Actuellement que le public est instruit de la vérité sur les affaires du Nord, que les faits ont parlé, et que les résultats les plus désastreux ont prouvé la vanité de nos folles espérances, on revient avec indignation sur les publications incroyables qui s’étaient mul - tipliées depuis la première nouvelle de la bataille du 7, jusqu’à l’arrivée du Bulletin qui a annoncé la prise de Moscou. On aura peine à croire de quelles lettres, de quels rapports prétendus officiels, de quelles corres - pondances on avait bercé l’opinion publique. Fabriquées à dessein ou colportées par er - reur, elles sont la honte de leurs inventeurs ou distributeurs, et attesteront long-tems no - tre crédulité.
Une de ces lettres en date de Pétersbourg, le 11 Septembre, portait: “Nous avons, gra - ces au ciel, des nouvelles glorieuses de l’in - térieur. On n’a point encore publié le rap - port officiel; mais il est certain que les Rus - ses ont remporté, le 7, une victoire décisive. L’image de la sainte Vierge avait été appor - tée à Moscou et placée en face de l’armée russe avant la bataille. Le général Kutusow et tous les officiers jurèrent devant elle so - lennellement de vaincre ou de mourir; cette cérémonie imposante a fait sur les Russes l’effet de l’électricité, et leur a valu la vic - toire. La perte des Français est immense, on les poursuivait encore au moment où on ex - pédia la dépêche, qu’on ne voulut pas arrê - ter pour qu’elle arrivàt à l’Empereur, à Pé - tersbourg, pour le jour de sa fête, et en effet elle est arrivée au moment où la famille impériale allait à l’église. Cent un coups de
Jetzt, da das Publicum von der Wahrheit der Angelegenheiten im Norden unterrichtet iſt, da Thatſachen geſprochen, und da die nachtheiligſten Reſultate die Eitelkeit unſerer thoͤrigten Hoffnun - gen bewieſen haben, kommt man mit Unwillen auf die unglaublichen Bekanntmachungen zuruͤck, die ſei[t]der erſten Nachricht von der Schlacht am 7ten bis zur Ankunft des Bulletins, welches die Ein - nahme von Moscau verkuͤndigte, in Menge er - ſchienen waren. Man ſollte es kaum glauben, mit welchen Schreiben, mit welchen angeblichen offi - ciellen Berichten, mit welchen Correſpondenzen man die oͤffentliche Meynung getaͤuſcht hatte. Ab - ſichtlich fabricirt oder aus Jrrthum auf den Straßen herumgetragen ſind jene Bekanntmachungen, die Schande unſerer Erfinder oder Austheiler, und werden lange unſere Leichtglaͤubigkeit beweiſen.
Einer dieſer Briefe, aus St. Petersburg vom 11ten Sept., enthaͤlt folgendes: “Wir haben, dem Himmel ſey Dank, glorreiche Nachrichten aus dem Junern erhalten; der officielle Bericht iſt noch nicht publicirt; allein es iſt ſicher, daß die Ruſſen am 7ten einen entſcheidenden Sieg erfochten ha - ben. Das Bildniß der heiligen Jungfra[u]war von Moscau hergebracht, und, ehe die Schlacht be - gann, vor der Armee aufgeſtellt worden. General Kutuſow und alle Officiers ſchworen feyerlich vor dem Bildniß, zu ſiegen oder zu ſterben. Dieſe ruͤhrende Ceremonie electriſirte die Ruſſen und verſchaffte ihnen den Sieg. Der Verluſt der Fran - zoſen iſt ungeheuer; man verfolgte ſie noch in dem Augenblicke, wo die Depeſche abgieng, weil man ſie nicht aufhalten wollte, damit ſie der Kay - ſer zu St. Petersburg an ſeinem Feſttage erhielte; und in der That kam ſie in dem Augenblicke an, als ſich die Kayſerl. Familie in die Kirche ver -
canon ont été tirés et la ville a été illuminée le soir etc.
Une bataille générale a eu lieu aux envi - rons de Mojaïsk. Les Français ont eu 25 mille hommes tués et nous ont laissé dans leur re - traite 16 mille prisonniers et 100 pièces de ca - non; on va imprimer le Bulletin officiel. Pla - tow poursuit les Français avec les hulans et les cosaques; parmi les prisonniers sont le vice-roi d’Italie et le maréchal Ney. Cette nouvelle importante est annoncée au bruit du canon de la citadelle.
A la fin, graces au ciel, les Français ont été taillés en pièces. L’armée russe est à leur poursuite; trente mille cosaques ont tout ex - terminé devant eux; la garde impériale de France est détruite. Notre Empereur a écrit sur-le-champ au prince Kutusow, maréchal de l’Empire, et lui a fait présent de 100000 roubles. Parmi nos blessés se trouvent les généraux Bagration, Tutschkoff, le prince Golo - chekoff, les généraux Kutusow, Raemsky, le comte Woronsoff.
Le général Tormazow attendait des secours de la Moldavie. Les pluies abondantes et le gonflement de la rivière et la rupture des ponts ont infiniment retardé l’arrivée des troupes en marche de ce pays.
Le nouveau parlement doit se réunir le 24 du mois prochain; il restera assemblé trois ou quatre semaines, et s’ajournera ensuite au mois de Février prochain. C’est du moins l’intention des ministres.
La dissolution du parlement, annoncée seu - lement depuis quelques semaines, est effec - tuée, et déjà l’on procède par-tout à de nou - velles élections. Cette mesure peut être re - gardée comme le noeud du grand drame qui se joue en Angleterre, et dont tout annonce que le dénoûment sera terrible.
