſo gebrach es an Gelde, und der Graf ſah ſich genoͤthigt, dieſes rie - ſenmaͤßige Project nach einem wuͤrklichen Verluſt von 20000 Franken aufzugeben. Der dritte und letzte Verſuch des Grafen Zambeccari beweiſet uͤbri - gens, daß man bloß dem Verfahren der Montgol - fieren die Ungluͤcksfaͤlle in der Aeroſtatik zuſchrei - ben muß. Eine Montgolfiere verurſachte den Ver - luſt der ungluͤcklichen Pilatres du Roſier und Ro - main. Blivari kam zu Orleans in einer aͤhnlichen Maſchine um, die in einer großen Hoͤhe in Brand gerieth. Zu Madrid brach ſich Herr Bo[u]che ein Bein. Der Mechaniker, Herr Bittorff, war nicht gluͤcklicher. Jch will nicht von den Ungluͤcksfaͤllen ſprechen, die ich zu Warſchau, zu Petersburg, Wien, Copenhagen und Dresden erlebt habe; ich will bloß anfuͤhren, daß in Frankreich, welches die Wiege der aeroſtatiſchen Kunſt iſt, die Regierung die Feuer-Ballons ſogleich verboten hat, wie die

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de l’art aërostatique, le gouvernement a de - fendu les ballons à feu aussitôt que la physi - que et la chimie ont découvert le procédé plus sûr des aërostats en taffetas gommé, et remplis avec le gaz hidrogène, procédé que j’ai toujours suivi et que j’emploirai dimanche prochain.

E. Robertson, membre de la société galv. de Paris et de celle des sciences et arts de Hambourg. !

Nous n’avons point reçu de bulletin de la grande armée; mais les lettres particulières sont des plus satisfaisantes.

La saison est très-bonne; le temps magnifi - que. L’armée profite de cette heureuse dis - position des éléments, pour se refaire entié - rement de ses fatigues.

Le soldat français n’a besoin que d’un mo - ment de repos et de jouissances, pour oublier toutes les peines et toutes les privations. Les habitans de Moscou sont dans l’étonnement de voir ces hommes, transportés comme par enchantement au milieu d’eux, ne s’occuper nullement du passé; prendre gaiment le pre - sent; et n’envisager l’avenir que dans ses rap - ports avec l’honneur et le devoir.

Les lettres dn 6 Octobre annoncent que S. M. le Roi de Naples et le Prince Poniatowsky s’étaient portés sur les traces de l’ennemi dans la direction de Kalouga.

Phyſik und Chemie das ſichere Verfahren der Aero - ſtaten von gummirten Taft und mit Gaz Hidro - géne angefuͤllt haben; ein Verfahren, welches ich ſtets angewandt habe und auch naͤchſten Sonntag wieder anwenden werde ꝛc.

E. Robertſon, Mitglied der Galvaniſchen Societaͤt zu Paris und der Geſellſchaft zur Be - foͤrderung der Kuͤnſte und nuͤtzlichen Gewerbe zu Hamburg.

Wir haben kein Bulletin von der großen Armee erhalten; die Privatbriefe aber ſind von dem an - genehmſten Jnhalt.

Die Jahrszeit iſt ſehr gut; die Witterung vor - treflich. Die Armee benutzt dieſe gluͤckliche Be - ſchaffenheit der Elemente, um ſich von ihren Stra - pazen gaͤnzlich zu erholen.

Der Franzoͤſiſche Soldat bedarf nur einen Au - genblick Ruhe und Genuß, um alle Muͤhſeligkeiten und Entbehrungen zu vergeſſen. Die Einwohner von Moscau ſind erſtaunt daruͤber, zu ſehen, wie dieſe, gleichſam durch einen Zauber in ihre Mitte verſetzten Krieger, ſich gar nicht mit der Vergangenheit beſchaͤfftigen, die Gegenwart froh genießen und die Zukunft bloß in ihren Beziehun - gen mit der Ehre und der Pflicht betrachten.

Die Briefe vom 6ten October melden, daß Se. Majeſtaͤt, der Koͤnig von Neapel, und der Fuͤrſt Poniatowsky dem Feinde in der Richtung von Ka - luga nachgeruͤckt waren.

Dresden.

Der General-Lieutenant Thielmann iſt wegen ſeiner Auszeichnung im Felde von Sr. Koͤnigl. Saͤchſiſchen Majeſtaͤt in den Freyherrn - ſtand erhoben worden.

Die Jſraelitiſche Gemeinde zu Berlin hat wegen Befreyung vom Leibzoll in den Koͤnigl. Saͤchſiſchen Staaten aus Dankbarkeit an Herrn Kaim Samuel in Dresden die Summe von Einhundert und Funf - zig Thalern zur Vertheilung unter arme Huͤlfs - beduͤrftige uͤberſchickt.

Zu Mayland wurde der Seiltaͤnzer Dominicus Serafini von Brescia, der ſeinen auf den Anſchlag - zetteln gemachten Verſprechungen bey der Vorſtel - lung auf dem Theater in keiner Ruͤckſicht ent - ſprach, zu dreytaͤgigem Arreſt verurtheilt, ferner wurde ihm verboten, ſich kuͤnftig auf oͤffentlichen Theatern zu produciren, und uͤberhaupt wurde die eingegangene Summe in Beſchlag genommen, wo - von die gemachten Unkoſten bezahlt und der Ueber - reſt unter die Armen vertheilt wurde.

Avis aux créanciers de Andreas Jacob Maass.

Les créanciers du Sieur A. J. Maass, quin - caillier, demeurant rue Steinstrasse, sont avertis de la part des Syndics provisoires de cette masse, de se présenter par eux ou par leurs fondés de pouvoirs, dans le delai de quarante jours (qui expira le 4 Nov.) au domicile de Jean Runge, rue Grimm No. 16, à l’effet de déclarer à quel titre et pour quelle somme ils sont créanciers du dit Sieur A. J. Maass, comme aussi de leur remettre leurs titres de créances, ou de les déposer au greffe du tribunal de première instance à Hambourg, dont il leur sera donné récépissé.

Georg Elert Bieber. Jacob Hinr. Gläser et Sohn.

Nachricht an die Glaͤubiger von Andreas Jacob Maaß.

Den Glaͤubigern des Herrn A. J. Maaß, Eiſen - haͤndlers in der Steinſtraße, wird von den provi - ſoriſchen Syndiken dieſer Fallitmaſſe angezeigt, daß ſie ſich ſelbſt, oder durch Bevollmaͤchtigte, innerhalb 40 Tagen, welche am 4ten November ablaufen, in dem Hauſe des Herrn Johann Runge, Grimm No. 16, einzufinden haben, um anzugeben, aus welchem Grunde und fuͤr welche Summe ſie Glaͤu - biger des gedachten Herrn A. J. Maaß ſind, und die Beweiſe ihrer Forderungen zugleich einzureichen, oder auf der Greffe des Tribunals erſter Jnſtanz zu Hamburg niederzulegen, woruͤber ihnen ein Em - pfangſchein ertheilt wird.

Georg Elert Bieber. Jacob Hinr. Glaͤſer et Sohn.
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Theater beym Gaͤnſemarkt.

October 1812.
  • Mittewochen, den 21ſten: Das liebe Doͤrfchen, Luſtſpiel in 1 Aufzuge. Hierauf: Die Klein - ſtaͤdter, Luſtſpiel in 5 Abtheil.
  • Donnerſtag, den 22ſten: Das getheilte Herz, Luſt - ſpiel in 1 Aufzuge. Hierauf: Die wandernden Virtuoſen, eine comiſche Oper in 2 Abtheil. Die Muſik iſt von Fioravanti.
  • Freytag, den 23ſten: Die Muͤndel, Schauſpiel in 5 Abtheil.
  • Sonnabend, den 24ſten: Der Thurm zu Neuſtadt, Oper in 3 Abtheil.

Wechsel - und Geld-Course.

Hamburg, den 20 October.

    • Amsterdam Bco. 34 $$\frac{7}{16}$$ St.
    • dito Cassa 107 fl.
    kurze Sicht.
    • dito Bco. 34 $$\frac{5}{8}$$ St.
    • dito Cassa 107 $$\frac{1}{4}$$ fl.
    • Bordeaux 26 $$\frac{3}{16}$$ S.
    • Paris 26 $$\frac{3}{16}$$ S.
    • Basel
    2 Monat dato.
    • Genua 83 gr.
    • Livorno 89
    Uso von 3 Monat dato.
  • Breslau in Banco 42 $$\frac{13}{16}$$ ßl. 6 Wochen dato.

per 100 Rthlr. Bco.

  • Copenh. Cour. Rthlr. kurze Sicht.
  • dito 2 Monat dato.
    • Prager Cour. 208 Rthlr.
    • Wien C. pr. Cassa 208 Rthlr.
    • Augsburg. Cour. 142¾ Rthlr.
    6 Woch. dato.

Geld-Cours.

  • Schlesw. Holst. Spec. besser
    • Hamburger Cour.
    • Dän. gr. Cour. 21
    • Schillinge
    • Neue Stücke
    • Preussisch Cour. pC.
    schlechter als Banco.
  • Louis - u. Frd’or. 11 Mk. 10¼ ßl. das St. in Bco.
  • Louis - u. Frd’or. 14 Mk. ßl. das St. in Cour.
  • Neue Stücke ßl. pf. das St. in Cour.

Von gelehrten Sachen.

Explanatio brevis Psalmi sexagesimi noni, patronis et amicis tradita tum, quum e Gym - nasio Hamburg. discederet, a Cornelio Mül - ler. Hamburgi 1812. 8.

Mit dieſem gelehrten Werkchen hat ſich der Verf., ein Sohn unſers geſchaͤtzten Buchdruckers, Herrn Conrad Muͤllers, bey ſeinem Abgange von den hieſigen Lehr-Anſtalten ſeinen Goͤnnern und Freunden empfohlen. Es iſt ein thaͤtiger Beweis ſeines Fleißes und der Application ſeiner Faͤhig - keiten in Behandlung der Gegenſtaͤnde des oͤffent - lichen Unterrichts; denn er hatte gerade im letzten Jahre einem Collegium uͤber die Pſalmen im Gym - naſium fleißig beygewohnt. Die Huͤlfsmittel, die ihm von ſeinem Lehrer zur Bearbeitung des Pſalm gereicht wurden, hat er hier mit Vorſicht und Ur - theilskraft benutzt und dabey ſehr wackere Kennt - niſſe fuͤr Bibel-Jnterpretation dargelegt. Jn denVorerinneruugen vertheidigt er die neue Anſicht, welche einſt der Recenſ. in den Animadvss. ad auctores vett. Spec. I. von dieſem Pſalm gege - ben hatte; und folgte dabey ſicherlich ſeiner eignen Einſicht, da er wol wußte, daß das jurare in verba magistri hier keine conditio sine qua non ſey. Wir wuͤnſchen, daß dieſer wackere Juͤngling die ſchoͤnen Hoffnungen, die er durch dieſe Arbeit erregt hat, in reiferen Jahren erfuͤllen moͤge. Denn nur armſelige Koͤpfe koͤnnen durch dergleichen fruͤh - zeitig edirte specimina eruditionis zu Stolz und laͤßigem Eigenduͤnkel verleitet werden; beſſere und edlere werden dadurch zur Erfuͤllung hoͤherer Wuͤn - ſche und Hoffnungen geſpornt. Wenn alſo der - gleichen jugendliche Arbeiten nur nicht dem Pu - blicum feilgeboten, ſondern bloß fuͤr Goͤnner und Freunde vertheilt werden, ſo wuͤßten wir nicht, was verſtaͤndige Schul-Directoren dagegen mit Grund einwenden koͤnnten. Bey uns kommt noch hinzu, daß unſer Gymnaſium eine Stufe uͤber den gewoͤhnlichen Schul-Unterricht hinausgeht.

Gurlitt, Dr.

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So eben iſt erſchienen und bey Friedr. Perthes zu haben:

Taſchenbuch fuͤr die Converſation in auslaͤndiſchen Sprachen,

(der Franzoͤſiſchen, Engliſchen, Jtalieniſchen, Span., und Portugieſ., mit Deutſcher Erklaͤ - rung,), zum Behuf fuͤr Reiſende, fuͤr’s geſell - ſchaftliche Leben und fuͤr den Untericht; nebſt einem Anhange, enthaltend: Muſter zu Briefen und kleinen ſchriftlichen Aufſaͤtzen in obigen Sprachen. Jn 12., mit Nompareille gedruckt. 1 Thlr. 12 Gr.

Am 7ten September folgte meiner vor andert - halb Jahren verſtorbenen unvergeßlichen Freundin, Karoline Rudolphi,*)Das weibliche Erziehungs-Jnſtitut der ſel. K. Rudolphi, welches ſeit laͤnger als fuͤnf und zwanzig Jahren ſo viel Heil in Deutſchen Familien verbreitete, wird ſeit deren Tode von ihrer wuͤrdigen Schuͤlerin und vieljaͤhrigen Gehuͤlfin, Mademoiſelle Emilie Heins, in dem Geiſte der Seligen fortgeſetzt. ihre Nichte, Amalie Kruͤ - ger, in die Wohnung der Seligen nach. Ruhig ſahe ſie ihrer Aufloͤſung entgegen, und mit ſtiller Ergebung in den Willen der Vorſehung entſchlum - merte ſie nach einem kurzen Krankenlager im 28ſten Jahre ihres Alters. Neben der Leiche unſrer muͤt - terlichen Freundin ruhet die ihrige. Jn wehmuͤ - thiger Erinnerung an den Verluſt der aͤltern, und im Schmerz uͤber den erlittenen der juͤngern Freun - din, mache ich dieſen Todesfall bekannt, uͤberzeugt, daß allen, welchen die Selige bekannt war, ihr Andenken theuer und heilig bleiben werde.