M. Canning a été admis mardi dernier, à l’audience du prince-régent, a son retour de Constantinople.
Suivant des lettres particulières de Koenigs - berg, sous la date du 3 Octobre, la garnison de Riga ayant fait une sortie vigoureuse dans l’intention d’incendier et de détruire le parc d’artillerie destiné au siége de cette place, le corps prussien aux ordres du maréchal duc de Tarente, évacua promptement le parc sans perdre un caisson ou une pièce d’artillerie, et se replia pour laisser engager l’ennemi. Les Russes donnèrent dans le piége. Alors les Prussiens, arrivés dans la position qui leur convenoit, engagèment le combat, L’affaire
fuͤgte. 101 Kanonenſchuͤſſe wurden geloͤſet; die Stadt war des Abends illuminirt ꝛc.
Jn der Gegend von Mojaisk iſt es zu einer allgemeinen Schlacht gekommen. Die Franzoſen haben 25000 Todte und haben bey ihrem Ruͤckzuge 16000 Geſangene und 100 Kanonen im Stich ge - laſſen. Das officielle Bulletin wird gedruckt. Pla - tow verfolgt die Franzoſen mit den Uhlanen und Coſacken. Der Vicekoͤnig von Jtalien und der Marſchall Ne[z]ſind gefangen. Dieſe wichtige Nach - richt wird unter dem Donner der Kanonen der Citadelle verkuͤndigt.
(NB. Dieſes Schreiben ruͤhrt von einer Perſon her, welche eine hohe Stelle bey der Regie - rung in dieſer Hauptſtadt bekleidet.)
Endlich ſind die Franzoſen, Dank ſey’s dem Himmel, in Stuͤcken gehauen. Die Rußiſche Ar - mee verſolgt ſie. 30000 Coſacken haben alles vor ſich her ausgerottet. Die Kayſerl. Franzoͤſiſche Garde iſt vernichtet. Unſer Kayſer hat auf der Stelle an den Reichsmarſchall, Fuͤrſten K[u]tuſow, geſchrieben, und ihm ein Geſchenk mit 100000 Ru - beln gemacht. Unter unſern Verwundeten befin - den ſich die Generals Bagration, Tutſchkow, der Fuͤrſt Gortſchakow, die Generals Kutuſow, Rims - koi, Graf Woronzow ꝛc.
General Tormaſſow erwartet Verſtaͤrkungen aus der Moldau. Der haͤufige Regen, das Anſchwellen der Fluͤſſe und die Beſchaͤdigung der Bruͤcken haben die Ankunft der aus dieſem Lande auf dem Marſch begriffenen Truppen ſehr verzoͤgert.
Das neue Parlement wird am 24ſten Nov. zu - ſammen kommen, 3 bis 4 Wochen verſammelt blei - ben und ſich alsdann bis zum naͤchſten Februar prolongiren. Wenigſtens iſt dies die Abſicht der Miniſter.
Die Aufloͤſung des Parlements, die bloß ſeit einigen Wochen verkuͤndigt worden, iſt zu Stande gebracht und ſchon ſchreitet man zu ne[u]en Wah - len. Dieſe Maaßregel kann als der Knote des großen Dramas angeſehen werden, welches in Eng - land geſpielt wird, und deſſen Entwickelung, allem Anſchein nach, ſchrecklich ſeyn duͤrfte.
Der aus Conſtantinopel zuruͤckgekommene Ge - ſandte, Herr Canning, iſt letzten Dienſtag dem Prinz Regenten vorgeſtellt worden.
Da die Garniſon von Riga, Privatbrieſen aus Koͤnigsberg vom 3ten October zufolge, einen nach - druͤcklichen Ausfall in der Abſicht gemacht hatte, um den zur Belagerung dieſes Platzes beſtimmten Artilleriepark in Brand zu ſtecken und zu vernich - ten, ſo fuͤhrte das Preußiſche Corps unter dem Marſchall, Herzog von Tarente, ſchleunig den Park fort, ohne einen Pulverwagen oder ein Artillerie - ſtuͤck zu verliehren, und zog ſich zuruͤck, um den Feind zum Engagement zu bringen. Die Ruſſen giengen in die Falle. Als die Preußen in der ih - nen angemeſſenen Stellung angekommen waren, ſo begannen ſie das Gefecht. Die Affaire war hitzig
a été chaude et la victoice complette. L’en - nemi a perdu au moins 5 à 6000 hommes tués ou blessés, et beaucoup de prisonniers. Le corps prussien, auquel on doit de grands élo - ges, réuni avec des troupes amenées par le maréchal duc de Tarente, est rentré dans sa position devant Riga.
Le recrutement sera terminé dans quelques jours; les recrues seront exercées au manie - ment des armes pendant un mois, après quoî elles auront des permissions pour retourner dans leurs foyers. Tous les régimens d’in - fanterie qui se recrutent dans la Basse-Au - triche reçoivent par là un renfort d’environ 1800 hommes. (Moniteur.)
Suivant les nouvelles publiques de Constan - tinople du 30 Septembre, la peste faisoit alors beaucoup de ravages dans cette ville. Pres - que tous les magasins étoient fermés à Péra et la plus grande partie des Francs s’étoient retirés à la campagne.
Le nouveau grandvisir, Hurschild Pascha, est maintenant à Schumla, et paraît mettre la plus grande activité dans l’exercice de ses nouvelles fonctions. Il a fait décapiter un certain Boschnack Aga, bien connu, et deux autres Ajans très-remuans.
Le premier tirage de la loterie impériale de France pour les départemens de la Hollande a eu lieu publiquement à Amsterdam, le 12 de ce mois, dans la salle du théâtre allemand (Amstelstraat), en présence du préfet du dé - partement, du procureur-général près la cour impériale, du maire de la ville, de l’inspec - teur en chef, de l’inspecteur, du contrôleur de la loterie, et d’une grande affluence de monde. Les Nros. sortis sont: 11. 33. 45. 42. 75.
On lit dans la Gazette de Pétersbourg, du 26 Août, une lettre d’Ambrosius, métropolitain de Pétersbourg et de Nowogorod, adressée le 12 Août au prince Kutuzow, par laquelle il envoie l’image du saint et orthodoxe Alexandre Newski.
S. M. exécuta le 19 de grandes manoeu - vres avec 20000 hommes à Hirschholm, à six lieues d’ici; le prince Chrétien Frédéric com - mandait en opposition du Roi.
Nos Corsaires ont pris 7 batimens ennémis, dont 3 sont en sûreté. Un a été brûlé.
La livre de Thé de Congo, médiocre qua - lité, coutant aujourd’hui 26 écus à Copenha - gue, on a proposé de le remplacer par un surrogat très-simple, consistant dans de la croute de pain bis brûlé, réduit en poudre et pris avec du lait, après l’avoir fait bouillir quelque temps.
Une maison, qui avait été vendue 60 mille écus, il y a deux ans, vient d’être payée 200 mille écus.
und der Sieg vollſtaͤndig. Der Feind hat wenig - ſtens 5 bis 6000 Mann an Todten oder Verwun - deten und viele Gefangene verlohren. Das Preußi - ſche Corps, welchem die groͤßten Lobſpruͤche gebuͤh - ren, iſt, vereinigt mit Truppen, die der Marſchall, Herzog von Tarente, herbeyfuͤhrte, in ſeine Stel - lung vor Riga zuruͤckgekehrt.
Die Recrutirung wird in einigen Tagen been - digt ſeyn; die Recruten werden einen Monat lang in den Waſſen geuͤbt, und bekommen dann Erlaub - niß, nach ihrer Heymath zuruͤck zu kehren. Alle Jnfanterie-Regimenter, die in Nieder-Oeſterreich recrutirt werden, erhalten dadurch eine Verſtaͤr - kung von ungefaͤhr 1300 Mann. (Monite[u]r.)
Oeffentlichen Berichten aus Conſtantinopel vom 30ſten Sept. zufolge, herrſchte damals die Peſt in dieſer Stadt noch ſehr heftig. Jn Pera waren faſt alle Kaufmannslaͤden geſchloſſen und die Franken hatten ſich groͤßtentheils aufs Land begeben.
Der neue G[r]oßvezier Hurſchild Paſcha befindet ſich jetzt in Schumla und ſcheint ſein ne[u]es Amt mit beſonder Energie zu beginnen. Er hat den bekannten Boſchnack Aga und zwey andere unru - hige Ajans enthaupten laſſen.
Die erſte Ziehung der Kayſerl. Franzoͤſ. Lotterie fuͤr die Hollaͤndiſchen Departements geſchah hier oͤffentlich am 12ten dieſes in dem Saale des Deut - ſchen Theaters (Amſtelſtraat), in Gegenwart des Praͤfecten des Departements, des General-Procu - reurs bey dem Kayſerl. Gerichts-Hofe, des Maire der Stadt, des Jnſpecteur en Chef, des Jnſpec - teur, des Controlleurs der Lotterie, und einer großen Menge Zuſchauer. Die zum erſtenmale ge - zogenen Nummern waren: 11. 33. 45. 42. 75.
Jn der St. Petersburger Zeitung vom 26ſten Auguſt befindet ſich ein Schreiben, welches der Metropolitan von Petersburg und Nowogorod, Ambroſins, unterm 12ten Auguſt an den Fuͤrſten Kutuſow geſandt hat, und wobey er ihm das Bild - niß des heiligen Alexander Newsky uͤberſchickte.
Se. Majeſtaͤt haben am 19ten mit 20000 Mann bey Hirſchholm große Manoͤvres executirt; der Prinz Chriſtian Friedrich commandirte gegen den Koͤnig.
Unſere Kaper haben 7 feindliche Schiffe genom - men, wovon 3 in Sicherheit gebracht ſind; man ſah ſich gezwungen, ein großes Schiff zu verbrennen.
Da das Pfund des ſchlechteſten Congo-Thee’s jetzt hier 26 Rthlr. koſtet, ſo hat man dafuͤr ein aͤußerſt ſimples Surrogat vorgeſchlagen, welches in der gebrannten und pulveriſirten Rinde des Roggenbrodts beſteht und nachdem es einige Zeit gekocht hat, mit Milch getrunken wird.
Ein Haus, welches vor zwey Jahren fuͤr 60000 Rthlr. gekauft ward, wurde vor kurzem mit 200000 Rthlr. und daruͤber bezahlt.
Le lieutenant Joens a repoussé quelques barcasses ennemies aux côtes de l’Isle de Feh - mern. Son détachement n’a rien souffert, mais l’ennemi a été très-maltraité. L’affaire eut lieu le 13 de ce mois.
La vente à l’enchêre des effets de S. A. feu l’Electeur de Trèves continue toujours. Les prix sont pour la plupart exorbitans. Les chevaux, dont le nombre était de 60, ont été payés le double de leur valeur réelle; les vins encore plus haut. Avant-hier on vendit par exemple les vins de Tokai, dont il y avait 200 bouteilles. Tout le monde savait qu’il n’y avait parmi ce nombre que 20 bouteilles, qui étaient du véritable vin de Tokai, des caves de l’Empereur; le reste n’était que du “Ober - Ungar-Ausbruch” de bonne qualité. Malgré cela les premières couples de bouteilles fu - rent vendues à 9, 10 florins la bouteille, et ces prix montèrent par l’empressement des amateurs tellement, que les dernières trois bouteilles furent payées 25 florins la bouteille. Le vin du Cap couta le double du prix actuel à Amsterdam.
Der Lieutenant Joens hat mehrere Engliſche Barcaſſen von der Fehmerſchen Kuͤſte zuruͤckgetrie - ben. Sein Detaſchement hat nichts gelitten, aber den Feind trafen viele Kugeln. Das Gefecht fiel am 13ten d. M. vor.