Emilie Heins.
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Jhre am 26ſten September in Ratzeburg vollzo - gene eheliche Verbindung machen entfernten Ver - wandten und Freunden hiedurch bekannt.

F. von Meding. Friederike von Meding, geb. v. Jſtendorf.

Einberuſung von Conſcribirten.

Mein Sohn Matthias Steller, der vor einiger Zeit ſich von mir entfernt hat, wird hiedurch auf - gefordert, zuruͤck zu kehren, um der Conſcription fuͤr 1812 Genuͤge zu leiſten.

Maria Heller, geb. Lohſe.

Jch fordere meinen Sohn Hinrich Steffens hie - mit auf, ſich unverzuͤglich bey mir zu ſtellen, um der Conſcription Genuͤge zu leiſten.

Hinrich Steffens, zu Poggemuͤhlen.

Ernſt Friedrich Gaͤtcke, welcher als Hufſchmiede - geſell in der Pfingſtwoche d. J. ohne mein Wiſſen in die Fremde gegangen, wird hiemit aufgefordert, unverzuͤglich zuruͤckzukehren und der Conſcription Genuͤge zu leiſten, um dadurch die Haͤrte der Ge - ſetze von ſeinen bekuͤmmerten Eltern abzuwenden.

Joh. Juͤrgen Peters, Stiefvater.

Jch fordere meinen Sohn, Johann Andreas Duncker, hiemit auf, ſich zur Conſcription zu ſtellen.

Michel Friedrich Duncker.

Jch fordere meinen Sohn, den Schloſſergeſellen Chriſtn. Hinr. Ludewig Weſſel, hiedurch auf, ſich aufs baldigſte hier einzuſtellen, um der Conſcrip - tion Genuͤge zu leiſten.

Chr. Gottfr. Otto Hinr. Weſſel.

Mein Sohn, Johannes Guſtavus Kroͤplien, wird hiedurch aufgefordert, ſich ungeſaͤumt bey ſeiner be - kuͤmmerten Mutter einzufinden, um der Conſcrip - tion Genuͤge zu leiſten.

Johanna Eliſabeth Kroͤplien.

Da Chriſtian Friedrich Moͤller ſich vor einigen Wochen heimlich von ſeiner Mutter entfernt und dieſelbe dadurch tief betruͤbt hat, ſo wird er hie - durch aufgefordert, ungeſaͤumt zuruͤckzukehren und der Conſcription Genuͤge zu leiſten.

Johann Garn und Johann Carl Wilhelm Lang - hoff, aus Hamburg gebuͤrtig, werden aufgefordert, ſchleunig zu ihren Eltern zuruͤckzukommen, um der Conſcription Genuͤge zu leiſten.

Jch fordere meinen Sohn, Martin Friederich, auf, ſich ungeſaͤumt einzufinden, um der Conſcrip - tion Genuͤge zu leiſten.

Johanna Friederica Klaucke.

Aufforderung und Bitte.

Unbekannt mit dem jetzigen Aufenthalt meines Sohnes, des Silber-Arbeiters Joſeph Lephard, for - dere ich ihn auf, gemaͤß ſeines Verſprechens, un - verzuͤglich hieher zu kommen, um als Conſcribir - ter des Jahrs 1812 dem Geſetze Genuͤge zu leiſten; Pflichten, denen er ſich als Unterthan und Kind hoffentlich nicht entziehen wird.

Zugleich erſuche ich jeden, der etwas von ſei - nem jetzigen oder kuͤrzlich gehabten Aufenthalt weiß, mich als Menſchenfreund gegen Erſtattung der Koſten baldigſt davon zu benachrichtigen.

Henrich Lephard, in Dienſten Sr. Excell. des Hrn. Grafen von Weſterhold-Gieſenberg.

Aufforderung.

Nachdem der Vollhoͤfener Hans Peter Zevn in Schwinde, Cantons Bardowick, ſeinen daſelbſt be - legenen Hof mit allen dazu gehoͤrigen Pertinentien verkauft hat und der Kaͤufer die etwa auf gedach - tem Hofe haftenden Schulden zu kennen wuͤnſcht; ſo fordert Unterzeichneter alle diejenigen, welche auf erwaͤhnten Hof aus irgend einem Grunde An - ſpruͤche machen zu koͤnnen glauben, hiemit auf, binnen ſechs Wochen demſelben ihre Forderungen anzugeben, und die etwa in Haͤnden habenden Be - weisſtuͤcke beyzubringen, damit deshalb die noͤthige Liquidation und Auseinanderſetzung außergericht - lich betrieben werden koͤnne. Nach Ablauf dieſer Friſt wird ſich obgedachter Kaͤufer auf eine guͤt - liche Zahlung nicht einlaſſen.

P. H. Bruͤgmann, Kayſerl. Notar.

Herr N .... N ...., der vor langer Zeit in Gegenwart der Herren von Oſten, Drawith, Molart und Roͤbe vom Herrn Feldprediger Plieth copulirt wurde, wird dringend erſucht, ſobald wie moͤglich Nachricht von ſich zu geben, da man ihm ſehr wichtige Mittheilungen zu eroͤffnen hat, und ſeine waͤrmſten Freunde nicht wiſſen, wo er ſich dermalen aufhaͤlt.

Meinen Freunden und Goͤnnern empfehle ich mich beſtens und ermangele nicht, ihnen anzuzeigen, daß mein neu etablirtes Waaren-Lager bey den Muͤhren No. 41 jetzt mit den beſten Sorten von Leder voͤllig completirt iſt. Eine reelle und billige Behandlung verſichere ich dieſelben und bitte um ihre fernere Gewogenheit.

Joh. Juſt. Struve.

Bekanntmachung.

Die bisherige Handlungs-Verbindung unter der Firma Chriſtian Freytag et Sohn iſt mit dem heu - tigen Dato gaͤnzlich freundſchaftlich aufgehoben. Die Liquidation der Geſchaͤfte von dieſer Firma uͤbernimmt Chriſtian Freytag ſenior fuͤr ſeine[7]alleinige Rechnung. Erſuchen dahero alle, die noch etwas zu fordern haben unter der Firma Chriſtian Freytag et Sohn, ſich bis Ausgang dieſes Jahrs 1812 bey Chriſtian Freytag ſenior zu melden.

Chriſtian Freytag et Sohn.
Zugleich wird bekannt gemacht, daß jeder ſeine eigne Handlung fuͤr ſich allein unter ſeinem Namen fuͤhrt, welches hiemit unſern Freunden ergebenſt anzeigen
Chriſtian Freytag ſenior. Chriſtian Freytag junior.

Mein Comtoir iſt von heute an neben dem Zip - pelhauſe No. 110, C. VII.

Joh. Chriſtn. Buͤhl.

Avertissement.

Sonnabend, den 24ſten October, iſt der letzte Ziehungstag Kayſerl. Holl. Claſſen-Lotterie, und trift am 30ſten d. M. der letzte Ziehungsbogen hier ein, wo wir unſern auswaͤrtigen Freunden, de - ren Looſe bis jetzt noch nicht gezogen ſind, ſogleich Nachricht ertheilen werden.

Zadich et Wollheim, priv. Kayſ. Holl. Claſſen-Lotterie-Bureau in Hamburg.

Nachricht.

Von der jetzt im Zuge begriffenen, in dieſer Woche aber nun ganz beendigt werdenden letzten Claſſe der 111ten Kayſerl. Hollaͤndiſchen Lotterie, ſind bereits 60 Ziehungsliſten, mit Jnbegriff der ganzen Tagsziehung vom 17ten d. M., bey uns eingetroffen. Jn Folge deſſen ſind die Hauptge - winne von 200000 Fl., 25000 Fl., 20000 Fl., 15000 Fl., 2 von 10000 Fl., nebſt mehrern Ge - winnen und Praͤmien, noch im Gluͤcksrade be - findlich.

Qualificirtes und privilegirtes Bureau Kayſerl. Hollaͤnd. Claſſen-Lotterie von Heine Sohn et Co., auf dem Moͤnkendamm No. 87.

Wann der Eigenthuͤmer Arnold Friedrich Kracht auf Guſtow ſein Vermoͤgen ſeinen Creditoren ab - getreten hat, und von dieſen auf die Eroͤffnung des foͤrmlichen Concurſes angetragen, ſolcher auch hieſelbſt erkannt iſt; ſo ſind alle diejenigen, die an denſelben und das ihm zugehoͤrige Gut Guſtow Forderungen und Anſprache zu haben vermeynen, durch die unterm heutigen Dato erlaſſenen Proclama aufgefordert, ad liquidandum et deducendum jura auf den 28ſten October, oder 2ten December dieſes Jahrs, oder am 16ten Januar kuͤnftigen Jahrs, hieſelbſt zu erſcheinen, und iſt zugleich zur Publication des Praͤcluſiv-Abſchiedes Termin auf den 6ten Februar kuͤnftigen Jahrs angeſetzt. Auch ſind alle, die etwa als Agenten und Lehnfolger ihre Rechte an das Gut Guſtow geltend machen wollen, zur Wahrnehmung ihrer Zuſtaͤndniſſe auf den 28ſten October d. J. vorgeladen, da ſie ſonſt damit als - dann werden praͤcludirt werden.

Koͤnigl. Hofgericht hieſelbſt.

Kundmachung.

Den 8ten Maͤrz dieſes Jahrs iſt der hieſige Baͤcker Jean Pierre Escot, aus Adgé in Langue - doc gebuͤrtig, mit Tode abgegangen, ſeitdem er von ſeinem Nachlaß durch Vermaͤchtniß an den Negreſſe Jeanne Einhundert Moëdes und an die Schwediſche Kirche Fuͤnf und Zwanzig Spaniſche Thaler ausgeſetzt, das von dem Nachlaß Uebrig - bleibende aber an die von ihm ernannten Univer - ſal-Legitaires und Executores des Teſtaments, den hieſigen Herren Kaufleuten Turenne und Degoge, teſtamentirt. Da gemeldete Executores aber, un - ter Beybehaltung ihrer vorerwaͤhnten Eigenſchaft, zum Vortheil des Verſtorbenen Anverwandten ſol - chem Teſtaments-Loos gaͤnzlich entſagen, ſo wird auf Anhalte[n]ſolches den ſaͤmmtlichen Erben hie - mit zu erkennen gegeben, mit der Erinnerung, ihre Klagen, die zwey erſten Diſpoſitionen des Teſta - ments betreffend, vors Gericht dieſer Jnſel binnen Nacht und Jahr, nach der erſten dieſer in dem Hamburger Correſpondenten eingefuͤhrten Kund - machung, geltend zu machen.

Das Gericht benachrichtigt zugleich, daß ſaͤmmt - liche der unbekannten Creditoren des Sterbehauſes durch oͤffentliche Citation am 2ten April naͤchſten Jahrs 1813, vor 12 Uhr Vormittags, eingeladen worden, um bey dem Verluſt alles weitern Spre - chens ihre Forderungen anzumelden.

Zufolge Beſchluß des Gerichts. J. C. Thenſtedt, Notar.

Auf Anſuchen der Wittwe Dorothea Maria Haͤ - deler zu Hamburg wird die derſelben zuſtaͤndige volle Hofe im Dorfe Fiſchbeck, Amts Tremsbuͤttel, mit dem dabey befindlichen voͤlligen Jnventario, am 10ten November dieſes Jahrs, iſt Dienſtag nach dem 24ſten Trinitatis-Sonntage, als der Mar - tini-Tag, oͤffentlich, alternative, zur Verpachtung auf mehrere Jahre und zum Verkauf aufgeboten werden.

Liebhaber dazu koͤnnen ſich beregten Tages, Vor - mittags 10 Uhr, auf der Koͤnigl. Amtſtube zu Tremsbuͤttel einfinden, auch die Bedingungen 14 Tage ante terminum daſelbſt und auf dem Hofe einſehen, ſo wie auch auf dem letztern Gelegen - heit und Anweiſung zur Beſichtigung gegeben wer - den wird.

von Lowtzow.

Zum abermaligen oͤffentlichen Verkauf der zur Concursmaſſe des Peter Muͤnſter gehoͤrigen, zu Winſeldorf in der Herrſchaft Pinnenberg belegenen vollen Hufe Landes cum pert, iſt Terminus auf den 30ſten dieſes Monats, als am Freytage nach dem 22ſten Sonntage Trinitatis, anberahmet; ſol - ches wird hiedurch bekannt gemacht, damit die Kauf - liebhaber ſich an dieſem Tage, des Vormittags um 11 Uhr, im hieſigen Concurs-Gericht einfinden.

Levetzan. M. Matthieſſen.
[8]

Auction von Handzeichnungen und Kupfer - ſtichen.