Die Auction der von dem Churfuͤrſten von Trier hinterlaſſenen Effecten dauert fort. Die Preiſe, die bezahlt werden, ſind meiſtens außerordentlich groß. Die Pferde, deren 60 waren, ſind noch ein - mal ſo hoch bezahlt worden, als ſie wirklich werth waren, und die Weine noch mehr. Vorgeſtern wurden zum Beyſpiel die Tokayer-Weine verkauft, wovon ein Vorrath von 200 Bouteillen war. Jeder - mann wußte, daß ſich unter dieſen nur 20 Bouteil - len wahren Tokayer aus den Kellern des Oeſter - reichiſchen Kayſers befanden; das Uebrige war Ober-Ungar-Ausbruch von guter Qualitaͤt. Dem - ungeachtet wurden die erſten Dutzend Bouteillen mit 9 bis 10 Gulden die Bouteille bezahlt; dieſe Preiſe ſtiegen bey der Liebhaberey der Kaͤufer ſo ſehr, daß die 3 letzten Bouteillen jede mit 25 Gul - den bezahlt wurden. Der Cap-Wein koſtet noch einmal ſo viel, als wie er jetzt zu Amſterdam koſtet.
Am 1ſten October machte Herr Sadler von Du - blin aus eine Luftreiſe, in der Abſicht, uͤber den Canal von Jrland zu gehen. Nachdem er einige Stunden in den Luͤften geſchwebt hatte, befand er ſich uͤber der Jnſel Man. Er hoffte, nun bald in Liverpool anzulangen. Allein der Wind drehte ſich. Er irrte eine ziemliche Weile umher; endlich wurde er fuͤnf Fahrzeuge im Canal gewahr. Um von dieſen Huͤlfe zu bekommen, ließ er ſich ſchnell mit ſeiner Maſchine auf das Meer hinab. Allein zu ſeinem Verdruß ſchienen die Fahrzeuge ihn nicht zu bemerken. Er warf alſo Ballaſt aus und ſtieg in kurzer Zeit wieder eben ſo hoch, als er ge - weſen war. Da er nachher wieder Fahrzeuge ent - deckte, welche ihm Signale gaben, um ihm zu Huͤlfe zu kommen und die Nacht einbrach, ſo ent - ſchloß er ſich zum zweytenmale, auf das Meer hinab zu ſteigen. Nun riß der Wind den Ballon auf das Waſſer. Dadurch wurde die Gondel ſo ſchnell fortgeriſſen, daß das Fiſcherfahrzeug, welches ihm am naͤchſten war, ihn nicht erreichen konnte. Derkuͤhne Luftſchiffer entſchloß ſich in dieſer ſchreck - lichen Lage, die brennbare Luft aus dem Ballon zu laſſen, ergriff ein Strick, das man ihm zuwarf und ließ ſich auf das Fiſcherfahrzeng hinaufziehen.
Am 19ten dieſes hielt hier Herr Pro - feſſor Robertſon die angekuͤndigte Luftfahrt. Der Wind wehte heftig. Jndeß erhob ſich der Ballon majeſtaͤtiſch; der Aeronaut ließ mit einem Fall - ſchirm ein Kaninchen herunter und kam bey Viſe wieder zur Erde. Da der Wind den Ballon noch heftig herumtrieb, ſo kam ihm ein Particulier zu Huͤlfe; indeß war dieſer einige Zeit unentſchloſſen, weil ihm ſein 10jaͤhriger Sohn weinend zurief: “Geh nicht hin, Papa, geh nicht hin, es iſt der Teufel!” Einige Augenblicke nachher kamen an - dere Perſonen zu Huͤlfe, und Herr Robertſon, der in dem Departement der Ourte, wo er gebohren worden, ſeine erſte Luftfahrt hielt, kam grade an dem Orte zur Erde nieder, wo er ſtudirt hat, und wo er von einem ehemaligen Schulfreunde empfan - gen wurde.
Le Préfet prévient le public qu’en vertu d’une décision de S. Exe. le ministre de l’in - rérieur du 29 Septembre dernier, les lois et règlemens sur la police du roulage seront mis en vigueur dans le Département des Bouches de l’Elbe au 1r Avril 1814. Ainsi, à compter de cette époque, les jantes des voitures de roulage devront être faites conformément à l’art. 2. de la loi du 7 Ventose an XII, dont le tarif est indiqué ci-après:
Mesure de France, environ:
| Centimtr. | Pouc. | Lign. | |
| Voitures à 2 ou 4 roues, attelées de 2 chevaux | 11 | 4 | 1 |
Der Praͤfect zeigt hiedurch dem Publico an, daß. zufolge einer Entſcheidung Sr. Excellenz, des Mi - niſters des Jnnern, vom 29ſten September, die Ge - ſetze und Verordnungen uͤber die Policey des Fuhr - weſens vom 1ſten April 1814 an in dem Departe - ment der Elbmuͤndungen ſollen in Ausfuͤhrung ge - bracht werden. Demnach muͤſſen die Felgen der Wagenraͤder von dieſer Zeit an, gemaͤß dem 2ten Art. des Geſetzes vom 7ten Ventoſe des Jahr 12, ein - gerichtet werden, wovon der Tarif hierbey folgt:
Franzoͤſiſches Maaß, ohngefaͤhr:
| Centimetres. | Zoll. | Linie. | |
| Wagen mit 2 oder 4 Raͤdern, mit 2 Pferden beſpannt | 11 | 4 | 1 |
| Centimtr. | Pouc. | Lign. | |
| Les mêmes voitures, atte - lées de 3 chevaux — | 14 | 5 | 2 |
| Les voitures à 2 roues, at - telées de 4 chevaux | 17 | 6 | 4 |
| Celles à 4 roues, attelées de quatre, cinq ou six chevaux — — | 17 | 6 | 4 |
| Les voitures à 2 roues, at - telées de plus de qua - tre chevaux — | 25 | 9 | 3 |
| Les chariots, attelés de plus de 6 chevaux — | 22 | 8 | 2 |
| Centimetres. | Zoll. | Linie. | |
| Dieſelben Wagen mit 3 Pfer - den beſpannt — | 14 | 5 | 2 |
| Die Wagen mit 2 Raͤdern und mit 4 Pferden beſpannt | 17 | 6 | 4 |
| Wagen mit 4 Raͤdern, mit 4, 5 oder 6 Pferden beſpannt | 17 | 6 | 4 |
| Die Wagen mit 2 Raͤdern, mit mehr als 4 Pferden be - ſpannt — — | 25 | 9 | 3 |
| Die mit mehr als 6 Pferden beſpannten Wagen — | 22 | 8 | 2 |
per 100 Rthlr. Bco.
Geld-Cours.
Der oͤffentliche Verkauf auf dem Bauhofe von allerhand Mobilien und Geraͤthen, imgleichen ver - ſchiedenen Muͤnz-Geraͤthſchaften, wird am Mitte - wochen, den 28ſten October, Morgens um 9½ Uhr, fortgeſetzt.
Meinen Verwandten, Freunden und Goͤnnern mache ich hiemit mit trauerndem Herzen die erge - benſte Anzeige, daß heute Morgen mein guter Sohn Chriſtian Andreas, nach vieljaͤhrigen har - ten Leiden, in ſeinem 46ſten Jahre geſtorben iſt. Jch verliehre an ihm, der ſo lange auf das treueſte fuͤr mich gearbeitet hat, eine wichtige Stuͤtze und meine andern Kinder einen ſehr liebreichen Bru - der. Wir werden ſein Ande[n]ken dankbar in Ehren halten.
Heute ſtarb unſer juͤngſter Sohn Johann Hein - rich an innerlichen Kraͤmpfen.
Heute wurde meine Frau, gebohrne Faerber, von einem Knaben gluͤcklich entbunden.
Unſere am 24ſten October vollzogene eheliche Ver - bindung zeigen wir unſern hieſigen und auswaͤrti - gen Freunden und Verwandten an.
Jch fordere meinen Stiefſohn Johann Caſpar Hencke hiemit dringend auf, ſich ſchleunigſt einzu - ſtellen, um der Conſcription Genuͤge zu leiſten.
Meinen ſeit drey Jahren abweſen[d]en Sohn Chriſtoph Lorenz Carſtens fordere ich hiedurch auf, ungeſaͤ[u]mt nach Hauſe zu kommen, um der Con - ſcription Genuͤge zu leiſten.
Jm Verlage der Helwingſchen Hofbuchhandlung in Hann[o]ver ſind ſo eben erſchienen:
Von dem
werden denen, die 20 Exemplare auf einmal kaufen, fuͤnf freygegeben in
Der Profeſſor Hartmann in Wien hat einen Ofen erfunden, in welchem man mit einer ſehr ge - ringen Maſſe von Steinkohlen, Holz oder Torf, deren Koſten ſelbſt in den Gegenden, wo dieſe Ar - tikel am theuerſten ſind, taͤglich noch nicht voͤllig zwey Groſchen betragen, ein Zimmer den ganzen Tag hindurch heitzen, Waſſer im beſtaͤndigen Kochen erhalten, einige Gerichte kochen, Braten am Spieße braten, und zugleich Obſt trocknen kann.
Ferner hat man, wenn die Speiſen einmal an - geſetzt ſind, ſich nicht eher als beym Anrichten um dieſelben zu bekuͤmmern, weil ſie weder uͤberkochen noch anbrennen konnen; der Braten bekommt uͤberall einerley Farbe, und die Speiſen werden uͤberhaupt weit ſchmackhafter und kraͤftiger, als gewoͤhnlich.
Dieſer Ofen kann nach der ſehr deutlichen Ab - bildung und einer ausfuͤhrlichen Beſchreibung fuͤr einen aͤußerſt geringen Preis aller Orten verfer - tigt werden.
Dieſe Abbildung nebſt Beſchreibung koſtet 16 Gr. Cour. (2 Mk.) und iſt in allen Buchhandlungen Deutſchlands zu bekommen, in Leipzig jedoch nur allein bey dem Buchhaͤndler Koͤhler, und in Ber - lin bey Lindow unter der Colonade an der Koͤ - nigsbruͤcke, in Hamburg bey Evers in der großen Johannisſtraße No. 25, und in Altona bey dem Buchhaͤndler Hammerich.
Jn Auftrag des Proprietairs, Herrn Matthias Hoͤpcke, zu Weſter-Ende der Commune Altenbruch, als gerichtlich beſtellten Curators der vacanten Erbſchaft des allda verſtorbenen Kraͤmers und Gaſtwirths Ferdinand Hoffmann, fordere ich, der unterzeichnete Kayſerliche Notair, ſaͤmmtliche Glaͤu - biger des zuletzt genannten Hoffmann auf, am ein und zwanzigſten November, des Morgens um acht Uhr, in dem Hauſe des Gaſtwirths Helmboldt zu Altenbruch zu erſcheinen, um nicht allein ihre For - derungen anzugeben und die daruͤber ſprechenden Documente zu produciren, ſondern auch, ſich uͤber das bey dem vorlaͤufigen Zuſchlage des Hoffmann - ſchen Wohnweſens geſchehene Gebot zu erklaͤren.
Die Nichterſcheinenden haben es ſich ſelbſt bey - zumeſſen, wenn eines Theils auf ihre Forderun - gen bey Vertheilung der Kaufgelder keine Ruͤck - ſicht genommen wird, andern Theils ſie, als der erſcheinenden Mehrheit beyſtimmend, angeſehen werden.
fielen, laut der letzten Nachricht, auf No. 2087 in unſrer Collecte, mit der Deviſe: Fuͤr den guden Dag. Wir bitten den Einhaber, ſich bey uns zu melden, um ſogleich den Gewinn baar in Empfang nehmen zu koͤnnen.