Am Donnerſtage den 15ten December d. J. und folgenden Tagen, von Morgens 10 Uhr an, ſoll auf dem Boͤrſenſaale hieſelbſt durch den Kayſer - lichen Notar, Herrn Langhans, laut Verzeichniß, der Verkauf der von dem verſtorbenen Herrn Jo - hann Valentin Meyer nachgelaſſenen beruͤhmten Kunſtſammlung geſchehen. Dieſe Sammlung be - ſteht aus Original-Handzeichnungen beruͤhmter al - ter und neuer Meiſter aller Schulen, unter denen trefliche Sachen ſich befinden, und aus gefaßten und ungefaßten Kupferſtichen von den ſchoͤnſten Ab - druͤcken. Verzeichniſſe, die mit Zuverlaͤßigkeit das Weitere ſagen, ſind bey folgenden, Auftraͤge Un - ternehmenden zu haben:

  • in Augsburg bey Hrn. Martin Engelbrecht,
  • Berlin Profeſſor Freidhoff,
  • Weiß Kunſthandlung,
  • Suin,
  • Dresden in der Joh. Heinr. Rittners Kunſt - handlung,
  • Leipzig in der Roſtiſchen Kunſthandlung,
  • bey Hrn. Doctor Stimmel,
  • Mannheim Artaria et Co.,
  • Nuͤrnberg in der Kunſthandlung der Herren Franenholz et Co.,
  • Paris bey Hrn. Portelle, rue St. Honoré No. 54.,
  • Paris bey Hrn. Oſtervald. rue Pelletier No. 3.,
  • Wien bey Hrn. Artaria et Co.,
  • Hamburg bey Hrn. Notar Langhans,
  • Gerdt Hardorff, Zeich - nenlehrer,
  • bey Hrn. J. G. Eckhard,
  • P. H. Packiſchefsky, Makler,

und bey Unterzeichnetem, der auf portofreye An - fragen wegen dieſer Sammlung auswaͤrtigen Kunſt - Freunden ſchriftliche Antwort ertheilen wird.

Joh. Noodt, Makler, Theerhof No. 43.

Auf den Antrag des hieſigen Advocaten und Notarii Gottlieb Wilhelm Skerle, als Bevollmächtigten der Erben des hieſelbſt auf ſeiner Durchreiſe verſtorbenen Kaufmanns David Louis Girard, aus Berlin, werden hiemit alle die - jenigen, welche die angeblich verlohren gegangene, von dem Kaufmann Herrmann Mumſen zu Hamburg an die Ordre des verſtorbenen David Louis Girard unterm 3ten May 1810 über 5162 Mk. 2 Schill. Banco zu 4 Procent Zinſen ausgeſtellte, annoch auf 4462 Mk. 2 Schill. Banco gültige, den 3ten May 1812 zahlbare Schuldverſchreibung beſitzen, oder Anſprüche darauf haben, hiemit aufgefordert, ſich binnen 3 Monaten, und ſpäteſtens den 30ſten December d. J. Vormittags um 10 Uhr auf dem hieſigen Schöppenhauſe, bey dem Gerichtſchreiber Prueckelmeyer, zu melden, ihr Beſitzrecht oder ihre Anſprüche nachzuweiſen, bey nicht er - folgter Meldung aber zu gewärtigen, daß ſie mit ihren etwanigen Anſprüchen und Rechten auf das gedachte Schuld-Document präcludirt, die Erben des oberwähnten Kaufmanns David Louis Girard für die rechtmäßigen Ei - genthümer deſſelben, das Schuld-Document ſelbſt aber für mortificirt und erloſchen erklärt werden wird.

Das Schöppen-Gericht.

Vorladung.

Dem von hier entwichenen Kaufmann Chriſtian Frie - drich Eyſſenhardt wird bekannt gemacht, daß nach eröffne - tem Concurſe über ſein zurückgelaſſenes Vermögen gegen ihn wegen Bankeruts Criminal-Unterſuchung verfügt, und ein Termin zu ſeiner Vernehmung auf den 1ſten May 1813, Vormittags um 10 Uhr, vor dem Herrn Juſtizrathe Thür - nagel in der Gerichtsſtube der Stadtvoigtey anberaumt worden. Dieſen Termin hat derſelbe wahrzunehmen, um ſich perſönlich über den ihm gemachten Vorwurf zu verant - worten. Wenn er ausbleibt, ſo wird die Unterſuchung in contumaciam fortgeſetzt, er verliert ſeine etwanigen Ein - wendungen gegen die etwa vernommenen Zeugen und bey - gebrachten Documente, wie auch alle ſich nicht etwa von ſelbſt ergebende Vertheidigungs-Gründe, und es wird hier - nächſt den Vorſchriften des Geſetzes gemäß gegen ihn er - kannt, das Urtheil auch in ſein zurückgelaſſenes Vermögen und ſonſt, ſo weit es geſchehen kann, ſofort, an ſeiner Per - ſon aber, ſo bald man ſeiner habhaft wird, vollſtreckt werden.

Die Criminal-Deputation des Königl. Preuß. Stadtgerichts.

Edictal-Ladung.

Wir Bürgermeiſtere und Rath der Stadt Roſtock - gen dem Matroſen Johann Groth hiemit zu wiſſen: daß ſeine Ehefrau Margaretha, gebohrne Blaſe, den Deſer - tions-Proceß gegen ihn angeſtellet und um ſeine öffent - liche Citation gebeten habe. Wann nun dieſe hiedurch er - kannt und Termin auf den 18ten November d. J. anberah - met iſt, ſo laden wir ihn, den gedachten Johann Groth, hiedurch peremtorie vor, und wollen, daß er ſodann Mor - gens 10 Uhr auf dem Rathhauſe hieſelbſt vor unſern zum Obergerichte hieſelbſt Verordneten perſönlich erſcheine geſtalten ihm dann ein ſicheres Geleite, um in praefixo frey vor - und wieder abtreten zu können, hiedurch erthei - let wird die Urſachen ſeiner Entfernung vorbringe und demnächſt das Weitere gewärtige, unter dem Nachtheile, daß er im Nicht-Erſcheinungs-Falle für einen böslichen Verlaſſer geachtet, folgends ſeine Ehe mit ihr aufgehoben, und, was ſonſt den Rechten gemäß iſt, wider ihn erkannt werden ſoll.

Demnach der hieſige Bürger Adolph Sauvaigue um das beneficium ceſſionis bonorum geziemend angehalten, und ihm ſolches ſalvis creditorum exceptionibus ver - ſtattet worden; ſo werden hiedurch alle[u]nd jede, welche an denſelben ex quocunque capite vel cauſa einige An - ſprüche haben, ein - für allemal, und alſo peremtorie ci - tirt, ſolche am 23ſten November dieſes Jahrs beym hieſigen Obergerichte gehörig anzugeben, und demnächſt weitere Verfügung zu gewärtigen, mit der Verwarnung, daß das protocollum profeſſionis am erwähnten Tage völlig werde geſchloſſen, und denjenigen, die ſich nicht angegeben haben, ein ewiges Stillſchweigen werde auferlegt werden.

Zum öffentlichen Verkaufe des dem Cedenten zugehöri - gen, an der Johannisſtraße belegenen, mit Regina Eliſa - beth Möller im Süden, Johann Hinrich Schultz, modo deſſen Erben, im Norden, und Johann Tietjens im Oſten benachbarten Erbes, iſt der 30ſte November dieſes Jahrs feſtgeſetzt worden, an welchem Tage, Nachmittags um 2 Uhr, die Liebhaber im hieſigen Rathskell[ e] r ſich einfinden und den Handel verſuchen können. Wornach ſich zu achten.

Ex decreto Senatus.

Jn der geſtrigen Zeitung, in der Aufforderung, den Conſcribirten Rathjen betreffend, leſe man ſtatt Greſtendorf Geeſtendorf.

Supplement
[9]
Supplément an No. 169 du Journal du Département des Bouches de l’Elbe, oder: Beylage zum Hamburgiſchen unpartheyiſchen Correſpondenten.
Am Mittewochen, den 21 October 1812.

Litterariſche Anzeigen.

Das juͤngſt in Dresden in der Arnoldiſchen Buchhandlung erſchienene gedraͤngte Ver - deutſchungs-Woͤrterbuch, von Fr. E. Petri, (zweyte bereicherte und verbeſſerte Auf - lage, 356 S. in 8., Praͤn. Preis bis Michaelis 1 Rthlr., Ladenpreis 1 Rthlr. 12 Gr.) verdient als ein in ſeiner Art vorzuͤglich brauchbares Werk empfohlen zu werden. Es umfaßt die zahlreichen Woͤrter und Redensarten, welche aus fremden Sprachen ſo einheimiſch in der unſrigen geworden ſind, daß ſie gleichſam eine Sprache in der Sprache bilden. Nur ſehr ſelten wird der Geſchaͤftsmann und gebildete Geſellſchafter einen undeutſchen Aus - druck darin vermiſſen, der ihm in wiſſenſchaftlichen Schriften, in Zeitungen und Journalen, oder in der hoͤhern Sprache der Geſellſchaft vorkommen koͤnnte. Selbſt die wichtigſten Kunſtwoͤrter der neueſten philoſophiſchen Schulen finden ſich hier erklaͤrt und verdeutſcht. Ueberhaupt iſt dieſe Schrift eben ſo gut zu brauchen, um die Bedeutung fremd - ſprachlicher Woͤrter und Redensarten zu erfahren, als um fuͤr jedes Wort die verſchiedenen aͤchtdeut - ſchen, jenen gleichgeltenden Woͤrter und Ausdruͤcke kennen zu lernen, welche verſchiedene Deutſche Sprachforſcher vorgeſchlagen haben. Dadurch wird dieſe Schrift vorzuͤglich geſchickt, in hoͤhern Buͤr - gerſchulen und in Gymnaſien als ein weſentliches Huͤlfsmittel bey dem Unterricht in der Deutſchen Sprache eingefuͤhrt zu werden. Bey jedem Worte iſt angegeben, aus welcher Sprache es ſtammt; auch iſt bey jedem, wo moͤglich, die Ausſprache und die Silbe, welche den Vorton hat, deutlich und richtig bezeichnet. Bey den wiſſenſchaftlichen Kunſt-Ausdruͤcken iſt die Wiſſenſchaft, in deren Gebiet ein jeder gehoͤrt, angezeigt; vorzuͤglich ſind viele Kunſt-Ausdruͤcke aus der Arzneykunſt, der Baukunſt, der Kaufmannsſprache, der Mathematik, der Rechtsſprache und der Tonkunſt aufgenommen. Feines weißes Papier, ſcharfe nicht zu kleine Let - tern, correcter Druck, lichtvolle Anordnung und deutliche Abkuͤrzungen gewaͤhren den bequemſten Handgebrauch.

*** e.

Ankuͤndigung.

Eine rein objective Unterſuchung des Weſensder Kunſt und eine conſequente Folgerung des Practiſchen der Kuͤnſte aus einer Theorie, welche ſich auf jene Unterſuchung ſtuͤtzt, iſt von Einigen fuͤr unausfuͤhrbar gehalten worden. Jch habe in einer Kritik der Kunſt den Weg rein objectiver Entwickelung der Begriffe Kunſt und Schoͤnheit verſucht und darauf eine practiſche Anſchauung der Kuͤnſte gegruͤndet. Dieſe Kritik widme ich mit Ueberzeugung und Beſchei - denheit den Aeſthetikern, Kuͤnſtlern jedes Zweiges der Kunſt, und den Kunſtfreunden. Keine Theorie vermag ſchaffenden Genius zu geben, aber ſie kann den Kunſtſinn im Allgemeinen ſchaͤrfen und erhoͤ - hen, kann die Empfindung fuͤr das Schoͤne ver - edeln, und ſchon hierdurch geht ſie nuͤtzend auf das Werk des ſchaffenden Kuͤnſtlers uͤber.

Freyh. v. Seckendorf, genannt Patrik Peale, Dr. der Philoſophie und Privatlehrer an der Univerſitaͤt Goͤttingen.
Dieſe Kritik der Kunſt iſt in meinem Ver - lage erſchienen und in allen guten Buchhandlun - gen fuͤr 1 Rthlr. 16 Ggr. zu haben.
Johann Friedrich Roͤwer.

Fuͤr Juriſten.

Bey G. F. Heyne in Gießen iſt erſchienen:

Ausfuͤhrliches Handbuch uͤber den Code Napoleon von Dr. K. Grolman, Grh. Heſſ. Ober-Ap - pellations-Gerichtsrath und Profeſſor in Gießen. 1ſter, 2ter und 3ter Band. Ladenpreis dieſer 3 Baͤnde 8 Rthlr. 12 Ggr.

Die Beſorgniſſe des Publicums, daß dies von Deutſchen und Franzoſen als claßiſch anerkannte Werk etwa unvollendet bleiben oder wol nicht fort - geſetzt werden koͤnnte, finden ſich durch das raſche Fortſchreiten deſſelben ſchon hinlaͤnglich beſeitigt. Mit der in dem Plane dieſes ausfuͤhrlichen Hand - buchs liegenden Vollſtaͤndigkeit ſind in dieſen drey Baͤnden, außer der Einleitung, folgende Gegen - ſtaͤnde behandelt: 1) Von der Publication der Wir - kung und der Anwendung der Geſetze. 2) Von der Wirkung und dem Umfange der Geſetze. 3) Von dem Verhaͤltniſſe der Geſetze zu den Richtern. [10]4) Von dem Verhaͤltniſſe der Geſetze zur Auto - nomie der Privaten. 5) Von dem Genuſſe und Verluſte der Civilrechte. 6) Von der Beurkun - dung des buͤrgerlichen Zuſtandes. 7) Von dem Wohnſitze. 8) Von den Abweſenden. 9) Von der Ehe. 10) Von der Eheſcheidung. Verfaſſer und Verleger verſichern die eifrige Fortſetzung dieſes Werks, das in keiner Bibliothek eines Rechtsge - lehrten ſehlen ſollte, ihn auch der Anſchaffung einer Menge anderer Schriften uͤber das Napoleoniſche Geſetzbuch enthebt.