Am Donnerſtag, den 5ten November, werden in meinem Hauſe
in oͤffentlicher Auction verkauft, und ſind die naͤ - hern Bedingungen dieſerhalb bey mir zu erfahren.
Alle und jede, welche Blutsverwandte des in Hollaͤndiſchen Dienſten geweſenen, zuletzt auf der Flottille auf den Watten gedienten, im Jahre 1800 im Haag verſtorbenen Capitain-Lieutenants zur See, Jacob Hugues, zu ſeyn vermeynen moͤchten, gelieben ſich vor oder aͤußerſt bis ult. Decembers dieſes Jahrs 1812 mit guͤltigen Beweiſen bey dem Kayſerl. Notarius Evert van Jever auf dem Sin - gel uͤber dem Apſelmarkt in Amſterdam zu mel - den, bey welchem naͤhere Auskunft uͤber den Nach - laß des Verſtorbenen zu erhalten iſt.
Jn der Verlaſſenſchafts-Sache der zu Schwarz verſtorbenen Brauerſchen Eheleute iſt der Praͤclu - ſiv-Abſchied publicirt und zur finalen Regulirung dieſes Nachlaſſes ein Termin auf den 3ten No - vember d. J. angeſetzt. Die in dieſem Termin nicht Erſcheinenden ſollen an dem gebunden ſeyn, was unter den Anweſenden regulirt werden wird.
Les tuteurs et curateurs, confirmés par le conseil de tutelle de la noblesse de Moscou, à la succession et des enfans mineurs du dé - funt capitaine Nicolay de Luginin, décédé en France, invitent tous ceux à qui le sus - dit capitaine peut être resté redevable, soit personnellement, soit comme garant, d’annon - cer, dans le délai prescrit par la loi, leurs titres de créances, à M. le conseiller d’état, chevalier Joachim de Koenecke, maison des Orphelins, à Moscou. Toutes les procurations donnée par le dit défunt sont formellement annulées.
Genom offentelig ſtaͤmning har Oeknebo Haͤ - rads-Raͤtt, nedanſtaende dag kallat framlidne f. d. Großhandlaren och Bruks-Patronen Abraham Key - ſers ſamtelige Borgenaͤrer, att pa ſaͤtt och vid aͤfventyr 19 §. 5 mom. i Kongl. Stadgan om Con - conrſer af den 28 Juny 1798 foͤreskrifver, deras fordringar hos Haͤrads Raͤtten anmaͤla, ſiſt a an - dra Raͤttegangsdagen af det lagtima Ting, ſom natt och ar efter naͤmnde dag foͤrſt i Haͤradet in - faller; hoilket Foͤrſta gaugen Kungoͤres.
Oeknebo Haͤrads Tingsplats i Soͤdertelje Stad, den 15ten May 1812.
Wann die hieſigen Buͤrger, naͤmlich der Glaſer - meiſter Chriſtian Caſper Bahrenholtz und der Gaſt - wirth Johann Chriſtoph Gottſchau, ſich erklaͤrt haben, ihre in ſie dringenden Creditoren nicht be - friedigen zu koͤnnen, und deshalb um das benefi - cium cessionis bonorum angehalten und dieſem Anſuchen salvis tamen creditorum exceptioni - bus Statt gegeben worden; ſo werden hiedurch von Oberdirector, Buͤrgermeiſter und Rath alle und jede, welche an die Guͤter und Effecten des gedachten Chriſtian Caſper Bahrenholtz und Johann Chriſtoph Gottſchau ex capite crediti vel alio quocunque einige Forderungen, Praͤtenſionen, An - und Zuſpruͤche zu haben glauben, ſo wie deren Schuldner, Pfand - und Sachen-Jnhaber ad pro - fitendum im Stadt-Secretariat, unter Produci - rung der zur Begruͤndung ihrer Angaben in Haͤn - den habenden Documente, relictis copiis, cum termino von ſechs Wochen fuͤr die Einheimiſchen und von zwoͤlf Wochen fuͤr die Auswaͤrtigen, unter Beſtellung allhier angeſeſſener Procuratorum ad acta, ut et ad justificandum suo tempore, resp. sub poena praeclusi et perpetui silentii, dupli et amissionis juris, peremtorie provociret und befehligt.
Es hat die Wittwe des verſtorbenen Gutsbeſitzers Det - lef Jochimſen zu Brunsholm, Metta Hedewig, gebohrne Claſen, hieſelbſt angezeigt, daß ſie das von ihrem Ehemann hinterlaſſene, in dem erſten Angler Diſtricte belegne adliche Gut Brunsholm, vermöge der in dem Teſtamente des Ver - ſtorbenen ihr ertheilten Befugniß, und unter Beyſtand der in demſelben ihr zugeordneten Curatoren, an den deputir - ten Bürger, Jes Tychſen in Schleswig, verkauft habe, und mit dieſer Anzeige die Bitte wegen Erlaſſung eines land - üblichen Proclams verbunden, um ihren Käufer davon zu überzeugen, daß die auf dem Gute haftenden und abgehan - delten Schulden ſämmtlich durch die Kaufſumme getilgt werden können, ſo wie überhaupt ihn gegen alle Anſprüche in Sicherheit zu ſetzen.