(Jſt zu haben in Hamburg bey Friedr. Perthes.)

Auch iſt noch in obiger Buchhandlung neu er - ſchienen:

Theoretiſch-practiſche Abhandlung uͤber die Lei - tung des Waſſers in Kanaͤlen und Roͤhrenlei - tungen, von Prony. Aus dem Franzoͤſ. mit vielen Anmerkungen und Erlaͤuterungen von K. Chr. Langsdorf, geh. Hofr. und Prof. in Heidelberg. Mit Kupfern. 4. 1812. 3 Rthlr. oder 5 Fl. 24 Kr.

Prony’s große Verdienſte und Erweiterung ma - thematiſcher Kenntniſſe ſind in Deutſchland eben ſo anerkannt, als in Frankreich. Der beruͤhmte Herr Herausgeber wurde durch den vorzuͤglichen Werth dieſes Werks und ſeinen practiſchen Nutzen fuͤr ſo wichtige Gegenſtaͤnde und Beduͤrfniſſe des buͤrgerlichen Lebens zur Deutſchen Bearbeitung veranlaßt. Der Verleger hofft mit dem Herrn Ueberſetzer, das Deutſche Publicum werde die ſo mit Sorgfalt verbeſſerte und erwe[i]terte Arbeit mit Beyfall aufnehmen. Man findet das Werk um obigen Preis in allen guten Buchhandlungen (in Hamburg bey Perthes).

Real-Regiſter zum Hanfeatiſchen Geſetz-Bulle - tin, von Dr. A. H. v. Poſt, Richter beym Tribunale erſter Juſtanz zu Bremen.

Der Verfaſſer glaubt durch dieſe Arbeit den Gerichts - und Verwaltungs-Beamten der Hanſea - tiſchen Departements einen angenehmen Dienſt zu leiſten, da bey der Schnelligkeit, welche der Dienſt erfordert, jedes Huͤlfsmittel zum Auſſuchen der Geſetze und Verordnungen ihnen willkommen ſeyn muß. Das bekannte hoͤchſt verdienſtliche Reperto - rium des Herrn General-Advocaten Spangenberg iſt freylich in jedermanns Haͤnden; allein dieſes giebt nur eine allgemeine Ueberſicht der Franzoͤſi - ſchen Verordnungen unter Haupt-Rubriken, worin dieſe Verordnungen nach ihren Hauptgegenſtaͤnden angezeigt ſind. Das Detail derſelben konnte, dem Zwecke des Herauſgebers zufolge, darin nicht an - gegeben werden; es mußte daher dem Nachſchlagen - den die Muͤhe uͤberlaſſen bleiben, durch Verglei - chung der angezeigten Verordnungen das, was er ſucht, aufzufinden, und gerade dieſe Muͤhe und dieſen Zeitaufwand hofft der Verfaſſer dieſes Real-Regiſters den Geſchaͤftsmaͤnnern zu erleich - tern und abzukuͤrzen. Dieſes Werk erſcheint in einigen Wochen bey Joh. Georg Heyſe, Buchhaͤnd - ler in Bremen. Beſtellungen darauf werden in Hamburg bey Herrn Fr. Perthes und in Bremen in der Verlagshandlung angenommen.

Osnabruͤck.

Jn der Croneſchen Buch - und Kunſthandlung iſt ſo eben erſchienen und durch alle gute Buchhandlungen zu erhalten: Schoͤnermarck’s, A., vollſtaͤndige Anweiſung fuͤr Franzoͤſiſche Notarien in Hinſicht ihrer Rechte, Pflichten, Verhaͤltniſſe und Geſchaͤfte, nebſt einem nothwendigen Anhange der Grund - geſetze des Franzoͤſiſchen Notariats, in Franzoͤ - ſiſchem Text mit Deutſcher Ueberſetzung und. mehreren Tabellen, herausgegeben von Dr. R. C. Gittermann. gr. 8. Preis 1 Rthlr. 12 Ggr.

Von dem Königl. Preußiſchen Juſtiz-Amte Rüdersdorf werden

  • 1) die unbekannten Erben des hieſelbſt verſtorbenen Amts - Brauers Johann Chriſtian Schmidt,
  • 2) der Johann Gottlieb Schrobitz von der am hieſigen Kalkſee belegenen Ziegeley,

3) der Schiffer Friedrich Zimmermann aus Rüdersdorf, oder die etwanigen unbekannten Erben der ſeit länger als 10 Jahren abweſenden ꝛc. Schrobitz und Zimmermann, auf Anſuchen ihrer reſpectiven Verwandten, hiermit öffent - lich vorgeladen, ſich innerhalb 9 Monaten oder ſpäteſtens in dem auf hieſiger Amts-Gerichts-Stube auf den 30ſten April 1813, Vormittags um 10 Uhr, angeſetzten Präjudi - cial-Termin entweder in Perſon oder ſchriftlich zu mel - den, widrigenfalls ſie reſpective zu gewärtigen haben, daß das hinterlaſſene Vermögen des ad 1) gedachten Schmidt mit erfolgter höherer Genehmigung ſeiner hinterlaſſenen Wittwe ausgehändiget, die beyden ad 2) und 3) gedachten Verſchollenen aber für todt erklärt, und demnächſt ihr ſämmtliches zurückgelaſſenes Vermögen ihren nächſten Er - ben, welche ſich als ſolche dazu geſetzmäßig legitimiren können, zugeeignet werde.

Königl. Preuß. Kurmärk. Juſtiz-Amt. Rütow. Hartmann. Krauſe.

Da wegen der von den Kaufleuten Hirſch und Abraham Roſenthal zu Barby abgegebenen Erklärung ihrer Jnſol - venz Concurs über deren Vermögen eröffnet worden, ſo werden ſämmtliche bekannte und unbekannte Gläubiger der - ſelben, ſub poena praecluſi und bey Verluſt der Wieder - einſetzung in den vorigen Stand, hierdurch edictaliter und peremtoriſch vorgeladen, in dem vor dem Herrn Tribunals - richter Weber auf den 6ten März 1813 angeſetzten Liquidations - und event[u]ellen Vergleichs-Ter - min ihre Forderungen anzugeben und zu beſcheinigen, und mit dem Curatore litis et bonorum, nach dem beſchloſ - ſenen Verfahren in termino den 16ten April 1813 die Publication eines Präcluſions-Erkenntniſſes, in Hinſicht der Ausgebliebenen, hiernächſt, im Fall zwiſchen ihnen und dem Curator kein Vergleich zu Stande kommt, in termino den 29ſten April 1813 die Jnrotulation der Acten zur Abfaſſung eines Deſinitiv - und Locations-Erkentniſſes, und in termino den 11ten Junii 1813 die Publication des Erkenntniſſes zu gewärtigen.

Zugleich wird ihnen eröffnet, daß, ſo weit ſich die Sache gegenwärtig überſehen läßt, die Paßivmaſſe die Activmaſſe um ein Bedeutendes überſte[i]gt.

Endlich werden alle und jede, welche Documente, baare Gelder oder ſonſtige Effecten von den Gemeinſchuldnern in Händen haben, hierdurch aufgefordert, von denſelben ſub poena dupli den Gemeinſchuldnern nichts auszuzah - len oder auszuantworten, ſondern vielmehr alles an die Greſſe des Königlichen Tribunals abzuliefern.

Uebrigens haben die auswärtigen Gläubiger, Behufs ihrer desfallſigen Geſchäfte, einen hieſigen Procurator, dem in Zukunft die Citationen inſinuirt werden können, zu beſtellen, und mit Jnformation und Vollmacht zu verſehen,[11]wozu ihnen die Herren Procuratoren Scholinus, Lüdeke und Vatke hiermit vorgeſchlagen werden.

.
Königl. Weſtphäliſches Civil-Tribunal.

Auf den Antrag des Erbpächters Milbradt in Cam - penau, als gerichtlichen Curators, und der Anna Maria, verehelichten Finnohr, gebohrnen Roſenbaum, in Chriſt - burg, ſo wie des Müller-Geſellen Samuel Roſenbaum, als Geſchwiſter des ſchon ſeit länger als 10 Jahren abweſen - den Müller-Geſellen Michael Roſenbaum, welcher vor un - gefähr 17 bis 18 Jahren krank nach Litthauen gewandert und ſeitdem von ſeinem Leben oder Aufenthalt keine Nach - richt gegeben, wird dieſer abweſende Müller-Geſell Michael Roſenbaum oder deſſen unbekannte Leibes-Erben hiedurch öffentlich vorgeladen, ſich vor oder in dem auf den 20ſten April 1813 in der Gerichts-Stube zu Finkenſtein angeſetz - ten peremtoriſchen Termin perſönlich oder ſchriftlich zu melden und weitere Anweiſung, oder zu gewärtigen, daß er nach dem Antrage ſeiner beyden oben genannten Ge - ſchwiſter für todt erklärt und ſein in 140 Rthlr. beſte - hendes väterliches und mütterliches Vermögen ſeinem Geſchwiſter, als ſeinen nächſten Erben, zugewieſen wer - den wird.

Urkundlich unter Beydrückung des Patrimonial-Ge - richts-Siegels und der gewöhnlichen Unterſchrift ausge - fertiget.
Reichsgräfl. zu Dohnaſches Patrimonial - Gericht zu Finkenſtein.

Der Kaufmann Chriſtian Friederich Müller aus Bre - men wird zur Liquidation ſeiner Forderung an die Debit - maſſe des verſtorbenen hieſigen Handelsmanns Johann Jacob Platz, cum termino von zwey Monaten, unter dem Präjudiz, aus der vorhandenen Maſſe ſonſt keine Zahlung zu erhalten, andurch öffentlich vorgeladen.

Fürſtlich und Gräflich Löwenſteiniſches Stadt-Amt. v. Berg. Vdt. Goebel, Actuar

Frederik der Sechste, von Gottes Gnaden - nig zu Dännemark, Norwegen, der Wenden und Gothen, Herzog zu Schleswig, Holſtein, Stormarn und der Dithmarſchen, wie auch zu Oldenburg ꝛc.

Es haben der Herr Geheime-Conferenzrath und Ver - bitter des adelichen Kloſters zu Jtzehoe, Joſias von Qua - len, Großkreuz ꝛc., und der Kammerherr und Probſt des adlichen Kloſters zu Preetz, Cal Wilhelm von Ahlefeldt, als verordnete Executoren des von dem verſtorbenen Land - ſaſſen Hinrich Rumohr auf Bothkamp hinterlaſſenen Te - ſtaments, allerunterthänigſt angezeigt, daß in dem von dem Defuncto ſ. d. Bothkamp den 3ten October 1799 er - richteten Teſtament, in Anſehung des adlichen Guts Both - kamp, mit den dazu gehörigen Meyerhöfen und übrigen Pertinentien, eine fideicommiſſariſche Diſpoſition, benebſt der Succeßions-Ordnung, in dieſem Gute verordnet wor - den, und des Endes Nachſtehendes verfügt ſey:

§. 1.

Zu meinem alleinigen und Univerſal-Erben ſ[e]tze und ernenne ich hiemit meiner Schweſter, der verwittweten Frau Kammerherrin Chriſtina Friedericka von Bülow, ge - bohrnen Rumohr, zweyten Sohn, Detley Hinrich von Bülow.

§. 2.

Sollte mein inſtituirter Univerſal-Erbe vor mir mit Tode abgehen, ſo ſubſtituire ich demſelben in dieſer Eigen - ſchaft ſeinen zunächſt auf ihn folgenden Bruder Cai So - phus von Bülow; ſollte dieſen ein gleiches Schickſal tref - fen, ſo ernenne ich an deſſen Stelle ſeinen jüngſten Bruder Friederich von Bülow als ſubſtituirten Univerſal-Erben; und dieſem ſubſtituire ich endlich, wenn er ebenfalls vor mir verſtorben ſeyn möchte, ſeinen älteſten Bruder Johann Rudolph von Bülow. Sollten, wider alles Verhoffendieſe eben genannten Vier Gebrüder von Bülow vor mir Todes verfahren, ſo wird denenſelben der jetzt lebende ein - zige Sohn meiner älteſten Schweſter Dorothea Jda Jo - hanna, verwittweten Frau Kammerherrin von Meuter, gebohrnen Rumohr, Carl von Meurer, hiedurch in dieſer Qualität ſubſtituiret.

§. 3.