Um dieſer Bitte zu willfahren, wird hiemit allen und jeden, welche an das vorgedachte, von bemeldetem Detlef Jochimſen hinterlaſſene adliche Gut Brunsholm aus irgend einem Grunde, er ſey welcher er wolle, Forderungen und Anſprüche zu haben glauben, bloß mit Ausnahme der durch das Patent vom 22ſten November 1805 Befreyten, hiemit der Befehl ertheilt, ſich mit ſothanen Forderungen als Einheimiſche binnen 6, als Auswärtige aber inner - halb 12 Wochen, a dato publicationis hujus procla - matis, im hieſigen Landgerichts-Notariat, bey dem Can - zeley - und Obergerichts-Secretair Geiſter in Schleswig anzugeben, die Documente, worauf ihre Angaben ſich gründen oder beziehen, daſelbſt in origine und mit Zu - rücklaſſung allda zu fidimirender Abſchriften zu produciren, auch, in ſo fern ſie nicht am Orte ſind, Procuraturam ad acta zu beſtellen. Mit der ausdrücklichen Verwarnung, daß alle, welche ſolchergeſtalt ſich anzugeben unterlaſſen, mit ihren etwanigen Anſprüchen nicht weiter gehört, viel - mehr auf immer präcludirt ſeyn ſollen. Wornach ein je - der, den es angeht, ſich zu achten hat.
Wann der Altentheilsmann, Johann Friedrich Fritzler in Havighorſt, Amts Reinbeck, mit Hinterlaſſung eines von deſſen nachgelaſſenem einzigen Erben, dem Sohne des Defuncti, gleiches Namens, am 10ten Julii 1811 coram protocollo agnescirten Teſtaments verſtorben, auch dieſer ſich zur Berichtigung der darin ausgeſetzten Legata derma - len zwar bereit erklärt, deſſen jetziger Auſenthalt aber un - bekannt iſt, die in dem vorerwähnten Teſtament inſtituirten Legatarien ſolcherhalb um Erlaſſung einer Edictal-Citation angeſucht haben, auch ſolchem bewandten Umſtänden nach ſtatt zu geben iſt;
Als wird der Johann Friedrich Fritzler hiedurch edicta - liter citirt und vorgeladen, ſich innerhalb Sechs Wochen auf der hieſigen Königl. Amtſtube einzufinden, um die im väterlichen Teſtamente ausgeſetzten Legata zu berichtigen, oder zu gewärtigen, daß erwähnte Legata aus dem beleg - ten, loszukündigenden Capital bezahlt werden.
Wornach ſich zu achten.
Wann der hieſige Eingeſeſſene und Lohgärber Johann David Kuſche dem Gerichte angezeigt hat, daß er die auf ſeinem Hauſe haftenden Capitalſchulden nebſt Zinſen, ſo wie die öffentlichen Abgaben, fernerhin abzuhalten gänzlich un - vermögend ſey, und daher ſein Wohnerbe ſeinen Gläubi - gern überlaſſen müſſe, ſo iſt die Abgebung eines öffent - lichen Proclamatis erforderlich geworden. Von Obrig - keits und Gerichts wegen werden demnach alle und jede, welche an das hieſelbſt auf der Langenreihe, Norderſeite, belegene Wohnhaus c. p. des Lohgärbers Johann David[8]Kuſche aus irgend einem Grunde Anſprüche und Forde - rungen zu haben vermeynen, hiedurch ein - für allemal, mithin peremtorie, auch ſub poena praecluſi et per - petui ſilentii aufgefordert, ſolche, jedoch mit Ausnahme der protocollirten Capitalia, als in deren Hinſicht es bloß der Angabe der rückſtändigen Zinſen bedarf, wenn ſie Einheimiſche ſind, innerhalb 6, Auswärtige aber, nebſt Be - ſtellung eines Procuratoris ad Acta, innerhalb 12 Wochen beym hieſigen Gerichte zu beſchaffen, die zur Begründung ihrer Anſprüche und Forderungen dienenden Documente in origine zu produciren, davon beglaubte Abſchriften ad Protocollum zurückzulaſſen und demnächſt weitere Ver - fügung zu gewärtigen.
Zum öffentlichen Verkauf des Hauſes c. p. iſt der 30ſte November d. J., als der Montag nach dem 1ſten Advent - Sonntage, angeſetzt worden, an welchem Tage die Kauf - liebhaber des Vormittags um 10 Uhr im Gerichte hieſelbſt erſcheinen, nach verleſenen Verkaufsbedingungen bieten und überbieten und gewärtigen können, daß dem Höchſt - bietenden der Zuſchlag geſchehen werde.
Wornach ein jeder, dem daran gelegen, ſich zu achten hat.
Alle und jede, welche an die Häuſer c. p. des vorma - ligen hieſigen Eingeſeſſenen Nicolaus Jürgen Neumann einige Rechte, Anſprüche und Forderungen zu haben ver - meynen, werden hiedurch von Obrigkeits und Gerichts wegen ein - für allemal, mithin peremtorie, auch ſub poena praecluſi et perpetui ſilentii aufgefordert, ſolche, wenn ſie Einheimiſche ſind, innerhalb 6, Auswär - tige aber, nebſt Beſtellung eines Procuratoris ad Acta, innerhalb 12 Wochen beym hieſigen Gerichte anzugeben, die in Händen habenden D[o]cumente im Original zu pro - duciren, davon beglaubte Abſchriften beym Protocoll zu - rückzulaſſen und demnächſt weitere Verfügung zu gewärtigen.
Wornach ein jeder, dem daran gelegen iſt, ſich zu achten hat.
Wann in Folge der geſchehenen Jnſolvenz-Erklärung des hieſigen Eingeſeſſenen Anton Rombach über deſſen Haabe und Güter ſalvis creditorum exceptionibus Concurs erkannt worden; ſo werden hiedurch von Obrig - keits und Gerichts wegen alle und jede, welche an den gedachten Anton Rombach Anſprüche und Forderungen, ſie rühren her aus welchem Grunde ſie wollen, zu haben vermeynen, demſelben mit Schulden verhaftet ſind, oder Pfänder und ſonſtige Sachen von ihm in Händen haben, hiemit einmal für allemal, mithin peremtorie citirt und geladen, (jedoch mit Ausnahme der protocollirte[n]Forde - rungen, als in deren Hinſicht es nur der Angabe der rück - ſtändigen Zinſen bedarf) wenn ſie Einheimiſche ſind, inner - halb 6, Auswärtige aber, nebſt Beſtellung eines Procu - ratoris ad acta, innerhalb 12 Wochen, a dato hujus proclamatis, beym hieſigen Gerichte gehörig anzugeben, die in Händen habenden, zur Begründung ihrer Forde - rungen dienenden Documente originaliter zu produciren und davon beglaubte Abſchriften beym Protocoll zurück - zulaſſen, alles bey Strafe des Ausſchluſſes, des immer - währenden Stillſchweigens, der doppelten Zahlung und Verluſt des Pfandrechts.