Mein adeliches Gut Bothkamo, zuſammt den dazu gehörigen Meyerhöfen Schoenhagen, Bockhorſt und Alten - rade, und allen übrigen dazu gehörigen Pertinentien, be - lege ich mit einem perpetuo fideicommiſſo familiac, ſolchergeſtalt, daß mein vorhin genannter und inſtituirte[r]Univerſal-Erbe, oder deſſen Subſtitutus und ſeine eheliche Nachkommenſchaft, dieſe Grundſtücke, nach der ſofort wei - ter feſtzuſetzenden nähecen Vorſchrift, in Anſehung des Genuſſes derſelben und demnächſt vorzuſchreibender Suc - ceßions-Ordnung, als ein Fideicommiß beſitzen, nutzen und gebrauchen ſoll.

§. 4.

Ein jeder der ſo eben benannten erſten Beſitzer dieſes Fideicommiſſi, und die folgenden, wenn die Ordnung der Erbfolge einen jeden dazu rufet, ſoll die zu dieſem Gute Bothkamp gehörigen Grundſtücke weder zu verka[u]fen, noch zu verpfänden, oder ſonſten ganz oder zum Theil zu ver - äußern und ſelbige mit einigen Schulden weiter zu be - ſchweren, als ich ſolches im Verlauf dieſes zu beſtimmen für gut finden werde, ermächtiget ſeyn. Er iſt ferner nicht befugt, von dem vorhandenen Holze, der Regel nach, mehr als zum Gebrauch und zur Unterhaltung der Ge - bäude und anderer Gutsbedürfniſſe erforderlich iſt, auf dem Gute fällen zu laſſen, Glashütten darauf anzulegen, Ziegeleyen weiter als zur Nothdurft des Gutes zu halten, die bey meinem Leben und zur Zeit meines Ablebens ge - ſchloſſenen Waldungen und ſonſtigen Zuſchläge mit keiner Art des Viehes beweiden und die Befriedigungen und Einhegungen verfallen, vielmehr ſelbſt in beſtmöglichſtem Stande unterhalten zu laſſen, noch weniger überhaupt zum Nachtheil des Fideicommiſſi etwas vorzunehmen er - mächtiget, ſondern, da ich dieſes alles ausdrücklich unter - ſage und hiedurch verbiete, ſich bloß mit der haushälteri - ſchen Abnutzung und den Einkünften der[[fi]]deicommiſſari - ſchen Stücke zu begnügen ſchuldig. Eben dieſes uſufru[c]- tuariſchen Beſitzes des Gutes Bothkamp wegen, iſt es dem jedesmaligen Beſitzer deſſelben erlaubt, die dazu gehörigen Höfe ganz oder zum Theil auf Zeitpacht zu verhäuren, wenn er ſie nicht ſelbſt adminiſtriren laſſen will, der von ihm darüber zu errichtende Pacht-Contract aber muß, ſo wie die zur Verhäurung zu entwerfenden Conditionen, mit Zuſtimmung der Herren Executoren errichtet werden, und dieſe werden dabey vorzüglich zu ſehen erſuchet, daß dieſe Zeitpachten ſo eingerichtet werden, daß die Subſtanz der Güter dabey nicht eine Deteriorirung erleide. Sollte in - deſſen ein Fideicommiß-Beſitzer dieſen Vorſchriften in ei - nem oder andern Stücke vorſetzlich entgegen handeln, ſo ſoll er dadurch, eo ipſo, für ſeine Perſon des Rechts und des Genuſſes an und in dem Fideicommiſſo verluſtig ſeyn, daſſelbe ſeinem Nachfolger Jnhalts der weiter un - ten zu beſtimmenden Erbfolge anheim fallen,[u]nd er gleich - wol gehalten bleiben, den dem Fideicommiß durch ſeinen perverſen Gebrauch erweislich zugefügten Schaden zu erſetzen.

So ſtehet es anbey einem jeden Beſitzer des Fidei - commiß-Gutes Bothkamp frey, ſeiner Gemahlin und künf - tigen Wittwe ſtatt der ſonſt gebräuchlichen Wiederfalls - Gelder bis auf Funfzehnhundert Rthlr. jährlichen Witt - wen-Gehalts aus dem Gute zu verſichern. Jnzwiſchen geht dieſes Wittwen-Gehalt nur auf eine Wittwe; träfe ſich daher der Fall, daß zwey Wittwen da wären, ſo maß die jüngere den Abgang der ältern, es ſey durch Tod oder Wiederverheyrathung, erwarten; überhaupt aber höret aller Wittwen-Gehalt aus dem Fideicommiſſo bey der Wie - derverheyrathung auf.

Keiner derjenigen, der zum Beſitz und Genuß dieſes Fideicommiſſes gelanget, es ſey der erſt ernannte inſtituirte Univerſal-Erbe oder die künftigen Jnhaber nach ihm. [12]ſoll zu irgend einiger Caution und Edirung eines Jnven - tarii ſchuldig ſeyn, ſondern ein jeder derſelben das auf ihn kommende Fideicommiß von allem dieſen frey antre - ten. Dahingegen aber habe ich zu den verordneten Herren Executoribus das Zutrauen, ſie werden, vermöge ihres Amtes, ſich angelegen ſeyn laſſen, dahin vor allen Dingen mit zu ſehen, daß nach dieſer von mir in dieſem Teſta - ment gegebenen Vorſchrift die Güter von dem jedesma -[l]igen herede fiduciario beſeſſen und genutzet, und die Subſtanz derſelben darnach conſerviret und erhalten werde. Zu dieſem Ende bitte und erſuche ich dieſelben, daß ſie die Güte haben, ſich zu Zeiten, und wenn ſie es nöthig finden, wenigſtens ein Jahr ums andere, zu einer ihnen bequemen Zeit in Perſon nach den Fideicommiß-Gütern zu begeben, als zu welchen Reiſen ihnen auf ihr Verlan - gen ſogleich die erforderlichen Vorſpannpferde von den Höfen, wohin ſie ſolche verlangen, geſandt werden ſollen, daſelbſt, allenfalls in Gegenwart und mit Zuziehung der Gutsbedienten, als welche ihnen von allem Nachricht zu geben haben, die Haushaltung auf den Feldern, beſonders die hauswirthſchaftliche Benutzung und Conſervation der Hölzung, meiner Vorſchrift gemäß, ſo wie in Hinſicht der Unterhaltung der Gebäude auf den Höfen, in den Dör - fern und den Feldern alles nachſehen, in wie ferne ſich ſolches alles im haushälteriſchen Stande befindet, und wenn ſie Mängel in dieſem oder jenem Stücke nach ihrer Einſicht bemerken, ſolche dem jedesmaligen Beſitzer des Fideicommiſſes zur Abſtellung und Verbeſſerung anzeigen; in wie ferne ſich dann dieſe Mängel bey der nächſtfolgen - den Beſichtigung nicht hergeſtellet finden möchten, haben ſie darüber höheren Orts Anzeige zu thun, damit durch richterliche Hülfe dieſen Mängeln abgeholfen werde und felbigen für die Zukunft Einhalt geſchehe, auch nach be - fundenen Umſtänden die oben beſchriebene poena priva - toria gegen den Beſitzer eintreten könne.

§. 5.

Jndem ich in dem Anfang des vorhergehenden §. die Art und Weiſe, wie der Regel nach der Beſitz und Genuß des von mir conſtituirten Fideicommiſſi, mit welchem ich das Gut Bothkamp und die dazu gehörigen Höfe und ſonſtigen Stücke bel[e]get habe, von dem jedesmaligen he - rede fiduciario eingerichtet und geführet werden ſoll, ſeſtgeſetzet habe; ſo finde ich mich doch bewogen, dar - über in gewiſſen Fällen eine Ausnahme von dieſer Regel eintreten zu laſſen, und zu dieſem Behuf Nachſtehendes feſtzuſetzen. So viel demnach

1) den unterſagten Verkauf und die Veräußerung der zu dem adelichen Gute Bothkamp gehörigen Stücke betrifft, bleibt es mein unveränderter Wille, daß die größeren Stücke deſſelben, nämlich der Haupthof Bothkamp und die dabey von jeher gelegt geweſenen Höfe: Schoenhagen, Bockhorſt und Altenrade, auch, wenn ich mich entſchließen ſollte, außer dieſen annoch einen oder mehrere neue Meyer - höfe anzulegen, ſo lange es immer möglich, in ihrem Gan - zen und unzerſtückelt erhalten und conſerviret bleiben, auch überall nichts davon als eigenthümlich veräußert werde, mithin von dem jedesmaligen Fideicommiß-Beſitzer vorbe - ſchriebenermaßen durch Zeitverpachtungen genutzet werden, wenn auch eine ſolche Nutznießung mit einem mäßigen Ab - gang in den Revenuen verbunden ſeyn mögte. Sollten ſich indeſſen bey der allgemeinen Verfaſſung der Güter hier in Holſtein ſolche Umſtände ereignen, wo nach dem Wunſche des Beſitzers und mit Gutbefinden der Herren Executoren die Parcelirung eines oder mehrerer dieſer mit dem Fidei - commiß belegten Güter und Höfe unumgänglich nothwen - dig oder auffallend und augenſcheinlich nützlich würde; ſo autoriſire ich die Herren Executoren hiedurch zu einer ſolchen Einrichtung; nur bitte ich, in dieſem Falle belie -[b]igſt dafür zu ſorgen, daß eine ſolche Veränderung nicht zum etwanigen bloßen Vortheil des Fiduciarii durchgeſetzet, verfolglich, wenn es ſeyn kann, nichts an Kaufgeld ſogleich, zwar ausgezahlet, dagegen aber der jährliche Canon er - höhet werde, damit überhaupt bey ſolcher Gelegenheit die Subſtanz der Güter nicht leide; in allem aber bey dieſem Geſchäfte dahin Sorge zu tragen und es zu veranſtalten, des der jedesmalige Fideicommiß-Beſitzer ſich mit der Haus - hälteriſchen Abnutzung begnügen laſſe. Auf gleiche Weiſe ſoll es auch mit der Ueberlaſſung der Hufen in den Dör -fern, oder der kleinen Häuer[ſt]ellen im Gute gehalten wer - den, bey welchen auch nur die Ausnahme des ſichtbaren Nutzens, die Veräußerung zum Eigenthum auf Erbpacht anrathen läßt, ſonſt aber die Zeitpacht als das Gewöhn - liche eintritt; da dann in dem Falle der eigenthümlichen Ueberlaſſung die Herren Executoren dahin zu ſehen ange - wendet ſeyn werden, daß entweder gar kein Kaufgeld und deſto höherer Canon, oder im Fall Kaufgeld bezahlet wird, dieſes gleich, wie es bey Parcelirungen der größeren Höfe ebenfalls geſchehen ſoll, wenn es bey deren Zerſtückelung ſtipuliret und bezahlet wird, mit zum Abtrag der Schul - den, die auf die Subſtanz des Gutes haften, ſie mögen annoch von mir herrühren, oder nach der ſogleich folgen - genden Beſtimmung von dem Beſitzer des Fideicommiſſes contrahiret ſeyn, verwendet werden.

2) Auf gleiche Weiſe will ich, da ich die Erhaltung und Erſparung des Holzes als das größte Kleinod für die Er - haltung des Guthes Bothkamp anſehe, und darauf beſon - ders Rückſicht zu nehmen verordne, den, der Regel nach, unterſagt bleibenden Holz-Verkauf in demſelben cum per - tinentiis dahin modificiren, daß auf den Fall, da der zeitige Beſitzer des Gutes durch unvorhergeſehene und durch ſeine Schuld nicht erwachſene Unglücksfälle, ſie be - ſtehen ſonſt worin ſie wollen, einen ſolchen Abgang in den Revenuen erlitten, daß er bis gegen die Hälfte der ſonſt in guten Jahren gewöhnlichen Einnahme eingebüßt, oder der Beſitzer in die Nothwendigkeit verſetzet werden möchte, bey außerordentlichen Vorfällen, nach der ſofort weiter zu beſtimmenden Vorſchrift, Gelder aufzunehmen, es erlaubt ſeyn ſolle, einiges Holz zu ſchlagen und zu ver - kaufen, um dadurch dem Beſitzer ſeinen Schaden in etwas zu erſetzen, oder die aufgenommenen Schulden zu tilgen. Zu dieſem Holz-Verkauf ſoll aber nur dasjenige genommen werden, was auf den Guts - und Dorfsfeldern als Sprang - holz ſtehet, damit dieſe zugleich von dem Ho[l]ze gereiniget werden. Zur Zeit und in einem Jahre muß aber nicht mehr als für etwa Zwey Tauſend Rthlr. gefället und ver - kauft werden. Doch erweitere ich dieſe Erlaubniß für mei - nen erſten inſtituirten Univerſal-Erben Detlev Hinrich von Bülow dahin, daß es ihm, in ſo ferne von dem Sprang - Holze hinreichender Vorrath vorhanden, mit Gutbeſinden der Herren Executoren freyſtehe, von dieſem Holze jährlich bis zur Summe von Fünf Tauſend Rthlrn. zu ſchlagen, und er dieſes Geld nicht zu Abtragung von Schulden, ſon - dern zu ſeinem und ſeiner Kinder und Familien Beſten anzuwenden freye Macht haben könne. Wobey ich denn zugleich wünſche, daß, in ſo ferne bey der von mir derma - len vorzunehmenden Einrichtung in dem Gute, der Plan, ſo wie ich ſelbigen auch in Anſehung der Aufräumung des Sprangholzes angefangen, bey meinem Ableben noch nicht vollführt ſeyn möge, darin, ſo viel möglich, nach der An - lage, die ich darüber gemacht, mit verfahren werde. Die geſchloſſenen Waldungen und Zuſchläge bleiben aber von der Fällung zum Verkauf ganz ausgeſchloſſen, als welche forſtmäßig cultiviret, mit guter Einfriedigung verſehen bleiben, und nur daraus das abgängige und auf Schaden ſtehende Holz herausgenommen und zu den Bedürfniſſen des Gutes verwendet wird. Das Weichholz wird gehö - rig ausgehauen, und der Abfall zum Nutzen des Gutes verwendet, auch die Cultur und Anpflanzung deſſelben auf alle Weiſe befördert. Alles dieſes bleibet der Direction der Herren Executoren, mit welchen der Beſitzer darüber zuſammen treten muß, untergeordnet, die nach ihren be - ſten Einſichten und Ermeſſen darüber das Nähere, in Ein - richtung der Art des Verkaufs und der Stellen, wo ſelbi - ges weggenommen werden ſoll, mit dem Beſitzer des Gutes auszumitteln belieben werden. Sollten indeſſen die Ein - richtungen des Guts eine Holzfällung außer den vorange - zeigten Fällen nöthig machen, ſo kann ſelbige auch vorge - genommen werden, das daraus gelöſete Geld aber muß entweder zur Abführung von Schulden angewendet, oder wenn dieſe nicht da ſind, zur ſichern Belegung ausgeſetzet werden. Jn dieſem Falle genießt der Beſitzer des Gutes die Zinſen davon ſo lange, bis der Hauptſtuhl bey ſich er - eignenden Vorfällen zur verſchriebenen Beſtimmung ver - wendet werden kann.