Zum öffentlichen Verkauf der dem Bonis-Cedenten zuge - hörigen beyden Häuſer iſt der 30ſte November d. J., als der Montag nach dem 1ſten Advent-Sonntage, angeſetzt worden, an welchem Tage die Kaufliebhaber des Vor[ m] it - tags um 11 Uhr im Gerichte hieſelbſt erſcheinen, nach ver - leſenen Verkaufsbedingungen bieten und überbieten und gewärtigen können, daß dem Höchſtbietenden der Zuſchlag geſchehen werde.
Wornach ein jeder, dem daran gelegen, ſich zu achten hat.
Debitores, Creditores, Pfand - und Sachen-Jnha[b]erdes Boniscedenten, Hinrich Hellmann in Herzhorn, müſſen ſich, und zwar die Einheimiſchen binnen 6, die Auswärti - gen aber, unter Procuratur-Beſtellung, binnen 12 Wochen a dato hieſelbſt im Gerichtshauſe melden und eine gehö - rige Angabe beſchaffen; ſub poena praecluſi, dupli et amiſſi juris.
Von dem Königl. Preuß. Stadtgerichte Landeck wird der im Jahre 1786 von Landeck ſich entfernte Schlöſſer - Geſelle, Chriſtian Friedrich Schreiber, der nach eingegan - genen Nachrichten ſeine Wanderſchaft nach Schleſien fort - geſetzt haben ſoll, deſſen etwanige Erben und Erbnehmer, auf Anſuchen ſeiner Geſchwiſter, dergeſtalt hiermit vorge - laden, ſich ſpäteſtens in dem am 15ten May 1813 an gewöhnlicher Gerichtsſtelle zu Landeck Vormittags um 9 Uhr anſtehenden Termin, entweder in Perſon, oder durch einen Special-Bevollmächtigten, zu melden, und daſelbſt weitere Anweiſung zu erwarten, widrigenfalls derſelbe für todt erklärt werden, und ſein älterliches Erbtheil dem - jenigen anheim fallen wird, welchem es nach der geſetz - lichen Erbfolge gebühret.
Da der Geheime - und Landrath von Flotow auf Die - ſtelow bereits unterm 20ſten September vorigen Jahrs auf ein gütliches Arrangement mit geſammten ſeinen Gläu - bigern, unter eventuellem Erbieten zur Ceßion ſeines Vermögens an dieſelben, unterthänigſt angetragen hat, hierauf auch letztere, nach geſchehener Einführung einer Adminiſtration und Verfügung ſonſtiget Sicherheitsmaaß - regeln, ad profiteudum et liquidandum convocirt, nicht minder bereits unterm 14ten April dieſes Jahrs zur gütlichen Aufgreifung dieſes Debitweſens ein Termin ab - gehalten, bis jetzt aber der Zweck dieſes ebengedachten Termins bey dem Widerſpruche mehrerer einzelner Gläu - biger nicht erreicht worden; ſo haben Wir nunmehr, ex officio, zur gütlichen Hinlegung dieſer Schuldſache einen abermaligen Termin auf den acht und zwanzigſten November dieſes Jahrs angeſetzt, und den Geheimen - und Landrath von Flotow ſub praejudicio pro omni der Reval-Citation in Per - ſon dazu vorbeſchieden. Geſammte nicht[b]ereits präclu - dirte Gläubiger des ebenbenannten Geheimen - und Land - Raths von Flotow werden daher, nach Vorſchrift Unſe - rer Landesherrlichen Conſtitution vom 31ſten März d. J., hiedurch peremtoriſch citirt; gedachten Tages, Morgens um 10 Uhr, auf Unſerm Hof - und Land-Gericht zu erſchei - nen, und ſich über die von dem gemeinſamen Schuldner bereits unterm 9ten April dieſes Jahrs übergebenen Ver - gleichsvorſchläge, deren Einſicht ihnen in der Regiſtratur Unſers Hof - und Landgerichts praeſente protonotario primario geſtattet wird, bey Strafe, daß die Ausblei - benden an die Beſchlüſſe der Anweſenden gebunden ſeyn ſollen, conſtitutionsmäßig zu erklären, im Fall verfehlter Güte aber ſich zur Production ihrer etwanigen ſchriftli - chen Beweismittel ſub finali poena, daß ſie des dar - aus hervorgehenden Beweiſes ihrer Schuldforderungen und der darauf begründeten Erſtigkeitsrechte verluſtig wer - den geachtet werden, ſo wie zur weitern geſetzmäßigen pro - tocollariſchen Verhandlung und zur Erſtigkeitsausführung ſub finali poena praecluſionis gefaßt zu halten und dem - nächſt weiteren rechtlichen Beſcheides zu gewärtigen. Wor - nach man ſich zu richten.
Britt-Marie SchusterManuel WilleArnika LutzNote: Bereitstellung der Texttranskription.Note: Bitte beachten Sie, dass die aktuelle Transkription (und Textauszeichnung) mittlerweile nicht mehr dem Stand zum Zeitpunkt der Übernahme des Werkes in das DTA entsprechen muss.2014-07-28T10:06:27Z CLARIN-DNote: Langfristige Bereitstellung der DTA-Ausgabe
Fraktur
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