3) Auch die Beſchwerung der Subſtanz des Guts Both - kamp mit darauf zu contrahirenden Schulden bleibt dem[13]jedesmaligen Beſitzer, der Regel nach, in alle Wege unter -[ſ]aget. Zu mehrerer Erleichterung deſſen aber will ich in - deſſen dieſes als eine Ausnahme von der Regel verfügt haben, daß es dem Fideicommiß-Beſitzer freyſtehen ſolle, unter gewiſſen Umſtänden darauf Schulden zu contrahiren, und die Subſtanz bis auf eine Summe von Einhundert und Funfzig Tauſend Rthlr., aber nicht weiter, damit zu beſchweren. Zu den dazu qualificirten Fällen rechne ich theils den in Numero praecedenti angezeigten Fall, wenn der Beſitzer durch unvorhergeſehene, durch ſeine Schuld nicht erwachſene Unglücksfälle, in den gewöhnlichen Er - trag der Revenuen des Guts geſchmälert worden, und dazu die vorgeſchriebene Summe aus dem Ho[l]z-Verkauf nicht zureichend erfunden werden ſollte, theils auch den Umſtand, wenn außerordentlich bevorſtehende Ausgaben, als der nothwendige Bau eines anſehnlichen Haupt-Ge - bäudes auf den Höfen, oder die Unkoſten zu einer nach Zeit und Umſtänden erforderlichen neuen Einrichtung dieſes oder jenen größern Stücks des Guts, die Ausſchreibung einer außerordentlichen ad tempus daurenden Auflage und dergleichen außerordentliche beträchtliche Ausgaben, die nicht durch die Schuld oder eine unordentlich geführte Wirthſchaft des Fiduciarii entſtanden ſind, eintreten. Bey dieſen ſich ereignenden Fällen ſind die Herren Execu - tores mit dem zeitigen Beſitzer ermächtiget, die Subſtanz des Guts mit einer zu contrahirenden Schuldenlaſt bis zu dem vorgeſchriebenen Quanto zu bebürden. Sie negociiren alsdann die erforderlichen Summen, ſtellen darüber ge - meinſam die Verſchreibung unter Verpfändung der Güter aus, und die Herren Executores werden die Güte haben, über die auf das Gut haftenden Schulden ein beſonderes Verzeichniß zu führen, damit ſie ſicher ſind, wie weit die aufgenommenen Gelder ſich erſtrecken, und daß ſie den Creditoribus zeigen können, daß die Gelder bis zu dem angemerkten Quanto der Einhundert und Funfzigtauſend Reichsthaler mit Sicherheit angeliehen werden können. Die Wiederbezahlung dieſer Gelder kann nach und nach aus dem etwa zu verkaufenden Holze, oder wenn bey Par - celirungen Kaufgelder bezahlet werden, aus dieſen Geldern, ſo wie aus demjenigen, was ich weiter im Verfolg dazu anweiſen werde, geſchehen, und wenn der Beſitzer einige gute Jahre gehabt hat, ſo kann er auch von ſeinem uſu - fructu nach und nach etwas, nach Befinden der Herren Executoren, zu Abtragung der Schulden, wenigſtens Ein bis Zweyta[u]ſend Rthlr. mit hergeben, und hiezu erſuche ich die Herren Executoren, den zweyten Beſitzer anzuhal - ten, ſo lange wenigſtens, bis das Quantum der Schulden - laſt bis zu Einhundert Tauſend Rthlrn. heruntergeſetzt worden. Zu dieſem Behuf und damit gleich bey dem erſten Beſitzer des Guts Bothkamp der ganze Paßiv - Zuſtand meiner Verlaſſenſchaft ins Gewiſſe geſetzt werde, extrahiren die Herren Executoren ein landübliches Pro - clama; die dabey profitirten Schulden werden von meinem inſtituirten Erben mit den von mir nachzulaſſenden Acti - vis und ausſtehenden Capitalien, ſo weit ſelbige dazu zureichen, getilgt, die übrig bleibenden aber auf die vor - angezeigte Weiſe, ſo viel thunlich, nach und nach berich - tiget.

§. 6.

Die Succeßions-Ordnung in dieſem mit einem Fidei - commiſſo perpetuo belegten Gute Bothkamp, in An - fehung welcher ich, ſo wie bey dem erſten Beſitzer, alſo auch bey Veränderung der nachherigen Poſſeſſorum, den Abzug der Quartae Trebellianicae oder Falcidiae, un - ter welchem Vorwand dieſelbe auch ganz oder zum Theil verlangt werden möchte, ſchlechterdings und gänzlich hie - durch unterſage, ſoll dieſe ſeyn: Daß nach dem erfolgten tödtlichen Hintritt meines inſtituirten Univerſal-Erben Detlev Hinrich von Bülow, oder wenn dieſer vor Abtre - tung meiner Erbſchaft vor mir verſtorben ſeyn möchte, derjenige von den ihm im §. 3. ſubſtituirten Erben, wel - cher nach der daſelbſt feſtgeſetzten Ordnung vi ſubſtitu - tionis dazu gerufen ſeyn möchte, ſolches Fideicommiß ſeinem älteſten Sohne und ſeiner ferneren Nachkommen - ſchaft zufalle, alſo und dergeſtalt, daß beydes, das männ - liche und weibliche Geſchlecht, darin ſuccedire, jedoch nur einer von jeden derſelben zur Zeit zur Perception komme, inzwiſchen das männliche Geſchlecht in derſelben Liniedem weiblichen und der Erſtgebohrne und deſſen Nachkom - men dem jüngern und deſſen Descendenz immer vorgehe, ſo daß keine Perſon weiblichen Geſchlechts zur Succeßion in dieſem Fideicommiß gelangen kann, ſo lange noch eine Per - ſon männlichen Geſchlechts in derſelben Linie vorhanden iſt. Sollte nun aber dieſer mein inſtituirter Erbe ohne eheliche Poſteritel dieſes Zeitliche verlaſſen, ſo fällt dieſes Fidei - commiß an ſeinen Bruder, der zunächſt auf ihn folget, Cai Sophus von Bülow und deſſen eheliche Descendenz, nach der vorgeſchriebenen Ordnung. Stürbe auch dieſe aus, ſo fällt es an den jüngſten, Friedrich von Bülow und deſſen eheliche Nachkommenſchaſt; nach deren Ausgang aber an den älteſten der Gebrüder von Bülow, Johann Rudolph von Bülow und deſſen eheliche Poſteritel. Würde dieſe ganze Bülowſche Branche ausgehen, ſo fällt es auf den jetzt lebenden einzigen Sohn meiner älteſten Schweſter, Carl von Meurer und deſſen eheliche Descendenz. Stirbt die Nachkommenſchaft dieſer meiner Schweſter-Söhne aus, ſo trifft alsdann die Reihe der Erbfolge in dem Gute Bothkamp die Descendenz der Töchter meiner Schweſter, der Frau Kammerherrin von Bülow, und zwar zuerſt der älteſten, Jda Margaretha, und nach deren Erlöſchung die der jüngern, Sophia von Bülow, und endlich nach deren Abſterben die Descendenz der Tochter meiner Schweſter, der Frau Kammerherrin von Meurer, Namens Jda, und wird allemal die Art der Succeßion in jeder Branche nach obiger Vorſchrift beurtheilet und reguliret. Uebrigens ſollen die jedesmaligen Fideicommiß-Beſitzer des Gutes Bothkamp, aus rechtmäßiger Ehe gebohren, hinfolglich ſind die Legitimati, es ſey per ſubſequens matrimo - nium, oder per reſcriptum principis auf jeden Fall ausgeſchloſſen und dabey ſchuldig ſeyn, ihre Töchter in einem der drey adelichen Klöſter des Herzogthums Hol - ſtein, deren Wahl denſelben vorbehalten bleidet, einſchrei - ben zu laſſen, und ſoll dieſes gleich in dem erſten Geburts - Jahre der Tochter geſchehen, und werden die Herren Exe - cutoren, daß ſolches ja nicht verabſäumet werde, mit zu ſehen, belieben.

Wann nun zugleich, dem ausdrücklichen Willen des De - functi zufolge, darum angeſuchet worden, daß zur Beob - achtung und Erfüllung dieſer fideicommiſſariſchen Diſpoſi - tion ſelbige zur öffentlichen Publication gebracht werde, und dieſer Bitte Statt gegeben iſt; als wird dieſe fidei - commiſſariſche Diſpoſttion über vorbenanntes Gut cum pertinentiis, ſo wie die darin enthaltene Succeßions - Ordnung, hiedurch zu jedermanns Wiſſenſchaft gebracht, damit ſelbige in allen Puncten und Klauſeln erſüllet werde. Wornach ein jeder, den es angeht, ſich zu achten.

Urkundlich unterm vorgedruckten Königl. Jnſiegel.
  • L. S.
  • R.
M. Feldmann. Levſen. Pro vera copia: Rachel. Börm.

Frederik der Sechste, von Gottes Gnaden König zu Dännemark, Norwegen, der Wenden und Go - then, Herzog zu Schleswig, Holſtein, Stormarn und der Dithmarſchen, wie auch zu Oldenburg ꝛc.

Es haben die Teſtaments-Executoren des verſtorbenen Landſaſſen Hinrich von Rumohr auf Bothkamp allerun - terthänigſt angezeigt, wie ſie zur völligen Conſtituirung und Regulirung dieſer Erbſchaftsmaſſe die Extrahirung eines öffentlichen Proclams über den Nachlaß des Defuncti er - forderlich fänden, mit der hinzugefügten Bitte, gedachtes Proclam zu erlaſſen.

Wann nun dieſem Geſuche Statt gegeben worden, ſo werden hiedurch von Gerichts und Rechts wegen alle und jede, welche an den Nachlaß des verſtorbenen Landſaſſen Hinrich von Rumohr auf Bothkamp, ex capite heredi - tatis, fideicommiſſi, crediti, mandati, depoſiti, vel ex alio quocunque capite vel cauſa, irgend einige Rechts begründete Anſprüche oder Forderungen, mit allei - niger Ausnahme der teſtamentariſchen, ſo wie ſolche durch die letzte Willens-Meynung des Defuncti d. d. Bothkamy[14]den 9ten October 1799 begründet ſind, haben oder zu ha - ben vermeynten, hiedurch aufgefordert und befehligt, ſich, und zwar die Einheimiſchen binnen 6, die Auswärtigen aber durch die von ihnen hieſelbſt zu beſtellenden Procu - ratores ad acta binnen 12 Wochen, nach geſchehener öf - fentlichen Verkündigung dieſes Proclams, ſub poena praecluſi et perpetui ſilentii bey dem Juſtizrath und Landgerichts-Notario Rachel hieſelbſt gehörig anzugeben, ihre in Händen habenden Documente in origine zu pro - duciren, auch beglaubte Abſchriſten davon beym Protocoll zurück zu laſſen. Mit der ausdrücklichen Warnung, daß alle, welche ihre Angabe binnen den obgedachten Friſten zu beſchaffen verabſäumen, nach Ablauf derſelben damit nicht weiter werden gehört werden, vielmehr gänzlich mit ſelbi - gen präcl[u]dirt ſeyn ſollen. Wonach alle, die es angeht, ſich zu achten und vor Schaden zu hüten haben.

Urkundlich unterm vorgedruckten Königl. Jnſiegel.
  • L. S.
  • R.
M. Feldmann. Levſen. Pro vera copia: Rachel. Börm.

Frederik der Sechste, von Gottes Gnaden König zu Dännemark, Norwegen, der Wenden und Gothen, Herzog zu Schleswig, Holſtein, Stormarn und der Dithmarſchen, wie auch zu Oldenburg ꝛc.

Es haben der geheime Conferenzrath und Landrath, Herr Graf zu Sto[l]berg auf Windebuy, wie auch der Kammer - herr, Herr Graf Joachim von Bernſtorff, Großkreuz des Dannebrog-Ordens, als Bevollmächtigte der geſammten Gräflich Stolbergſchen Miterben, allerunterthänigſt ange - zeigt, wie, da denſelben von der weyland Geheimenräthin Gräfin Chriſtina Charlotta Friederica zu Stolberg, gebohr - nen Gräſin zu Caſtell, ihrer reſp. Mutter und Großmutter, die derſelben zuſtändig geweſenen ¾tel Antheile des adlichen Guts Neuendorff, nach deren im Jahre 1773 erfolgtem Ableben erblich anheim gefallen, die eingetretenen Umſtände es denſelben wünſchenswerth machen, um ſich in Hinſicht dieſes Guts deſto beſſer aus einander ſetzen zu können, daß für dieſe ¾tel beſagten Guts ein eigenes Folium, gleich an - dern Gütern, im Landgerichtlichen Schuld - und Pfand - Protocoll bewilliger werden möge.

Wann nun ſelbige hiemit die Bitte um Bewilligung eines ſolchen Folii und um Erlaſſung eines desfälligen Procla - matis verbunden haben und dieſen beyderſeitigen petitis ſtatt gegeben worden; ſo werden hiedurch aus Landes - herrlicher Gewalt und von Gerichts wegen alle und jede, welche an die ¾tel Antheile des Guts Neuendorf irgend einige, dieſelben realiter afficirende protocollationsfähige Anſprüche zu haben vermeynen, aufgefordert, ſich damit binnen 12 Wochen, ſub poena praecluſi, durch von ihnen zu beſtellende Procuratores ad acta bey dem Juſtizrath und Landgerichts-Notar Rachel hieſelbſt anzugeben, und die ihre Forderungen begründenden Documente origina - liter, unter Beyfügung beglaubter Abſchriften derſelben, einzuliefern. Mit der ausdrücklichen Verwarnung, daß die - jenigen, welche ſich in vorberührter Friſt nicht angeben, eo ipſo in die angedrohete Strafe verfallen ſeyn ſollen. Nach geſchloſſenem Profeßionsprotocoll wird das bewilligte Folium im Schuld - und Pfand-Protocoll eingerichtet wer - den, und haben die Profitenten zu gewärtigen, daß ihren Procuratoribus ad acta die producirten Documente nach geſchehener Protocollation retradirt werden.

Urkundlich unterm vorgedruckten Königl. Jnſiegel.
  • L. S.
  • R.
v. BrockdorffM. Feldmann. Pro vera copia: Rachel. F. G. Koch.

Frederik der Sechste, von Gottes Gnaden König zu Dännemark, Norwegen, der Wenden und Go - then, Herzog zu Schleswig, Holſtein, Stormarn und der Dithmarſchen, wie auch zu Oldenburg ꝛc.

Es hat der Landſaſſe Johann Wilms hieſelbſt allerun - terthänigſt angezeigt, wie er bey dem geſchehenen Verkauf des ihm bisher zuſtändig geweſenen adlichen Guts Sophien - hof an den Lieutenant Eduard von Ewald ſich verbind - lich gemacht haben, ſeinem Käufer ein von allen reellen Anſprüchen reines Angabe-Protocoll zu liefern, weshalb er ſich genöthigt ſehe, um Erlaſſung eines landüblichen Proclamatis allerſubmiſſeſt zu imploriren.

Jn Gewährung dieſes Geſuchs werden ſolchemnach von Gerichts - und Rechtswegen alle diejenigen, die an das im Prezer adlichen Güterdiſ[t]rict belegene adliche Gut Sophienhof cum pertinentiis irgend einige dingliche Anſprüche, ſie haben Namen wie ſie immer wollen, mit Ausnahme jedoch der im Schuld - und Pfand-Protocoll ver - zeichneten Pöſte, als derentwegen es keiner Angabe bedarf, zu haben vermeynen, hiedurch aufgefordert und befehligt, ſich, und zwar die Einheimiſchen binnen 6, die Auswärti - gen aber durch die von ihnen hieſelbſt zu beſtellenden Pro - curatores ad acta innerhalb 12 Wochen nach geſchehener Verkündigung dieſes Proclams ſub poena praecluſi et perpetui ſilentii bey dem Juſtizrath und Landgerichts - Notarius Rachel hieſelbſt, anzugeben, die ihre Forderungen betreffenden Documente in originali zu produciren und davon beglaubte Abſchriften ad protocollum zurück zu laſſen. Mit der ausdrücklichen Warnung, daß alle dieje - nigen, die ſolche Angaben in den obbemeldeten Friſten zu machen verabſäumen, damit nicht weiter ſollen gehört wer - den, vielmehr gänzlich damit präcludirt und ihnen ein ewiges Stillſchweigen auferlegt ſeyn ſolle. Wornach alle, die es angeht, ſich zu achten und vor Schaden zu hüten haben.

Urkundlich unterm vorgedruckten Königl. Jnſiegel.
  • L. S.
  • R.
v. BrockdorffM. Feldmann. Pro vera copia: Rachel. Börm.

Der hieſige Bürger und Thorſahrer Johann Chriſtian Detlevſen hat ſich für inſolvent erklärt, und es iſt daher unterm heutigen Dato der Concurs über ſein Vermögen erkannt worden;

Solchemnach werden von Bürgermeiſter und Rath die - ſer Stadt alle und jede, welche an die Haabe und Güter des gedachten Johann Chriſtian Detlevſen aus irgend einem Grunde Anſprüche zu haben vermeynen, imgleichen alle, die demſelben mit Schulden verhaftet ſind, oder etwas pfandweiſe von ihm beſitzen, und zwar erſtere bey Straſe der Präcluſion, letztere reſpective bey Strafe doppelter Zahlung und Verluſt des Pfandrechts, hiemit ein - für allemal, mithin peremtoriſch geladen, daß ſie, die Einhei - miſchen, am 13ten November, die Auswärtigen aber, unter Beſtellung eines procuratoris ad acta, am 29ſten De - cember d. J. hierſelbſt auf dem Rathhauſe ſich gehörig an - geben, die zur Begründung ihrer Anſprüche dienenden Do - camente in Original produciren und davon beglaubte Ab - ſchriften bey den Acten zurücklaſſen; mit der Verwarnung, daß gegen diejenigen, welche ſolches verabſäumen, die Strafe reſp. der Prävenſion, des ewigen Stillſchweigens, der doppelten Zahlung und ſonſt den Rechten gemäß werde erkannt werden.

Wornach ſich zu achten.

Bürgermeiſter und Rath der Stadt Kiel.

Da das dem weyland Herrn Canzleyrath Bernhard Ludewig Klinck zuſtändig geweſene, am Ende der Fleethörn[b]elegene Wohnhaus nebſt Garten zur Zeit noch nicht mit einem Folio im hieſigen Stadt -, Schuld - und Pfand-Pro - tocoll verſehen geweſen iſt, und die einzige Tochter und Univerſal-Erbin des Defuncti, die Frau Juſtizräthin Cas - perſen, cum curatore marito, zur Erlangung eines Folii um die Erlaſſung eines Proclams nachgeſucht hat;

[15]

So werden von Bürgermeiſter und Rath dieſer Stadt alle und jede, welche an beregtes Wohnhaus cum perti - nentiis in der Fleethörn protocollationsfähige Anſprüche und Forderungen zu haben vermeynen, hiemit ein - für allemal, mithin peremtoriſch geladen, daß ſie, die Einhei - miſchen, am 17ten November d. J., die Auswärtigen aber, unter Beſtellung eines procuratoris ad acta, am 8ten Januar 1813 hierſelbſt auf dem Rathhauſe ſich gehörig angeben, die zur Begründung ihrer Anſprüche dienenden Documente in Original produciren und davon beglaubte Abſchriften bey den Acten zurücklaſſen; mit der Verwar - nung, daß diejenigen, welche ſolches verabſäumen, mit ihren etwanigen protocollationsfähigen Anſprüchen bey Einrichtung des Folii für das eingangserwähnte Haus nicht berückſichtigt, vielmehr in dieſer Hinſicht völlig prä - cludirt ſeyn ſollen.

Wornach ſich zu achten.

Bürgermeiſter und Rath der Stadt K[i]el.

Von Gerichts wegen gebiete Jch Chriſtian Matthias Jacob Johannſen, beſtallter Conferenzrath und Landvogt in Norderdithmarſchen, wie auch Ritter vom Dannebrog, euch, den Erben, Gläubigern und Schuldnern des zu Delve verſtorbenen Johann Groth und deſſen Ehefrau Dorothea, bey nachfolgender Warnung:

Daß ihr auf Anſuchen des Marr Fack in Delve, als von Mir beſtellten Curators über die Verlaſſenſchaft obge - dachter beyden Verſtorbenen, alle eure an ſelbige habende Anſprüche tam ex jure hereditatis, quam crediti, als auch die Schulden, womit ihr derſelben verhaftet ſeyd, ihr Einheimiſchen innerhalb 6, ihr Auswärtigen, nach zu - vor beſtellter Procuratur, innerhalb 12 Wochen, von der erſten Bekanntmachung dieſes Proclams an, geſetzmäßig in der Kirchſpielſchreiberey zu Delve angebet, oder in Un - terlaſſung deſſen gewärtiget, daß ihr mit euren Anſprüchen und Forderungen an obgenannte Verlaſſenſchaft werdet ausgeſchloſſen und mit der Schuld in die Strafe Rechtens verfallen ſeyn.

(L. S.)

Von Gerichts wegen gebiete Jch Chriſtian Matthias Jacob Johannſen, beſtallter Conferenzrath und Landvogt in Norderdithmarſchen wie auch Ritter vom Dannebrog, euch ſämmtlichen Gläubigern, Schuldnern, Rech - nungsverwandten und etwanigen Pfandinhabern des unlängſt verſtorbenen Samuel Matthias Hart - nack in Reinsbüttel, wie auch allen, welche ſonſt noch aus irgend einem Grunde an die Verlaſſen - ſchaft des gedachten Defuncti Anſprüche zu haben vermeynen möchten, bey nachſtehender Commination:

Daß ihr ad inſtantiam der Antje Kälers in Reins - büttel cum cur. als teſtamentariſcher Univerſal-Erbin des obgenannten Deſuncti während ſie in ſolcher Eigen - ſchaft die auf ſie verabfällete Verlaſſenſchaft nur ſub beneficio legis et inventarii anzutreten geſonnen iſt nunmehr ſolches alles, und zwar ihr, die Einheimiſchen in - nerhalb 6, ihr, die Auswärtigen aber unter Beſtellung eines Procurators zu den Acten in dieſem Gerichtszwange, innerhalb 12 Wochen, von Zeit der erſten Bekanntmachung dieſes angerechnet, und zwar bey Strafe comparate der Ausſchließung, doppelter Zahlung, imgleichen bey Verluſt des Pfand - und Compenſations-Rechts und wie es ſonſt den Rechten gemäß in der Kirchſpielſchreiberey zu Weſſel - buhren geſetzmäßig angebet und verzeichnen laſſet.

Wornach ihr euch zu achten.

(L. S.)

Die hieſigen Kaufleute Stoppel et von Dadelszen haben dem hieſigen Obergerichte angezeiget, daß im De - cember 1808 an Bord des Schiffs Anna Metta Catharina, geführt von dem Schiffer Anthonis Jörgenſen von Soe - derſoe, welches größtentheils für ihre Rechnung mit Thran beladen geweſen, auch vier Kiſten Jndigo, gemerkt mit einem Dreckeck, mit einer Null durchzogen und unten Strich, No. 38 à 41, wiegend brutto 715 Pfund, von dem Agenten Wollert D. Krohn in Bergen, an dieKaufleute Schmidt et Pleßing in Lübeck, von Bergen nach Fanoe beſtimmt, abgeladen worden; daß dieſes Schiff[ eine] ſehr große Havarie gemacht habe, deren Verlauf auf ſie, die Jmploranten Stoppel et von Dadelszen, als Haupt-Ladungs-Jntereſſenten, traſſiret und von ihnen berichtiget ſey, von welcher Havarie, nach hieſelbſt auf - gemachter Diſpache, auf erwähnte vier Kiſten Jndi - go in allem 2174 Mk. 3 ßl. Bco. gefallen wären, welche Jmploranten mit den Zinſen zu fordern hätten, ſo wie auch außerdem noch von ihnen für dieſe zu Fa - noe angekommenen vier Kiſten Jndigo, ſowol der Tarif bezahlt worden, als auch alle bisherige Koſten berichtiget werden müßten; daß hierauf die Kauf - leute Schmidt et Pleßing in Lübeck, als nach dem Con - noſſemente und den am Bord des Schiffs befindlich gewe - ſenen Certifienten, Eigner und Empfänger dieſer Waare, ſelbige zu empfangen verweigert hätten, auch durchaus niemand als Eigner derſelben auftreten wolle, und ſie, die Jmploranten, daher, um wenigſtens ſo weit möglich zu ihrem Gelde zu kommen, und dieſerwegen die freye Diſpo - ſition über die vier Kiſten Jndigo zu erhalten, ein gericht - liches Proclam zu[im]petriren genöthiget wären. Da nun Jmploranter zugleich um Erlaſſung dieſes Proclams gezie - mend angeſucht haben, und dieſer Bitte Statt gegeben worden iſt; ſo werden alle und jede, welche an vorer - wähnte vier Kiſten Jndigo irgend ein Recht oder eine An - ſprache, es ſey aus welchem Grunde es wolle, zu haben vermeynen, hiedurch ein - für allemal und mithin perem - torie aufgefordert und angewieſen, ſich damit am 14ten December dieſes Jahrs bey dem hieſigen Obergerichte an - zugeben, auch ihre Angaben demnächſt gehörig zu juſtifici - ren, unter der hinzugeſügten Verwarnung, wie ſie widri - genfalls mit ihren vermeintlichen Anſprüchen an ſolche vier Kiſten Jndigo werden präcludiret, Jmploranten den hie - ſigen Kaufleuten Stoppel et von Dadelszen die freye Dis - poſition über ſelbige, um ſich daraus, ſo weit zureichend, für ihre Vorſchüſſe nebſt Zinſen und Koſten bezahlt zu machen, werde zugeſtanden, auch ihnen, in ſo fern ſie aus dieſem Jndigo ihre Befriedigung nicht erhalten ſoll - ten, ihre Gerechtſame contra quem et quocunque werden reſerviret werden. Wornach ſich zu achten.

Ex decreto Senatus.

Demnach die hieſige Faßbäcker-Amtsmeiſterin Maria Dorothea, Johann Friedrich Chriſtoph Mattfeldes Wittwe, gebohrne Brand[t], cum curatore, um das beneficium ceſſionis bonorum geziemend angehalten, und ihr ſolches ſalvis creditorum exceptionibus verſtattet werden; ſo werden hiedurch alle und jede, welche[ an] dieſelbe ex quo - cunque capite vel cauſa einige Anſprüche hahen, ein - für allemal und alſo peremtorie citirt, ſolche am 9ten November dieſes Jahrs beym hieſigen Obergerichte gehörig anzugeben, und demnächſt weitere Verfügung zu gewärti - gen, mit der Verwarnung, daß das protocollum pro - feſſionis am erwähnten Tage völlig werde geſchloſſen und denjenigen, die ſich nicht angegeben haben, ein ewiges Stillſchweigen werde auferleget werden.

Zum öffentlichen Verkaufe des mitcedirten, noch auf der Jmplorantin verſtorbenen Ehemannes Johann Frie - drich Chriſtoph Mattfeldt Namen im Stadtbuche ſtehen - den, an der Fiſcherſtraße belegenen, mit Ernſt Friedrich Lange im Oſten, und Peter Meins im Weſten benachbarten Erbes, iſt der 16te November dieſes Jahrs feſtgeſetzet worden, an welchem Tage, Nachmittags um 2 Uhr, die Liebhaber im hieſigen Rathskeller ſich einſinden, und den Handel verſuchen können. Wornach ſich zu achten.

Ex decreto Senatus.

Alle und jede, welche an die Verlaſſenſchaft des verſtor - benen hieſigen Bürgers Chriſtia[n]Gottlieb Schmiedel irgend eine Forderung oder Anſprache, es ſey als Erben oder als Creditoren, oder aus welchem ſonſtigen Grunde es immer wolle, zu haben vermeynen, imgleichen diejeni - gen, welche dem Deſuncto mit Schulden verhaſtet ſind, oder Sachen und Pfänder von ihm in Händen haben, wer - den hiedurch ein - für allemal und mithin peremtorie vor - geladen und angewieſen, ſich reſp. bey Strafe des ewigen Stillſchweigens, der doppelten Zahlung und des Verluſtes ihres Pfand - oder Retentions-Rechts, am 16ten November[16]dieſes Jahrs beym hieſigen Obergerichte gehörig zu mel - den, ihre beſtimmten Angaben zu machen und demnächſt weitere rechtliche Verfügung zu gewärtigen.

Zum öffentlichen Verkaufe des dem Defuncto zugehörig geweſenen, an der Königsſtraße belegenen, mit David Ni - colaus Hinſch, modo deſſen Erben, im Oſten, Carl Gott - lob Tiemer im Weſten und dem Herrn Handels-Commiſſair Joachim Johann Möller im Norden benachbarten Erbes, iſt der 9te November dieſes Jahrs feſtgeſetzt worden, an welchem Tage, Nachmittags um 2 Uhr, die Liebhaber im hieſigen Rathskeller ſich einſinden und den Handel ver - ſuchen können. Wornach ſich zu achten.

Ex decreto Senatus.

Demnach der hieſige Bürger und Kornwindmüller Auguſt Heinrich Schauer um das beneficium ceſſionis bono - rum geziemend angehalten, und ihm ſolches ſalvis credi - torum exceptionibus verſtattet worden; ſo werden hie - durch alle und jede, welche an denſelben ex quocunque capite vel cauſa einige Anſprüche haben, ein - für alle - mal und alſo peremtorie citirt, ſolche am 23ſten November dieſes Jahrs beym hieſigen Obergerichte gehörig anzuge - ben und demnächſt weitere Verſügung zu gewärtigen, mit der Verwarnung, daß das protocollum profeſſionis am erwähnten Tage völlig werde geſchloſſen, und denjenigen, die ſich nicht angegeben haben, ein ewiges Stillſchweigen werde auferleget werden.

Zum öffentlichen Verkaufe des dem Cedenten zugehöri - gen, unweit des Fronſchen Hofes, an dem von der Pinne - berger Landſtraße nach Wallsmühle führenden Fahrwege belegenen, mit Reimer Ruge im Weſten und Süden, Albert Kelting im Oſten und dem Fahrwege im Norden benach - barten Erbes, nebſt Kornwindmühle und übrigen Perti - nentien, iſt der 30ſte November dieſes Jahrs feſtgeſetzt worden, an welchem Tage, Nachmittags um 2 Uhr, die Liebhaber im hieſigen Rathskeller ſich einfinden und den Handel verſuchen können. Wornach ſich zu achten.

Ex decreto Senatus.

Proclama.

Wann in Folge der geſchehenen Jnſolvenz-Erklärung des Eingeſeſſenen Hinrich Hellmann in Herzhorn über ſeine Haabe und Güter der Concurs verfügt worden; ſo werden hiedurch alle und jede, welche an den ge - dachten Hinrich Hellmann, oder die von ihm bewohnte Kathe, ungleichen an den ihm gehörigen alten Ever, An - ſprüche oder Forderungen haben, demſelben mit Schulden verhaftet ſind, Pfänder oder ſonſtige Sachen von ihm beſitzen, hiedurch aufgefordert, daß ſie und zwar die Ein - heimiſchen binnen 6, die Auswärtigen aber unter Procu - ratur-Beſtellung binnen 12 Wochen a dato, hieſelbſt im Gerichtshauſe erſcheinen und eine gehörige Angabe be - ſchaffen; bey Vermeidung des Ausſchluſſes, der doppelten Zahlung und Verluſt des Pfand - und Compenſationsrechts.

Wonach ſich Beykommende zu achten.

A. v. Hennings.

Extract.

Der abweſende Hinrich Gerhard Friederich Thomſen aus Ratekau, oder deſſen eheliche Leibeserben, werden hie - durch ein - für allemal und alſo peremtoriſch vorgeladen, ſich innerhalb 12 Wochen, vom Tage der letzten Bekannt - machung an gerechnet, mit ihren Erb-Anſprüchen beym hie - ſigen Gerichte anzugeben.

Wornach ſich zu achten.

Graf von Luc[k]ner. F. C. Martini. G. Suhr.

Friederich Franz, von Gottes Gnaden ſouve - rainer Herzog zu Mecklenburg, Fürſt zu Wenden, Schwerin und Ratzeburg, auch Graf zu Schwerin, der Lande Roſtock und Stargard Herr.

Da der Geheime - und Landrath von Flotow auf Die - ſtelow bereits unterm 20ſten September vorigen Jahrs auf ein gütliches Arrangement mit geſammten ſeinen Gläu -bigern, unter eventuellem Erbieten zur Ceßion ſeines Vermögens an dieſelben, unterthänigſt angetragen hat, hierauf auch letztere, nach geſchehener Einführung einer Adminiſtration und Verfügung ſonſtiger Sicherheitsmaaß - regeln, ad profitendum et liquidandum convocirt, nicht minder bereits unterm 14ten April dieſes Jahrs zur gütlichen Aufgreifung dieſes Debitweſens ein Termin ab - gehalten, bis jetzt aber der Zweck dieſes ebengedachten Termins bey dem Widerſpruche mehrerer einzelner Gläu - biger nicht erreicht worden; ſo haben Wir nunmehr, ex officio, zur gütlichen Hinlegung dieſer Schuldſache einen abermaligen Termin auf den acht und zwanzigſten November dieſes Jahrs angeſetzt, und den Geheimen - und Landrath von Flotow ſub praejudicio pro omni der Reval-Citation in Per - ſon dazu vorbeſchieden. Geſammte nicht bereits präclu - dirte Gläubiger des ebenbenannten Geheimen - und Land - Raths von Flotow werden daher, nach Vorſchriſt Unſe - rer Landesherrlichen Conſtitution vom 31ſten März d. J., hiedurch peremtoriſch citirt; gedachten Tages, Morgens um 10 Uhr, auf Unſerm Hof - und Land-Gericht zu erſchei - nen, und ſich über die von dem gemeinſamen Schuldner bereits unterm 9ten April dieſes Jahrs übergebenen Ver - gleichsvorſchläge, deren Einſicht ihnen in der Regiſtratur Unſers Hof - und Landgerichts praeſente protonotario primario geſtattet wird, bey Strafe, daß die Ausblei - benden an die Beſchlüſſe der Anweſenden gebunden ſeyn ſollen, conſtitutionsmäßig zu erklären, im Fall verfehlter Güte aber ſich zur Production ihrer etwanigen ſchriftli - chen Beweismittel ſub finali poena, daß ſie des dar - aus hervorgehenden Beweiſes ihrer Schuldforderungen und der darauf begründeten Erſtigkeitsrechte verluſtig wer - den geachtet werden, ſo wie zur weitern geſetzmäßigen pro - tocollariſchen Verhandlung und zur Erſtigkeitsausführung ſub finali poena praecluſionis gefaßt zu halten und dem - nächſt weiteren rechtlichen Beſcheides zu gewärtigen. Wor - nach man ſich zu richten.

(L. S.) Ad Mandatum Sereniſſimi proprium. Vt. C. v. Holſtein. H. F. C. Burmeiſter.

Friederich Franz, von Gottes Gnaden ſouverainer Herzog zu Mecklenburg ꝛc.

Von hieſiger Juſtiz-Kanzley ſind zum gerichtlichen Ver - kauf des Concurs-Guts Greſſow drey Termine, reſpective auf den 21ſten October, auf den 16ten December d. J., und auf den 10ten Februar k. J,, angeſetzt, in welchem letztern der annehmlich Meiſtbietende unter den grundleglich gemachten Bedingungen, mit Vor - behalt des geſetzlichen Gleichgebots-Rechts der Roddeſchen Creditoren, den Zuſchlag gewärtigen kann.

Solches wird durch dieſen Auszug aus dem bereits in dieſen Blättern vollſtändig, mit angehängter Guts-Be - ſchreibung, abgedruckten Proclama, noch weiter öffentlich kund gemacht.

(L. S.) Ad Mandatum Sereniſſimi proprium. Herzogl. Mecklenburgiſche zur Juſtiz-Kanzley verordnete Director, Vice-Director und Räthe. v. Bülow. J. G. Drümmer.

Von dem Königl. Hofgerichte hieſelbſt ſind zur Conſta - tirung und Sicherſtellung der Verlaſſenſchaft des verſtor - benen Tertialbeſitzers auf dem Schulzenhoſe bey Gützkow, Heinrich Chriſtoph von Bohm, alle, die an denſelben und deſſen geſammtes Vermögen rechtliche Forderungen und Anſprache zu haben vermeynen, durch die unterm heutigen Dato erlaſſenen öffentlichen Ladungen auf den 30ſten Sep - tember, 29ſten October, oder 25ſten November d. J., zu deren Angabe und Beſcheinigung vorbeſchieden, im widri - gen ſie durch den am 16ten December dieſes Jahrs zu er - laſſenden Präcluſiv-Abſchied damit auf immer werden ab - gewieſen werden.

Königl. Hofgericht hieſelbſt.

About this transcription

TextAm Mittewochen, den 21. Oktober
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Responsibility Alexander Geyken, ed.; Susanne Haaf, ed.; Bryan Jurish, ed.; Matthias Boenig, ed.; Christian Thomas, ed.; Frank Wiegand, ed.

Britt-Marie SchusterManuel WilleArnika LutzNote: Bereitstellung der Texttranskription.Note: Bitte beachten Sie, dass die aktuelle Transkription (und Textauszeichnung) mittlerweile nicht mehr dem Stand zum Zeitpunkt der Übernahme des Werkes in das DTA entsprechen muss.2014-07-28T10:02:00Z CLARIN-DNote: Langfristige Bereitstellung der DTA-Ausgabe

EditionVollständige digitalisierte Ausgabe.

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Bibliographic informationAm Mittewochen, den 21. Oktober . Hamburg1812. Journal du Département des Bouches de l'Elbe oder: Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten

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